« Manifestement, on a changé de monsieur Vaccin », lance Pascal Praud avec une tranquillité mordante.
Traduction : personne ne se bouscule pour faire le sale boulot pour la doublette gouvernement–Big Pharma (qui sent au mieux la collusion, au pire la corruption) et se faire automatiquement lyncher sur les réseaux sociaux.
L’opinion, ça compte, surtout quand elle ne veut pas se faire injecter de force une saloperie extrêmement douteuse. Le remède (le vaccin) serait-il pire que le mal (le Covid) ? C’est ce qu’un de nos commentateurs a suggéré il y a peu, et on dirait que ça matche.
Écoutez bien la déclaration de Fischer. En langage de « com » politique, on appelle ça ouvrir son parapluie. Mais là c’est plus un parapluie normal, c’est un parapluie nucléaire !
« Je voudrais néanmoins vous indiquer une notion de prudence, je crois, qu’il faudra conserver tout au long de l’élaboration que vous ferez de la politique concernant la stratégie de vaccination.
Premièrement, pour l’instant nous ne disposons que de communiqués de presse de la part des industriels, nous attendons avec impatience, en tant que scientifique j’attends avec impatience des publications scientifiques, évidemment il y aura des dossiers qui seront adressés aux autorités réglementaires qui sont forcément très complets, ou qui ont déjà été adressés probablement mais dont nous n’avons pas connaissance ;
deuxièmement, par définition le recul à ce jour sur l’évaluation de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois, donc c’est encore bref même si c’est très significatif ;
troisièmement, les données ne sont pas encore complètes non plus pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces chez les personnes les plus à risques, donc les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies chroniques,
et enfin, dernier point qui est critique mais dont la solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin d’une part protège l’individu vacciné contre l’infection et espérons-le contre l’infection grave, mais aussi protège contre la transmission, ce qui permettrait de briser la chaîne de transmission et plus rapidement arriver à voir la pandémie se résoudre, et il faudra plusieurs mois probablement pour avoir ce dernier type d’information qui aussi forcément aura un impact sur les politiques de vaccination. »
On rappelle à toutes fins utiles, qu’il faut entre 8 et 10 ans pour produire un vaccin efficace et sûr. On dit ça, on dit rien.
Conclusion : continuons le combat contre la bande des vaccinateurs mondialistes du Grand Reset !
De manière plus générale, on constate que ça se bouscule de moins en moins pour nous raconter des salades. Certes, il y a encore des agents très zélés du Système – l’argent fait à ce sujet des miracles –, mais la charge morale pour les vendus et les corrompus est telle qu’il est difficile de tenir dans un contexte de rage populaire. Oui, le peuple a la rage, et cela se voit sur les réseaux sociaux et dans la rue. C’est peut-être pour cela qu’on veut le piquer, en haut lieu.
Il reste encore des Aphaties pour faire le relais servilement entre le haut et le bas, mais la vitesse de crémation (se cramer/crémation) est de plus en plus rapide. Il faut y réfléchir à deux fois pour se prendre la colère du peuple dans la gueule. On parlait d’Aphatie, voyez de quoi il est capable en ce samedi de manifestation « pour les droits sociaux et la liberté » :
Taper du flic, cramer de la bagnole : voilà l’objectif de ceux qui disent #StopLoiSecuriteGlobale La même chanson que les #GiletsJaunes Qui est encore dupe ? Quel est le vrai but de ces manifestants ? https://t.co/fxaGCQNr3s
— jean-michel aphatie (@jmaphatie) December 5, 2020
Assimiler les Gilets jaunes à des tapeurs de flics ou des crameurs de bagnoles, c’est le degré le plus bas du journalisme... ou le plus haut du propagandisme, même si le propagandisme, pour être aujourd’hui efficace, doit aussi être subtil. Là, tout est grossier, lourd, bête. On comprend que les candidats au suicide (réseau) social soient de moins en moins nombreux.
Chez les people aussi, on est devenus méfiants, on crache moins sur les gens, les Gilets jaunes, les Français, les patriotes. Preuve que le rapport de force est en train, non pas de s’inverser, mais de changer. Par à-coups, brutalement, comme toujours en France.
Par @A_Cailhol et @peultier - Les cortèges pour la liberté de la presse et la défense des droits sociaux faisaient route ensemble samedi dans toute la France. A Paris, des violences ont émaillé la manifestation. https://t.co/HJ9jJwoeg3
— Lilian Alemagna (@lilianalemagna) December 5, 2020
Situation tendue depuis le départ de la manifestation #StopLoiSecuriteGlobale, pour nos Droits sociaux et contre les #ViolencesPolicieres à #Paris. De nombreuses voitures, banques,... dégradées ! Paris se met en colère
@CerveauxNon #MarcheDesLibertes #JusticeSociale pic.twitter.com/y4ZbxxIPMB
— Peuple Révolté (@PeupleRevolte) December 5, 2020