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Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

Comprendre les femmes, pour un homme normalement constitué, c’est chose quasi impossible. L’écrasante majorité des hommes fait l’expérience des femmes ou de la femme dans la douleur. On croit que tout va bien, le véhicule formé par le couple roule tranquillement sur l’autoroute du bonheur et plaf, l’accident, maman s’en sort indemne et papa souffre.

 

C’est vieux comme le monde, et l’explication est très simple : les hommes ne voient pas les femmes venir, ils ne savent pas comment elles fonctionnent. Et pourquoi ? Parce qu’ils appliquent à l’esprit féminin des schémas de pensée rationnels, masculins pourrait-on dire. Et ça, ça ne marche pas. Ça peut marcher un temps, mais ça finit toujours par riper dans les décors.

Les femmes ne sont pas des êtres retors pour autant, mais elles ont leur fonctionnement, leur esprit, leurs mystères et leur(s) secret(s). Et dans leur secret réside leur pouvoir : elles savent des choses sur elles et sur nous que nous ne savons pas.

En revanche, si on étudie bien le comportement de ces animaux très spéciaux, de ces agents du Diable – c’est la Bible qui le dit, hein –, on peut arriver à éviter les ennuis, pas tous, mais les plus importants. Pour l’homme, et ce, depuis le début de l’humanité, sauf si nos ancêtres partouzaient dans les arbres, la grotte ou la savane, l’ennui principal c’est la femelle qui change de mâle.

 

 

Elle a ses raisons, et elles sont au fond assez rationnelles, se résumant en un mot ou deux : sécurité, protection. Mais la femme veut tout, elle veut la sécurité et la liberté, le couple et l’aventure. Si on lui donne la sécurité, elle rêvera d’aventures. Si on lui laisse l’aventure, elle pourra trouver meilleure sécurité ailleurs, car la lutte pour les femmes est éternelle, et la compétition inter-mâles féroce. Alors, comment faire ?

Les Siciliens et les musulmans rigoristes ont trouvé une solution pragmatique : cacher, enfermer la femme, pour éviter toute tentation ou toute tentative de fuite. Ça marche un temps, mais les mœurs ont changé. La question devient alors plus complexe : dans un contexte de liberté presque absolue, de tentation permanente vantée par le Système, de réalisation de soi et de réussite matérielle placées au-dessus du couple ou de la famille, comment garder une femme sans l’attacher ni la tarter du matin au soir ?

C’est là où les trois livres Kontre Kulture vous donnent des pistes sérieuses. Certes, ces ouvrages relativement brutaux sont vilipendés par la critique, qui est comme chacun sait d’obédience féministe. Traduction : les femmes ne veulent pas qu’on trahisse leurs secrets. Mais bon, on va pas se laisser faire non plus, ici c’est pas écrit boloss des gonzesses.

Les livres, ça va plus loin que le cautchingue

 

Alice allume les allumeuses

 

De toute façon les femmes sont folles

 






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60 Commentaires

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  • #3463372
    Le 9 décembre à 13:49 par Captain Viril c===3
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    Il faut surtout comprendre qu’à la base ce sont des êtres rationnels, comme les hommes, mais dont le fonctionnement cérébral est largement plus affecté par un tas d’hormones en tous genres. D’où irrationalité assez fréquente.

     

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  • #3463374
    Le 9 décembre à 13:51 par Howard
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    "Ce que le diable ne peut pas, femme peut."

     

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  • #3463403

    " Il y a tellement de femmes avec qui l’on peut coucher et si peu de femmes avec qui l’on peut parler." Ernest Hemingway.

     

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  • #3463519
    Le 9 décembre à 19:32 par Oméga
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    Ce que je trouve le plus pathétique, ce sont toutes ces personnes qui ont constamment besoin d’une autre personne pour mener leur propre vie ! C’est incroyable le nombre de coach, d’experts, de consultants en tout genre. À croire que ces gens sont devenus trop stupides pour réfléchir d’eux-même, incapable de spontanéité par manque de confiance.. Mais bordel, posez-vous la question : Comment faisaient vos grands-parents, vos ancêtres pour vivre leur vie ? Avaient-ils besoin d’un expert pour leur dire comment enfiler leurs chaussettes, un consultant pour faire des mômes, puis un autre pour les élever. Un coach de vie pour pour motiver les paysans, les fermier, le maire du village... Eh ben on a en a fait du chemin depuis ! c’est beau à voir.

     

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  • #3463535

    La femme française cherche la sécurité, mais bien souvent malheureusement elle doit se l’assurer seule. Economiquement par peur du divorce, sur le plan des sentiments par manque de volonté d’engagement de la part de nombreux hommes. Elle se résigne alors à prendre les devants, et glisse dans le "contre nature."C’est elle qui prend les rennes du couple, par défaut on va dire. Elle doit bien souvent gérer les grossesses, le boulot et l’éducation des enfants de front. Elle a besoin d’hommes matures qui, souvent, préfèrent regarder les matchs de foot ( ou de boxe :-) ).... je caricature bien sûr. Parfois, elle en devient tyrannique et fabrique des hommes-soja.
    Elle voudrait pouvoir rester à sa place ( la cuisine ) mais malheureusement, peu d’hommes gagnent assez pour faire vivre le foyer.
    Alors elle s’endurcit car confrontée à la réalité extérieure du monde du travail, elle perd la rondeur et la bonhommie que pouvaient avoir certaines de ses grand mères.
    La femme a du mal à rester femme parce que la société l’a sortie du foyer, et parce que l’homme ne sait plus qui il est.
    Est ce moins bien qu’avant ? Je ne pense pas. L’homme et la femme doivent maintenant apprendre à se parler et à s’écouter car les rôles ne sont plus pré établis, et que chacun, en dehors des prédispositions naturelles, doit pouvoir trouver sa place.

     

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    • #3463823
      Le 10 décembre à 11:19 par Alençon
      Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

      nan mais Eve (1 de mes prénoms préférés) ,
      les bonnes intentions que tu prêtes aux femmes , concernant l’ engagement conjugal notamment , se traduisent le plus souvent par des échecs familiaux -divorces- dont elles partagent largement les responsabilités , puisqu’ elles en sont très majoritairement les initiatrices .
      et le 1er problème des couples qui capotent , c’ est le désengagement de l’ une ou l’ autre des parties , dans "la vie de/du couple" , autrement dit ’les activités qui les unissent durablement dans un bonheur partagé’..
      le plus communément le désengagement féminin (plus rarement masculin) survient avec les enfants.. et ne revient plus .
      mais le pire , est que les épouses , qui ne sont plus soumises de corp et d’ esprit à leurs conjoints (et c’ est 1 progrès on est d’ accord) , attendent toujours qu’ on leur force la main pour faire autre chose que des trucs de bobonnes.. un mari n’ est pas une copine et une épouse n’ est pas un copain !
      la liberté qui a été donné aux femmes de se choisir une raison d’ être (une bonne consommatrice et citoyenne) , a produit du progrès individuelle peut être , mais pas collectif c’ est certain.. Soral faisait le même constat avec le temps libre , de loisir , donné aux hommes , qui c’ est concrétisé par des gros cons chevillés à leur canapé , jouant à des jeux vidéo en sirotant de la bière , et non des artistes curieux du monde et de philosophie .

       
    • #3463972

      Cher Alençon,
      la "bonne intention" du mariage reste dans une société traditionnelle le meilleur moyen pour élever des enfants. Jusqu’à preuve du contraire, cela se fait à 2, idéalement de sexe opposé, et si divorce il doit y avoir, je doute que les femmes soient les principales initiatrices de ce dernier. Quand bien même elles le seraient, voilà bien un exemple supplémentaire du fait que les femmes occidentales doivent aussi endosser le rôle de celle qui prend les décisions.
      Vous parlez de désengagement féminin des loisirs communs quand les enfants arrivent...et bien, voilà encore une preuve supplémentaire du fait que l’homme devenu père devrait comprendre que sa femme devenue mère n’attend que cela, être déchargée de ses obligations instinctives envers ses enfants pour sortir de son rôle de "bobonne" comme vous dites...là est le rôle du conjoint.
      Pour n’importe quelle mère qui a gardé son instinct, effectivement, ses enfants passeront en 1er. Avant même son propre confort ...et sa propre vie.
      La liberté qui a été donnée aux femmes n’est pas d’être ni consommatrices, ni citoyennes, mais mères, épouses, tout en restant femmes ... et ceci dans une société qui part en cacahuète.

       
    • #3464169
      Le 11 décembre à 05:46 par Flaubert’s parrot
      Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

      "Jusqu’à preuve du contraire, cela se fait à 2, idéalement de sexe opposé, et si divorce il doit y avoir, je doute que les femmes soient les principales initiatrices de ce dernier."@Eve.
      80% des divorces dans le monde occidental sont à l’initiative des épouses et non des maris, c’est un fait sociologique établi, le mari préférant la plupart du temps avoir une maîtresse ailleurs, que de rompre explicitement le lien familial, surtout lorsque le couple a des enfants...

      Quand bien même elles le seraient, voilà bien un exemple supplémentaire du fait que les femmes occidentales doivent aussi endosser le rôle de celle qui prend les décisions.@Eve.
      Ou comment avoir raison quand on a tort...
      En fait tu sais très bien que ce sont très majoritairement les femmes qui choisissent de divorcer mais tu joues à l’ingénu en prenant les autres pour des cons puis avoue ta pensée profonde :même coupables les femmes sont encore des victimes (typique des femmes et des
      minorités visibles).
      Donc pile je gagne et face tu perds !!!
      Et puis pourquoi le fait de prendre des décisions devrait revenir aux hommes puisqu’ils n’ont plus rien à gagner en contre-partie ???.
      Vous avez voulu l’égalité assumez maintenant au lieu de vouloir à la fois le beurre et l’argent du beurre, marre de votre double jeu à la con !!!
      Et après on s’étonne qu’il y ait de plus en plus de PD, de trans etc...
      Au-delà de la sexualité tous ces êtres-là cherchent la mansuétude et les avantages indus que la société occidentale accorde en général aux femmes.

       
    • #3464305

      Cher Flauberts’ parrot,

      je ne pense pas que la femme française cherche l’égalité. Elle cherche plutôt la complémentarité.Le temps où la femme trompée devait rester au foyer car tenue financièrement est révolu ne vous en déplaise. Et si la femme joue, pensez vous, double jeu, ne serait ce pas parce que cela a été un mode de survie durant les siècles passés ? Croyez moi, si les hommes pensent que les femmes sont tordues, pensez vous que les femmes ne se posent pas, elles non plus, de questions sur les hommes ? Je parle bien sûr de la femme éveillée sur le monde actuel et ses enjeux. Et si j’écris sur ce fil aujourd’hui, c’est bien parce que j’ai cherché à me ré informer , et que donc vous parlez à un "être" qui est sorti de son individualisme pour réfléchir et dialoguer ( ou tenter de le faire ) en essayant de sortir d’une pensée immature car remplie de poncifs erronés.
      Les modèles hommes/femmes sont donc à créer selon les nouvelles données économiques, sociologiques, en essayant d’éviter les ingénieries sociales qui nous montent les uns contre les autres, nous entrainent dans les abîmes de la débauche ou nous démoralisent pour mieux nous stériliser. Car agissant ainsi en blâmant sans distinctions les femmes, vous faites le jeu de notre stérilisation mutuelle et donc de notre perte à tous.
      Je vous laisse donc devenir sodomite par dépit...en vous remerciant de cet échange.

       
  • #3463555
    Le 9 décembre à 20:35 par thebluehorse
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    Petites remarques de base :
    Les médias et la culture favorisent le conflit entre homme et femme.
    Les hommes et les femmes sont égaux en stupidité ; en défaut et en qualité.
    Les menstrues, sont la cause de grande fatigue et de sautes d’humeur (manque de fer, variations hormonale ).
    Si vous êtes petit et moche, faites comme Humfrey Bogard ; devenez riche ; drôle ; ou talentueux genre, Gainsbourg ou Jean-Paul Sartre.
    On ne peut pas tout avoir : si vous épousez une pétasse, ne soyez pas surpris.
    La seule chose qui fasse durer un mariage : le respect.

     

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  • #3463657
    Le 10 décembre à 04:50 par thebluehorse
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    @ Yankee 98
    « La répétition est la pire forme de répartie ».
    Lisez Corneille, Molière ou La Fontaine, et vous changerez d’avis.

     

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  • #3463703
    Le 10 décembre à 07:34 par anonyme
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    Les dragueurs, les vrais, ont très bien compris les femmes !

     

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  • #3464126
    Le 11 décembre à 00:14 par Snoey76
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    Ne pas comprendre les femmes est dangereux et mène inéluctablement à la catastrophe. Comprendre les femmes mène inéluctablement au désintérêt et à l’indifférence. Tragique…

     

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  • #3464223
    Le 11 décembre à 10:30 par Juju
    Comprendre les femmes, c’est comprendre la contradiction

    La pomme de la discorde :
    N’oublions pas que c’est Ève qui a tendue la pomme à Adam qu’il n’a pas vraiment digéré et qui lui est resté en travers de la gorge, d’où les problèmes relationnelles qui durent depuis ces temps immémoriaux entre hommes et femmes.

     

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