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Alexandra, personne intersexe, livre son témoignage et parle de l’idéologie transgenre

Alexandra est une personne intersexe née dans les années 60, au cariotype XXY, qui nous délivre ici un témoignage touchant mais à la fois lucide et sage sur son histoire et sur le phénomène transgenre actuel et ses dérives.

Le protocole d’État à cette époque, on commençait par la vaginoplastie. Pourquoi ? Parce que les chirurgiens ne pouvaient pas couper les seins à une femme ou mettre des seins à un garçon. Donc, on commençait par la vaginoplastie puis ensuite on arrangeait, parce que la personne était de sexe féminin. Donc, moi, il y a eu une dérogation qui m’a été accordée par la référente conseil nationale le Dr Françoise Macron Noguès, il faut le dire, la mère du président actuel, qui a fait un travail faramineux, qui a suivi toutes sortes de générations de gens comme moi, accordant des subventions, qu’on ait accès aux meilleurs spécialistes, qu’on prenne notre temps, que dans la vie de tous les jours on ne soit pas dans la marginalité (...)

[...]

Qu’est-ce qu’ils ont comme problème ? Parce qu’il y a quand même un fondement pathologique chez le transgenre. On peut pas le nier. Ils vont me sauter dessus mais ce n’est pas grave. Quand un être humain ne peut pas exister dans sa biologie de base à l’extérieur, qu’il a besoin de se transformer, d’avoir l’apparence de l’autre sexe, c’est quand même qu’il y a un léger problème, je suppose, non ? Donc, c’est un problème purement psychanalytique et psychiatrique.

[...]

Cette histoire de mégenrage. Qu’est ce que ça veut dire mégenrage, ça ne veut rien dire du tout ! Même moi, qui suis parfaitement aboutie, je peux parfaitement sortir dans la rue, en faisant attention à tout ce que je peux, et il y aura inévitablement quelqu’un qui dira : « hmmm, ça, peut-être que ce n’est pas une femme d’origine ». Et alors ? Les gens, ils ont des yeux, ils ont le droit de penser, que voulez-vous que j’y fasse ? (...) Dès l’instant que les gens ne me manquent pas de respect en se moquant de moi... (...) Mais qu’est-ce qu’ils croient ? Que les gens sont stupides ? Qu’est-ce que c’est que ces histoires ? Qu’ils assument un petit peu ce qu’ils sont !

***

Alexandra a des mots sévères sur les théories complotistes au sujet de Brigitte Macron. On peut la comprendre car c’est un sujet sensible, en particulier pour elle, au regard de son parcours. Toutefois, la lecture des dossiers de Faits & Documents pourraient lui rappeler les nombreuses zones d’ombre qui entourent le sujet. Ainsi, puisqu’elle nous dit que Tiphaine Auzière est son amie, pourrait-elle enfin nous fournir les photos de Brigitte Macron avant l’âge de 30 ans : mariage, naissance des enfants, vacances en famille, etc. Cela permettrait de faire taire instantanément toutes ces vilaines rumeurs.

Folies du transgenrisme

 






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38 Commentaires

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  • L alimentation industrielle est farcie de produits chimiques et c est elle qui est à l origine de cette épidémie transgenre sans que les gens s en rendent compte .

     

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    • C’est tout à fait plausible. Je connais une femme médecin à Genève qui étudie la causalité de l’homosexualité comme provenant de la nourriture.

      Il faut savoir que l’hétérosexualité c’est l’altérité qui unit des personnes de sexe opposé. L’attirance repose sur les hormones qui se manifestent à la puberté.

      La chimie de tout cela est mise en œuvre par la nourriture ingérée, puis digérée et enfin transmise par le sang au cerveau.

      Il faudrait approfondir la question en France. On battrait alors en brèche la théorie du dérèglement psychiatrique ou psychanalytique comme origine de l’homosexualité.

       
  • Depuis des années on constate que des poissons changent de sexe en baie de Seine : cause les produits chimiques charries par le fleuve, : ce sont des PERTURBATEURS ENDOCRINIENS responsables des changements de sexe . Dans une seule boîte de cassoulet il y a des traces de centaines de produits chimiques, kif dans tous nos aliments .

     

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    • A propos de l’augmentation importante des malformations infantiles, génitales et autres :
      Corinne Lalo est journaliste d’investigation, spécialiste des questions d’environnement et santé. Elle a travaillé notamment sur des grands scandales de santé publique (sang contaminé, vaccin contre l’hépatite B, grippe H1N1, Médiator). Dans « Le grand désordre hormonal » (Le Cherche-Midi), elle s’intéresse aux perturbateurs endocriniens, ces polluants hormonaux responsables de nombreuses pathologies répandues.

       
  • enfin il y a quand même un truc qui ne colle pas : les soit disants meurtres "rituels" de transgenres qui seraient étouffés par les médias, ça j’y crois pas trop.
    pour le reste cette femme est intéressante et pleine de bon sens (c’est si rare de nos jours)

     

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  • "autrice"
    Fin de la blague.

     

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  • C’est touchant mais ça reste une anomalie de la nature , je pense que je ne pourrai jamais m’y faire.....

     

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    • S’il n’y avait que ça comme anomalie le monde serait vivable... quand on voit la monstruosité que des gens prétendus normaux imposent à des gens qui les acceptent il y a vraiment lieu de s’inquiéter , au minimum de se réveiller et de réagir avec force et détermination...

      Que fait la génération montante pour discerner le vrai danger des détails ?

      Ne s’agit il pas de l’avenir de l’humanité toute entière, avec son rare génie , ses quelques anomalies et sa nombreuse diversité ?

       
    • Ah bon...Les anomalies de la nature restent naturelles et il n’y a pas à s’y faire ou non, c’est ainsi. Vous avez un problème de raisonnement ou émotionnel, travaillez là-dessus.

       
  • Ce n’est pas Tiphaine Auzière son amie, comme dit à la fin de l’article, mais sa soeur Laurence Auzière. Cette dernière est bien cardiologue.

     

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  • hermaphrodite de NAISSANCE ! cela ne doit être facile à vivre on n’est pas dans la folie des trans genre mais d’un vrai (caprice de la nature )
    mais quand je vois cet personne sur sa chaise je me demande si le choix de vivre en femme est le bon choix car physiquement c’est plus (+)des traits et un gabarit d’homme plutôt que de femme

     

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    • Vous vous n’avez pas écouté son témoignage...Pour avoir la vie sociale la plus ""normale"" possible et en fonction de ses particularité de départ pour éviter des traitements et opérations encore plus lourds et compliqués et peu satisfaisants de toute façon, les médecins ont opté pour la féminité. Quand j’écoute cette femme je la trouve tellement plus féminine que bien des viragos de tous les jours née avec un vagin et le bon caryotype...Et tellement plus intelligente aussi que bien des femmes et bien des hommes :) (même si ce qu’elle dit concernant BIRGIT mérite des éclaircissements etc)

       
  • C’est peut-être un témoignage complètement fabriqué pour endormir le goy et lacher un peu de lest. On reconnait l’implication de la mère Nogues au mercato des changements de sexe mais on s’offusque mollement du traitement de Jean-Brigitte par les vilains fâââââââchiiiiiiiiiiistes

     

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    • Oui Rusty... C’est peut-être complètement bidon pour faire pleurer dans les chaumières. Mais peu importe. Au-delà du cas particulier de cette personne, les 2 sujets abordés en fin de vidéo (le 3e sexe et Brigitte) devraient produire un électrochoc sur les abonnés de F&D. On perçoit nettement les intentions de ces 2 femelles gauchistes...

       
  • Comme le dit cette dame, sa mère qui avait 15 ans et demi avait été victime d’un réseau de prostitution pédophile auprès de hauts magistrats dont son père était un des clients.

    La malformation génétique et génitale de sa fille avait été provoquée par la prise par sa mère de Distilbène qui était produit et distribué par le laboratoire pharmaceutique de Joseph Bornstein, le père d’Elisabeth Borne, qui deviendra premier ministre.

    " Les laboratoires M. Borne produisaient et distribuaient la sinistre molécule Distilbene (hormone synthétique) responsable de milliers d’anomalies génétiques chez les descendants des femmes enceintes auxquelles il a été prescrit.

    En 1967, la notice du Distilbène® dans le Dictionnaire Vidal ne comporte pas moins de cinq indications pour la femme. La même année, un embryologiste, le Pr Gabriel-Robez, signale une « action tératogène du dipropionate de diéthylstilboestrol injecté à la souris à des doses variables, du 9e au 11e jour de la gestation ». L’importance des anomalies et leur nombre sont en rapport direct avec les doses utilisées.

    Le Ministre de la santé des Etats-Unis met en garde contre l’utilisation du DES pendant la grossesse, la FDA recommande en 1971 aux médecins de cesser de prescrire du DES aux femmes enceintes. Le Canada fait de même peu après.

    Les informations alarmantes se multiplient. En Europe, l’Angleterre interdit le DES en 1973, la Belgique et les Pays-Bas en 1975, l’Irlande en 1976.

    En France, Simone Veil était Ministre de la Santé depuis 1974, elle crée la Commission Alexandre qui exige que dans l’édition du Dictionnaire Vidal de 1977, il soit mentionné que le Distilbène est contre-indiqué aux femmes enceintes. "

    Joseph Borne, s’est suicidé en 1972, à peu près au moment où les États-Unis ont publié des études exposant les dommages potentiels de la molécule et l’ont

     

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  • #3382503
    Le 22 juin à 05:38 par Le lumpenprolétariat des théologiens
    Alexandra, personne intersexe, livre son témoignage et parle de l’idéologie (...)

    A-t-on le droit de ne pas gober ces élucubrations ?
    A-t-elle des preuves a nous soumettre où devons-nous la croire sans remettre en doute quoi que ce soit.
    Peut-on voir chez ces trois propagandiste , un début d’ingénierie anti-hommes, féministes et qui a terme desservira toute autre analyses ou aboutissement d’analyse
    Le plus important pour moi dans cette mascarade c’est sa position sur Jean Brichel
    Le reste n’est qu’ artifices menant a faire lentement douter
    On sème une graine et on attend la germination
    Désolé inintéressant a mon goût

     

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