Les propos ignobles de Christine Angot sur le plateau de l’andouille de service Laurent Ruquier n’ont pas eu dans les médias le châtiment qu’ils méritaient, eux et leur responsable. Et Angot et Ruquier devraient être virés sur le champ de France Télévisions, mais nous ne sommes pas en démocratie, nous le savons.
- Au piquet la sioniste haineuse !
La sioniste haineuse peut déverser son racisme sur les victimes de la traite négrière, il ne lui en sera pas tenu rigueur. Tout au plus peut-elle quitter tranquillement l’émission ONPC et ne pas revenir à la rentrée, mais rien que ses deux ans de service public financés par nos soins sont une injure à tous les Français attachés à la justice et à la tolérance. Ruquier a beau ricaner, il devra un jour justifier très sérieusement le choix de cette chroniqueuse haineuse et partiale.
Christiane Taubira, dont nous ne goûtons pas toujours les sorties antiracistes et anti-Blancs, a trouvé les mots pour dire l’ignominie et la passivité, la passivité des médias – qu’elle sait aux ordres – mais aussi la passivité de la communauté noire, si elle existe, en tout cas elle n’existe pas à l’égal de la communauté juive organisée, car on n’a pas entendu beaucoup d’indignation. Sauf chez le CRAN mais on peut supposer, vu le niveau politique dramatique de son porte-parole, que le CRAN est une petite branche manipulée du CRIF. Cependant, Angot, cette représentante du lobby sioniste, est allée trop loin. La LDNA a organisé un rassemblement place de la République le 11 juin 2019.
Cela a évidemment moins de gueule et moins de moyens qu’un dîner du CRIF qui voit tous les ministres de la République courir ventre à terre pour opiner du chef et fermer leur triste gueule devant le discours du vrai Président :
Le problème, c’est qu’on a encore affaire à deux communautés et à deux communautarismes, l’un protégé, l’autre pas. La France ne peut pas accepter ça et les Français doivent rester unis devant le danger de fracturation communautaire. Car même si la communauté noire organisée fait mine de s’attaquer à la communauté juive organisée, on sait qu’elle n’ira pas bien loin : elle aura contre elle les médias, le gouvernement et toute les forces occultes.
Il y a pourtant deux raisons d’espérer : un, le niveau d’imbécillité de Christine Angot est le signe d’un affaissement idéologique du sionisme qui ne peut plus gérer ses contradictions internes (démocratie & répression), deux, les communautarismes ne peuvent que s’affronter et se neutraliser. Le CRIF et la LICRA ont créé SOS Racisme, qui a pondu la LDNA, et la petite-fille se retourne contre ses géniteurs. Mais il faudra aller plus loin en conscience pour que le porte-parole de la LDNA (qui a été humilié par Hanouna) soit crédible et se hisse au niveau d’un Malcolm X ou d’un Louis Farrakhan.
Pour ce qui concerne Taubira, qui représente les intérêts croisés de la social-démocratie et du communautarisme noir, il y a un risque de grand écart douloureux. Car la social-démocratie n’est que le masque humain du pouvoir profond, qui n’a rien contre l’esclavage puisqu’il est inscrit dans ses statuts religieux ! Et quand Dieudonné parle des exploiteurs de la traite du XVIe au XIXe siècle, il évoque de manière très précise une communauté qui n’a pas de complexe raciste. Dans ce cas, que fait Taubira dans la barque du fils Glucksmann, qui représente la branche humaniste du sionisme mais qui est de la même eau que Kalifat, BHL ou Haziza ? Car ils défendent les mêmes intérêts. C’est un point que Taubira, qui est effectivement une femme politique de haut niveau, doit éclaircir.
Voici la déclaration de Christiane Taubira sur franceguyane.fr :
« Je sais que vous avez été nombreux à être émus par des propos inqualifiables, qui ont été tenus récemment, sur une télévision publique […] Moi je dis que nous avons là une circonstance intéressante, pour tester notre placidité, notre impavidité, notre aptitude à faire front, notre capacité à résister à ces inepties blessantes et injurieuses. Parce qu’il faut quand même un esprit sacrément tordu pour vouloir comparer les tragédies humaines entres elles. Il faut être particulièrement inculte pour penser que l’esclavage a pu être cela à n’importe quelle période et en particulier en cette longue période spécifique où l’esclavage a été organiquement lié à la traite, c’est-à-dire en clair au commerce d’êtres humains, à la vente et à l’achat de femmes, d’hommes, d’enfants, au point qu’il leur fallu inventer des théories raciales, racialistes et racistes, pour justifier leur commerce. Et montrer de la désinvolture, face à une réalité humaine aussi massive et aussi douloureuse, est une marque d’immaturité et l’attitude est obscène. Et puis quand même, il faut une dose extraordinaire d’imbécillité pour s’habiller, sortir de chez soi, passer au maquillage, entrer sur le plateau d’une télévision publique et déblatérer en proférant des énormités archaïques et odieuses, autant qu’elles sont invraisemblables. Vous voyez que nous n’avons pas à nous en faire, il y a des gens à qui nous n’avons rien à dire, parce qu’il n’y pas entre nous le minimum essentiel : la conviction de l’unité de l’espèce humaine, la certitude que dénier sa dignité à une seule personne au monde met en péril l’espèce toute entière. Nous n’avons rien à dire à des personnes qui ne savent pas qui nous sommes : survivants obstinés, résilients magnifiques, voilà ce que nous sommes. »
Le 11 juin 2019, Christiane était l’invitée de Mayouri info sur la chaîne d’outre-mer La Première, dont le site est lié à franceinfo. Elle revient évidemment sur les propos immondes de Christine Angot, la chose de Pierre Bergé et BHL. Pour Christiane, la loi du 21 mai 2001 sur la reconnaissance de la traite négrière – « l’histoire de la première mondialisation » selon ses mots – et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, loi dont elle est à l’origine, n’est pas encore assez promue dans les médias et les écoles. On comprend bien le propos sous-jacent : il n’y en a que pour la Shoah. Mais l’ancienne garde des Sceaux est assez habile politiquement pour ne pas le dire et ne pas fâcher les vraies autorités.
« Dans la connaissance de cette partie de l’histoire, il reste beaucoup à faire et sur ce point l’Éducation nationale a un rôle essentiel à jouer. C’est d’ailleurs une obligation inscrite dans l’article 2 de la loi. Il faut que l’enseignement de cette histoire soit mieux organisée. En Guyane, l’association des professeurs d’histoire a institué depuis 10 ans le concours des jeunes historiens et la thématique de l’esclavage y est régulièrement abordée. Mais cela ne peut pas être seulement l’affaire de quelques uns sur la base du volontarisme insiste Christiane Taubira :
“... cette histoire ce n’est pas que de l’histoire, c’est de l’économie, c’est de la géographie, c’est l’histoire de l’évolution des techniques, c’est l’histoire de la navigation, c’est l’histoire des cultures, des langues des philosophies... Toutes les sciences humaines ont été impactées par cette histoire...”
Et d’ajouter que ce crime est irréparable et qu’il ne doit pas s’exonérer des réparations notamment économiques ou encore foncières par rapport à l’appropriation des terres qui relevait de la “prédation”. Christiane Taubira affirme qu’il y a des façons de penser le remembrement foncier, la réattribution des terres pour que les puissants riches puissent contribuer à un meilleur partage, plus équitable dans nos sociétés. » (Mayouri info)
On a cru une seconde que Christiane fustigeait « les puissants riches » de la métropole !
Finalement, la Guyane est à l’image de la métropole, qui subit une prédation équivalente...