« La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.
Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population. » (Véran)
Apparemment, il se passe des choses étranges en Guadeloupe et en Martinique, et le voyage éclair du ministre du Big Pharma Olivier Véran dans l’un de nos territoires d’Outre-mer nous a mis la puce à l’oreille : il a parlé de terribles ravages de la pandémie de covid, qu’il n’avait jamais vu une telle pression sur les hôpitaux, que la situation était presque hors de contrôle, alors que des pompiers, des soignants soutiennent le contraire, en insistant sur l’état délabré du système de soins, un délabrement absolument politique puisque dû à la « gestion » de Martin Hirsch, le monsieur qui chapeaute l’hôpital français. Il est directeur de l’AP-HP depuis 2013...
De la même façon qu’en métropole l’épidémie habituelle de grippe saisonnière a été changée d’un coup de baguette oligarchique en pandémie de covid (ou de coronavirus, avant l’invention des très pratiques variants), dans les territoires d’Outre-mer, c’est l’épidémie saisonnière de dengue – une grippe tropicale – qui a été transformée en psychose covidienne. Il y a corrélation dans la méthode.
Écoutons à ce propos Francki Relou, relayé par qactus.fr :
« Depuis des décennies, l’épidémie de dengue a lieu dans ces régions à partir du mois de mai jusqu’au mois de novembre, c’est quelque chose de cyclique et j’imagine que les personnes qui vivent sur place pourront me le confirmer. Et là, comme par hasard, mais alors comme par hasard, vous savez, comme cette histoire de grippe qui depuis que le covid est arrivé a disparu, d’accord, comme par hasard, le 21 mai, sur le site officiel du gouvernement, était titré : fin de l’épidémie de dengue en Guadeloupe, deux petits points, restez vigilants, et protégez-vous des moustiques. C’est en effet la plus longue, notez, c’est trop important, c’est en effet la plus longue épidémie jamais enregistrée à ce jour sur le territoire de la Guadeloupe. Elle a débuté en octobre 2019 et s’est terminée officiellement le 21 mai 2021...
C’est-à-dire qu’une épidémie qui habituellement sévit de façon cyclique, de façon périodique, du mois de mai au mois de novembre, comme par hasard celle-là, qui a été déclarée officiellement terminée, ils sont forts les mecs, le 21 mai, elle s’est arrêtée le 21 mai, a duré 78 semaines, d’accord ? Et aujourd’hui, comme par hasard, cette épidémie n’existe plus, on a une flambée des cas de covid. Et comme par hasard aussi, comment on détecte la dengue ? Eh ben entre autres par un test PCR ! »
Nous avons vérifié, c’est authentique, le gouvernement note bien :
C’est en effet la plus longue épidémie jamais enregistrée à ce jour sur le territoire de la Guadeloupe. Elle a débuté en octobre 2019 (semaine 42), a traversé toute l’année 2020, pour marquer le pas en mars dernier (semaine 09), soit 78 semaines au total.
Les témoignages sur une embrouille gouvernementale remontent de partout :
« En Martinique en ce moment les morts ne jonchent pas les rues, les renforts qui ont été envoyés, ce sont des décisions politiques, car ici nous avons tout le personnel soignant qu’il faut, ils ont envoyé du personnel soignant vacciné de métropole sans aucun matériel, alors que soi-disant nous manquons d’oxygène et de médicaments.
Nous avons énormément de jeunes et de gens qui sont en métropole, d’Antillais, Martiniquais et Guadeloupéens qui ont posé leur candidature pour venir travailler au pays, pour aider, ils ont été tous sans exception refusés, ils n’ont embauché que du personnel métropolitain vacciné.
Le but c’est que, comme le personnel est récalcitrant à la vaccination ici, c’est de les remplacer. Et d’une. Témoignage du CHU à l’hôpital de gens qui y travaillent : tous les stocks d’ivermectine ont été réquisitionnés par l’État par le biais de la gendarmerie dans toutes les pharmacies, puisque les médecins ici commençaient à prescrire beaucoup d’ivermectine, d’azithromycine et tout le protocole qui empêche les gens d’aller à l’hôpital... »
La vérite sur ce qui se passe en Martinique. A écouter !
Réquisition stock Ivermectine et Oxygène.
Ils veulent faire un exemple pour montrer que la Martinique, la moins vaccinée en France et mortalite très faible jusque là, sombre...https://t.co/mrElq4Dpjw— Jean-François Lesgards (@JLesgards) August 17, 2021
Le même témoignage sur une vidéo :
On a bien compris que l’oligarchie politico-médicale essayait, depuis 19 mois maintenant, de saturer artificiellement les hôpitaux pour créer une psychose à partir de maladies saisonnières qui font, on le sait, toujours des morts sur les personnes dites à risques.
La psychose sert cette engeance politiquement, et permet d’affaiblir encore plus le service public de santé, au profit, bien sûr, du Big Pharma qui empoche des milliards en vaccination aussi inutile que dangereuse.
Et puis, derrière le Big Pharma, il y a BlackRock et Vanguard, soit la haute finance internationale. Sans oublier le Big Tech, qui ne paye pas d’impôts chez nous et qui se fait une ventrée sur la numérisation de l’économie, c’est-à-dire la destruction de l’économie productive au profit d’une économie de services. Et qui partage les données tirées de la surveillance du citoyen récalcitrant avec les gouvernements corrompus.
Elle est pas belle, la pandémie ?
Rappel, pour l’histoire, et la justice :
la déclaration de Véran en Martinique
Je viens en Martinique pour dire les choses. La vague de covid qui frappe les Antilles est la conséquence d’une vaccination trop faible. Elle fait des milliers de malades, des dizaines de morts par jour et met en tension le système sanitaire. Mes pensées vont vers les familles.
Pour faire face, des centaines de médecins et soignants ont pris un vol avant-hier depuis Paris pour sauver des vies après mon appel à la mobilisation. Je leur dis mon admiration et ma reconnaissance. Nous organisons déjà les prochains renforts depuis la métropole.
Pour faire face, nous renforçons les hôpitaux Antillais en oxygène, en traitements de pointe comme les anticorps monoclonaux, en matériels de protection, en lits d’hôpitaux. Nous organisons des évacuations sanitaires vers la métropole.
La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.
Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population.
Il y a ici des vaccins pour tout le monde, les mêmes qu’en métropole et que dans la plupart des pays occidentaux. Efficaces, sûrs, ils sauvent des vies partout, en quantité.
85 % des médecins de l’hôpital de Fort-de-France sont vaccinés. Faites-leur confiance, plutôt qu’à ceux qui sèment la peur et la discorde en espérant y récolter un peu de célébrité ou de pouvoir. Le konseye pa le peye.
L’hôpital est rempli de malades qui avaient peur du vaccin au lieu d’avoir peur du virus. C’est insupportable, parce que c’est évitable. Nous ne baisserons jamais les bras, nous tiendrons, ensemble. Kimbé rèd !
Il est clair que ces propos lui seront reprochés un jour, celui de la libération.