Ou comment une association ouvertement raciste et qui ne pèse rien cherche à mettre de l’huile sur le feu des problèmes économiques et sociaux pour les transformer en violences interindividuelles.
Le schéma est hélas connu, il arrange tous les pouvoirs, qui se débarrassent ainsi de la contestation sociale. Cette dernière laisse la place à un chaos qui augmente mécaniquement la répression et renforce le pouvoir.
C’est pour cette raison que les vrais fauteurs de haine(s) sont souvent étrangement épargnés pas la justice. Quant à ceux qui prêchent la réconciliation, ils ont droit à toute la violence institutionnelle.
Précisons que l’avocat de l’association OLRA – Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc – n’est autre que Gilles-William Goldnadel, le commissaire politique de feu Salut Les Terriens ! de Thierry Ardisson et tête pensante, s’il en est, du national-sionisme en France.
Après avoir organisé et subventionné le racisme anti-blanc (SOS Racisme) tout en niant qu’il existait (le PIR, les Indigènes de la République de Houria Bouteldja), les sionistes autorisent enfin et organisent la défense !
Dernier point, et non des moindres, qui démontre la duplicité de l’homme et de son idéologie : Goldnadel est toujours à la tête d’Avocats sans frontières. Or, la frontière c’est déjà le début du rejet de l’autre, c’est donc du racisme, non ?
Il faut le faire, et il fallait le dire.
Le collectif communautariste de La Ligue de défense noire africaine s’est exprimé devant l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris. L’un des intervenants a appelé à tuer « des Blancs, des Chinois et des Indiens » en Afrique du Sud.
Le mouvement controversé et communautariste de La Ligue de défense noire africaine (LDNA) a tenu des propos racistes lors de sa mobilisation devant l’ambassade d’Afrique du sud à Paris le 6 septembre. Se mobilisant à l’origine contre « la xénophobie » en Afrique du Sud, l’un des intervenants a dérapé en appelant aux meurtres des « Blancs », des « Chinois » et des « Indiens » :
« La xénophobie doit s’arrêter. Si vous voulez être xénophobe, d’accord. Commencez par tuer les Blancs, commencez par tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères […] nous avons la même couleur [de peau]. »
Un discours qui a été applaudi par les sympathisants de la LDNA présents sur place. L’Organisation de Lutte contre le racisme anti-blanc (OLRA) s’est scandalisée sur les réseaux sociaux :
« Des sympathisants de la LDNA appellent à tuer les Blancs et les Asiatiques en Afrique du Sud. Nous condamnons fermement cet appel au meurtre et au génocide. Nous demandons l’intervention immédiate de l’État pour faire cesser les activités de ce groupement de haine. »
Des sympathisants de la LDNA appellent à tuer les Blancs et les Asiatiques en Afrique du Sud. Nous condamnons fermement cet appel au meurtre et au génocide. Nous demandons l’intervention immédiate de l’État pour faire cesser les activités de ce groupement de haine @CCastaner pic.twitter.com/lJYzdo9m04
— Association OLRA (@OLRA_asso) September 7, 2019
L’Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, attire des millions d’immigrés africains à la recherche d’une vie meilleure. Mais le pays se débat avec un fort taux de chômage (29%) et d’énormes disparités sociales et économiques, qui alimentent régulièrement un sentiment xénophobe dans la nation « arc-en-ciel » rêvée par l’ancien président Nelson Mandela.
[...]
La LDNA s’est en outre fait remarquer le 5 septembre pour avoir été à l’origine d’une joute verbale et vraisemblablement physique opposant le maire de Levallois-Perret Patrick Balkany et des membres du collectif.
Lire l’article entier sur francais.rt.com
Dans son communiqué du 8 septembre, Bernard Lugan n’y va pas avec le dos de la cuillère...
Afrique du Sud : les cocus ayant cru à la fable de la nation arc-en-ciel
peuvent sortir des rangs et avancer de trois pas…
En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d’autres Noirs. Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc...
Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu’ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier.
Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité...
La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc. Résultat :
Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;
17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;
Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.
En 25 années de pouvoir, l’ANC – le parti de Nelson Mandela –, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un État du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants encore tenus par des Blancs.
Un naufrage économique qui tient en trois points :
1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité, les investisseurs ont délocalisé.
2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.
3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.
Dans ce pays où un abîme s’est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres.
Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’État-parti ANC n’a désormais plus que trois options :
1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.
2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre. La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage dans la misère.
3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.