Non, Alexis Cossette ne m’inspire aucune confiance. Il me fait penser aux gens du projet TRUST qui fut mis sur pied aux débuts de l’URSS : face une progression évidente et inexorable du mal ce genre de personnage demande de faire confiance à la bonne marche d’un plan mis sur pied par des gens de bien. En URSS tous ces gens de bien se révélèrent être des staliniens parmi les pires même si ce n’étaient pas exactement des léniniens et des trotskystes de la première heure et bien plutôt d’anciens ultra-conservateurs et des bureaucrates tsaristes passés à la puissance soviétique par intérêt personnel et dont le rôle était de repérer et de dénoncer tous les idéalistes ayant contresigné leur message d’espoir.
Alexis Cossette a cru en Trump jusqu’au bout et demande toujours d’y croire. J’avais toujours eu des doutes sur Trump dont l’action politique a été surtout d’accorder des baisses d’impôts aux très riches et à nommer des cadres de la Goldman Sachs mais avec son traitement de Julian Assange, auquel il a refusé le pardon présidentiel pour l’accorder plutôt aux barbouzes de la Blackwater en Irak (ceux-là même que les Wikileaks ont dénoncé) les couleurs de Trump sont pour moi sans équivoque, et maintenant avec l’odieux procès qui s’éternise on apprend que les initiatives les plus tordues pour faire subir à Assange ce qu’il subit depuis quelques années ont été des initiatives très pointues de ce président.
Trump c’est le Zemmour de l’Amérique. Zemmour ne veut aucun bien aux Français de souche qu’il dit prendre en pitié, il veut les encourager à entrer en guerre civile. Le rôle de Trump a été de contribuer de la même manière à la fracture en deux du peuple américain car pour la bonne marche du projet mondialiste il faut des peuples en guerre civile.
Alexis Cossette enjoint ses ouailles à croire en un camp du bien qui serait celui des anti-covidiens. Non, les deux côtés de ce débat sont sous influence kabbalistique égale. Le but de l’opération COVID c’est de faire tomber des libertés et de faire comprendre aux citoyens que le règne de la raison c’est terminé, un message qui est parfaitement reçu et accepté sans brocher par l’immense masse des intéressés. Le vaccin Pfizer est une drogue surtout psychiatrique. Même s’il ne fait pas de bien à l’organisme ce n’est pas l’outil privilégié des dépopulations de demain. Attali quand il parlait de troupeau conduit à l’abattoir parlait de l’ensemble des remèdes du big pharma offerts aux vieux.
Répondre à ce message