Pour le professeur de français, aujourd’hui Première dame, « la langue est si belle. Et deux pronoms, c’est bien ». Brigitte Macron a été plus modérée que le ministre de l’Éducation nationale sur le pronom neutre « iel » introduit dans la version en ligne du Robert. Mais de là à dire qu’elle apprécie cette entrée dans le dictionnaire...
Brigitte Macron a désapprouvé implicitement jeudi l’ajout du pronom non genré « iel » dans la version en ligne du prestigieux dictionnaire français Le Robert, après des critiques du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer.
« Il y a deux pronoms, il et elle », a déclaré l’épouse du président Emmanuel Macron, interrogée par des journalistes sur ce sujet, à l’issue d’une visite avec Jean-Michel Blanquer dans un collège du XVe arrondissement de Paris à l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. « La langue est si belle. Et deux pronoms, c’est bien », a-t-elle ajouté.
(...)
Les éditions Le Robert avaient défendu mercredi l’ajout de ce mot, permettant d’éviter une distinction de genre, à la version en ligne de leur dictionnaire. Ce pronom neutre encore peu utilisé dans le langage courant, mais de plus en plus employé par les personnes se définissant comme non-binaires, c’est-à-dire ne se reconnaissant pas dans le genre féminin ou masculin.
Lire l’intégralité de l’article sur leparisien.fr
Percez le mystère « Brigitte » Macron
avec Faits & Documents !
Pourquoi « Brigitte » rechigne-t-elle à s’épancher sur son passé ? A-t-elle peur d’en voir ressurgir Jean-Michel, ce petit garçon chétif aux attaches fines et au cœur perturbé ?
https://t.co/6OVIdrEdEb pic.twitter.com/Tv6sGGRQC6
— Faits & Documents (@faitsetdocs) October 25, 2021
Pour vous abonner à l’indispensable revue fondée par Emmanuel Ratier,
cliquez ici :
Le dessous des cartes, les secrets des lobbies, ce que nos « maîtres » vous cachent et ce qu’ils préparent, c’est en exclusivité dans Faits & Documents, seule vraie lettre confidentielle accessible à tous (voir par exemple, à titre de comparaison, ici ou là ).
Avec 21 numéros pour 80 euros – soit 3,80 euros le numéro contre 8 euros le numéro acheté à l’unité –, s’abonner à F&D, c’est soutenir l’information indépendante de pointe et se tenir informé des véritables enjeux présentés sous l’angle des réseaux de pouvoir.