Laurent Guyénot – La pilule noire
28 novembre 2024 09:51, par anonymeQuelles que soient les faiblesses, mineures à mes yeux, qu’on peut trouver dans l’argumentation de cet article, il a l’immense intérêt d’aider à une prise de conscience des stratégies de diversion attentionnelle mises en oeuvre par l’Empire afin de donner des os à ronger à la populace sans que ça porte à conséquence.
L’accusation de satanisme est pour cela parfaite parce que, après des siècles de persécution antichrétienne contre l’Eglise et sa doctrine, personne, à part les croyants, n’a cure du satanisme. Dorénavant, verser dans le satanisme c’est à peu près pareil que de croire aux soucoupes volantes. Chacun est libre de s’adonner à son truc.
Il s’ensuit que, même s’il est de bonnes raisons de penser que le cérémonial sataniste des élites est un outil de rassemblement, de solidarisation et/ou d’engagement dans la cause commune par la compromission, il ne peut être vu que comme un moyen et non une fin, justement parce que l’idée d’une finalité sataniste de domination sur le monde est totalement décrédibilisée à notre époque.
Elle peut bien être une réalité qui anime véritablement les puissances d’argent dans une visée eschatologique (je le crois volontiers, ne serait-ce que parce que le poudré de Rothschild a pour anagramme "Mammon Enculera") mais il ne servira à rien d’insister là-dessus, justement parce que croire en Dieu, ou croire au diable, vous faites bien ce que vous voulez, la République laïque s’en fout.
Bref, pour démasquer l’élite qui organise actuellement sa domination mondiale dans l’idée de l’officialiser comme nouvel ordre mondial avec, comme le proposait Jacques Attali, capitale à Jérusalem, l’attention au satanisme n’est d’aucune utilité. Le satanisme nous baignons dedans et nous ne le voyons plus, pas plus que les poissons ne voient ni n’ont conscience de l’eau. S’y intéresseraient-ils qu’ils n’y gagneraient rien. L’essentiel est ailleurs.
Ce qui importe pour la vie, c’est l’énergie et, donc, pour la société des hommes c’est l’argent. C’est ce dernier qui peut nous rendre esclaves à force de dépendance. Et aux mains de qui est-il ? De "banquiers-marchands" de la finance internationale, pour reprendre la belle expression de Valérie Bugault.
Il est hautement probable qu’ils se soient mis au service de l’AIPAC mais il faut aussi se rappeler que les serviteurs de l’argent n’ont aucune loyauté. Si Israël est détruit (une bombe, un vaccin ou Dieu sait quoi...), le diable mondialiste ira s’installer ailleurs. Par exemple Astana...