Arun Gandhi, petit-fils du Mahatma et directeur du M.K. Gandhi Institute for Nonviolence à l’université de Rochester (New York), a présenté mercredi ses excuses aux lecteurs du Washington Post. En effet, un message qu’il avait mis en ligne le lundi sur le site internet du grand quotidien états-unien avait soulevé l’indignation des organisations sionistes. Tout en maintenant ses propos, M. Gandhi a regretté la forme de son message qui ouvrait semble-t-il la voie à de déplorables interprétations. Il a invité chacun à lire son message sans arrières-pensées.
Sous le titre « L’identité juive ne peut dépendre de la violence », Arun Gandhi écrivait : « L’identité juive s’est enfermée dans l’expérience de l’Holocauste (…) c’est un bon exemple de la manière dont une communauté peut surjouer une expérience historique au point de commencer à repousser ses amis (…) le monde est désolé pour cet épisode, mais quand une personne ou une nation refuse de pardonner et de continuer, le regret se transforme en colère ».
Sous le titre « L’identité juive ne peut dépendre de la violence », Arun Gandhi écrivait : « L’identité juive s’est enfermée dans l’expérience de l’Holocauste (…) c’est un bon exemple de la manière dont une communauté peut surjouer une expérience historique au point de commencer à repousser ses amis (…) le monde est désolé pour cet épisode, mais quand une personne ou une nation refuse de pardonner et de continuer, le regret se transforme en colère ».