Même en partant de l’hypothèse que Cossette a raison, comme quoi donc Trump continue à être le maître du jeu et qu’en bout de course, il va réussir à neutraliser ses ennemis "démocrates" au service du mondialisme (ce que l’oon ne peut que souhaiter de tout coeur !), les USA n’en sont pas moins condamnés. A avec l’Amérique, c’est tout le système politico-social qu’il représente au plus haut niveau, à savoir l’Etat-nation à vocation multiraciale-multiculturelle, focalisé sur l’individualisme et le consummérisme. On a ici la démonstration spectaculaire que c’est là une simple chimère, non viable sur le long terme. Les seules véritables "nations" viables sont celles à base ethno-raciales, comme ce fut le cas partout, et de tout temps. Même ainsi s’il réussit son coup cette fois-ci, ce ne sera que partie remise et il leur faudra, à lui et à ses successeurs immédiats, s’activer quand même à organiser résolument la partition des USA sur des bases plus "naturelles". Les noirs surtout devront avoir leur propre Etat car plus personne ne peut nier qu’il leur est imposssible de coexister de manière "harmonieuse" avec d’autres races. Encore que c’est valable aussi évidemment pour ces dernières mais les incompatibilités sont ici moins évidentes, ne serait-ce que par une large indifférence envers la question du dit "racisme".
Et bien entendu, la question ne manquera de se poser de manière plus ou moins analogue dans les pays européens. D’ailleurs, spontanément ou non, des militants noirs de France s’activent déjà eux-mêmes pour agir de concert avec leurs "frères" des USA. Sauf qu’ici, malgré ce que semble souhaiter des gens comme Hollande, on ne peut sérieusement envisager la possibilité d’une partition. Les immigrés ne forment pas en effet une communauté homogène, ni racialement, ni culturellement, ni territorialement... En conséquence, la seule issue sera une très large re-émigration des non-européens, "naturalisés" ou pas, assimilés ou non. Ce qui sonnera aussi définitivement le glas du "modèle français" qui est tout aussi utopique, et sans doute même davantage encore que celui américain. D’ailleurs, la France n’est-elle pas justement le prototype européen de l’Etat-nation !...
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