Les « penseurs » qui dénoncent la « misogynie » des réseaux puent la doxa bourgeoise. Ces gueules enfarinés de puceaux de la vie qu’ils ont.
Ben oui les neuneus, c’est comme ça que le monde fonctionne, c’est pas de la « misogynie », c’est le réel vérifié dans l’immense majorité des cas. Plus tu sais te mettre en valeur, plus tu réussis à attirer, que tu sois homme ou femme. C’est pourquoi les bataillons de cageots qui se la jouent « féministes » bien pénibles ne trouvent personne avec qui coucher et tournent amères ; les cageots qui sont sympas et pas trop farouches arrivent à se faire des mecs potables et même à les garder. À moins d’avoir 20 ans et de ne rien connaître à la vie, aucun homme véritable ne reste avec une mégère, même une bombe, qui lui fait la misère H 24 et qui l’enquiquine jusque dans un plumard. Il préférera toujours taper un peu en dessous mais rire plus.
Pendant que le vieux bourge, sûrement de « gauche », avec son mobilier de bourge et son vélo de bourge tellement peu salissant qu’il le parque dans son appartement de bourge, nous fait la morale (36’) et jouer le directeur de conscience, les « réseaux sociaux » engrangent de l’argent parce qu’ils sont pragmatiques.
Quel est le problème au fond ? Les filles veulent choper des beaux mecs, qui les font rire et leur font passer du bon temps ; les mecs font exactement la même chose : ils veulent des filles qui leur plaisent avec qui se faire du bien en espérant que ça dure le plus longtemps possible. J’ai arrêté de fréquenter autant que je peux les strates sociales qui regardent du Arte et écoutent France-Cul en s’extasiant dans les commentaires YouTube sur l’« intelligence » des émissions proposées. Les gens qui les composent sont généralement tristes à faire mourir des rats crevés. Quand on leur propose du pâté de cerf, ils te font un cours d’« écologie » parce qu’ils compostent trois fanes de poireaux par semaine et quatre pelures de patates dans leur appartement de centre-ville.
Dans la France d’« en-bas » les choses sont plus simples et on n’a souvent jamais entendu parler de « wokisme » et d’andouilleries de la même farine. On vit. Et si un mec s’acharne à jouer les pires tocards au PMU en simple gagnant, en t’expliquant que t’as rien compris à l’histoire comme ces demeurés t’expliquent que tu n’as rien compris au rapport de séduction entre les hommes et les femmes, on se fout bien d’eux et on les taille sévère.
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