tout l’art consiste de pouvoir tuer les âmes sans tuer le corps
on ne tue pas l’âme on la noie, on la dévoie, on l’occulte, on la fait oublier
qu’importe la qualité des armes employées, sans ce travail de sape entrepris depuis des siècles
... il suffit d’aimer ( ou de haïr ) à la folie et d’entendre gargouiller ses intestins (*) pour que l’unité de l’âme et du corps, illusion lyrique de l’ère scientifique, se dissipe aussitôt
avec de bonnes matraques tout le monde prend conscience de son corps (*), ( et oui, ça fait mal ), à la différence de l’Âme, en effet quoi de mieux que l’hédonisme pour la noyer, la dévoyer, l’occulter, la faire oublier, ( cela flatte les sens, ouvrant en grand le champs des passions, c’est plaisant )
ne reste qu’une conscience de soi, nommée l’esprit, qui par la raison saura très vite discerner l’agréable du désagréable
lorsqu’ il y a un bon contact, ne se pose aucun problème particulier en ce qui concerne les relations entre “esprit” et “corps“, ou “soi“ et “monde extérieur“. En ce sens, le contact est une expérience réunifiante. a l’opposé, lorsque le contact est mauvais, il y a désunion
exemple concret : celui d’une personne matraquée par trois autre personnes devant une centaine qui s’écarte ( certains filment, pour se justifier ) sans lui porter secours
ce type de contact n’est pas une situation réunifiante, le contacte est mauvais, il y a désunion
cela vaut pour les matraqueurs
il n’ y a plus d’Âme que des esprits qui par la raisons savent discerner l’agréable du désagréable, c’est peut être cela ne pas être "couillu", que la violence soit donnée ou reçue
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