et 
!Ceux qui vont hurler à la « propagande pro-régime du boucher de Damas » ne doivent pas oublier que la propagande anti-Assad est cent fois plus puissante par le truchement de la presse mondiale. La guerre des images, derrière la guerre des hommes...
Ceux qui vont hurler à la « propagande pro-régime du boucher de Damas » ne doivent pas oublier que la propagande anti-Assad est cent fois plus puissante par le truchement de la presse mondiale. La guerre des images, derrière la guerre des hommes...
| kontrekulture.com | Octobre 2019 | | InternationalMédias |
Les banlieues de Damas, matrice de la barbarie terroriste qui frappe l’Occident – Chroniques de cinq années de guerre coalisée contre la République arabe syrienne. Ces chroniques, comme leur nom l’indique, ont été rédigées au fil des événements. Textes engagés, ils n’ont pas été remaniés a posteriori et se trouvent par conséquent publiés à l’état natif. Pour qui est familier des arcanes du Printemps syrien (...)
| fr.sputniknews.com | Juin 2017 |13 | Médias |
Drame humain ou machine médiatique ? Les blessures d’Omran Daqneesh, l’enfant dont les photos ont été utilisées pour dénoncer les violences de troupes fidèles à Bachar el-Assad lors de la bataille pour Alep, se sont cicatrisées, le garçon habite toujours la ville et sa famille soutient le gouvernement de Damas... Cette photo a fait l’été dernier le tour des médias. Visage couvert de poussière et de (...)
| 7sur7.be | Juin 2017 |4 | DéfenseInternational |
Le président syrien Bachar al-Assad a assuré que les pires heures de la guerre dans son pays appartiennent désormais au passé, après une série d’avancées de ses troupes sur le terrain, appuyées par l’allié russe. L’armée syrienne et ses alliés ont repris ces derniers mois le contrôle de plusieurs zones, notamment la deuxième ville du pays Alep au terme d’années de combats. « Les choses vont aujourd’hui (...)
| E&R Rhône-Alpes | Avril 2017 | ÉducationInternationalMédias |
Le 28 avril 2017 à 20h à Lyon, E&R Rhône-Alpes recevra Ayssar Midani et un représentant de la Garde islamique. Ils interviendront sur le thème : « Mythes et réalité de la crise humanitaire syrienne ». La bande-annonce : Ayssar Midani est une citoyenne franco-syrienne, présidente de l’association de scientifiques syriens expatriés Nosstia, de l’association culturelle euro-syrienne Afamia et (...)
|
|
Cet article a été vu 22964 fois Popularité : 1 Commentaires : 66 |
AVERTISSEMENT !
Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :
- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe
Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.
Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.
Suivre les commentaires sur cet article
Qu’il s’agisse d’une vidéo de communication, de propagande si l’on préfère, sans doute. Cependant il y a dans les images de Bachar et des gens, au premier et à l’arrière plan, une spontanéité et une joie qui ne peuvent être d’apparence.
Pas d’équipe de gardes-du-corps en costume noir et lunettes de soleil équipés d’oreillette et de valisettes dissimulant les armes ; seuls deux trois gars en tee-shirt ressemblant plus à des forts des halles qu’à des agents secrets ;
Des gens qui viennent spontanément, avec enthousiasme : adultes, femmes, enfants, lui serrer la main, l’embrasser (!) et sur les visages desquels on ne lit aucune appréhension, aucun signe de gestes répétés.
Trois choses me surprennent : 
beaucoup de gens ont des portables et filment les scènes (signe que les réseaux fonctionnent encore dans un pays dévasté). Les étals sont remplis de marchandises, de denrées (n’est-ce pas le chaos et la famine qui règnent et font fuir des centaines de milliers de "réfugiés" ?). Les femmes, nombreuses sur tous les plans, ne portent ni tchador ni niqab, au plus quelques-unes sont coiffées d’un foulard. Ce qui démontre les signes encore prégnants d’un pays qui n’est en rien outrancièrement islamisé et où les femmes jouissent de la liberté de se vêtir comme elles veulent.
Dommage que nous ne disposions pas de vidéos en plus grand nombre, de syriens, puisqu’ils sont équipés de smartphone ou autre, qui permettent de les opposer aux seules images de guerre et de désolation diffusées par les médias.
Cela permettrait de se faire une idée plus juste de la réalité des conditions de vie du peuple syrien.
