Les six hommes , membres d’un groupe d’extrême gauche, sont soupçonnés d’avoir agressé en 2012 Alexandre Gabriac, le fondateur du groupuscule Jeunesses nationalistes aujourd’hui menacé de dissolution.
C’est grâce à la société de location Autolib que les enquêteurs sont remontés jusqu’à eux. Six hommes appartenant à un groupe d’extrême gauche sont soupçonnés d’avoir agressé le leader des Jeunesses nationalistes, Alexandre Gabriac, en octobre 2012 à Paris. Ils ont été interpellés mardi et placés en garde à vue dans le commissariat du XIIIe arrondissement. À l’issue de leur garde à vue, ils ont reçu une convocation à comparaître en correctionnelle en février 2014 pour « violences commises en réunion ».
Du gaz lacrymogène
Le conseiller régional et leader des Jeunesses nationalistes avait essuyé un jet de gaz lacrymogène et des insultes le 1er octobre dernier dans le XIIIe arrondissement. Une bande circulant en Autolib avait reconnu Alexandre Gabriac avant de s’attaquer à lui. L’Isérois avait alors porté plainte. Neuf mois plus tard, les enquêteurs sont parvenus à identifier plusieurs suspects.
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