Les enquêteurs ont découvert une vaste escroquerie : depuis la France, des proches de djihadistes de Daech récupéraient leurs allocations pour les envoyer par mandat vers les zones de combat.
C’est une escroquerie qui a participé au financement de Daech. Le groupe de la Brigade criminelle spécialisé dans la traque du financement du terrorisme relève que 20 % des combattants djihadistes français identifiés en Syrie... continuaient à percevoir des allocations sociales dans le même temps, selon les informations du Figaro.
Allocations qui servaient à alimenter le fonctionnement de Daech, le groupe terroriste perdant du terrain dans les zones de combats et ne disposant plus de revenus propres.