Fidèle à lui-même, c’est-à-dire à son eschatologie sioniste anti-peuples (sauf le sien), le conseiller des princes Jacques Attali, dit le mage Jacquadit, monte encore d’un cran dans sa proposition de destruction de notre société et de sa cellule de base, la famille. Pas étonnant non plus qu’il se situe dans la lignée des mondialistes vaccinateurs fous à la Bill Gates !
« Je pense pour ma part que cette épidémie se terminera quand on aura un vaccin et un médicament. C’est demain matin ou dans deux ans, ou jamais. »
La question qu’on peut se poser c’est pourquoi les médias mainstream continuent-ils d’interroger Attali, comme s’il était un intellectuel majeur. Ce qu’il y a de majeur en lui, c’est son socialo-sionisme, pas son intellectualisme. Et encore moins la justesse de ses vues.
« Avant, on ne pourra pas se déconfiner, sauf de créer les conditions de disposer assez de masques, de tests, de mécanismes de contrôle du voisinage qu’on a pu avoir avec des gens qui ont été malades, toutes choses qu’on n’a pas. »
L’interview date du 20 avril 2020 mais avec Jacquadit, les propos sont toujours éternels.
« J’ai dit “on marche sur la tête” parce qu’on dépense beaucoup d’argent pour sauver les entreprises, et c’est très bien ainsi, mais on dépense très peu d’argent pour trouver le vaccin et le médicament qui sont nécessaires. »
Si Jacquadit a raison, c’est donc qu’on ne veut pas les trouver (si toutefois ils sont trouvables), et qu’on veut prolonger cette situation, qui place le peuple en soumission d’un pouvoir qu’il commençait à contester dangereusement. On, c’est évidemment le pouvoir, visible et/ou profond.
« On dépense sans doute 10 000 milliards, 10 000 milliards pour faire survivre les entreprises du monde entier, mais on ne trouve pas, à l’heure où nous parlons, les 50 milliards qui sont demandés pour lancer à grande vitesse la recherche du médicament et du vaccin, ça me paraît fou. »
C’est peut-être ça, au fond, le but du braquage mondial « Covid-19 » : prendre 50 milliards aux pays solvables qui ont été touchés par cette grippe étrange... Des milliards qui vont peut-être aller dans les poches des entreprises intéressées par le couple psychose-vaccin, et qui sont peut-être les amies ou les conseillées de Jacquadit, du moins de Bill Gates...
Le plus drôle ou le plus triste dans cette interview surréaliste, intitulée « Comment résoudre la crise ? Les réponses de Jacques Attali », c’est que la journaliste de France 24 croit sur parole le sieur Attali. Pas une seconde elle ne remet en question ses élucubrations, qui sont pourtant facilement opposables, par exemple sur le déconfinement qui pourrait durer deux ans ou des années. Comment peut-on entendre ça et ne pas réagir ? Qu’est-ce qui paralyse la « journaliste » de service public ?
France 24 : « Emmanuel Macron a appelé à annuler la dette des pays d’Afrique, Jacques Attali, le G20 a mis en place une sorte de moratoire sur l’intérêt de la dette, l’Afrique va-t-elle payer le prix fort de cette crise ? »
Jacquadit : « On ne sait pas, mais certains scénarios très sombres parlent de 500 millions à un milliard de contaminés et plusieurs millions de morts, en Afrique. »
Tiens, comme pour le sida ! On retrouve les mêmes espérances mondialistes...
« Aujourd’hui, sans effort de confinement une personne peut contaminer 5 ou 10 personnes. Aujourd’hui, avec le confinement, on pense qu’on est descendu autour de 2. Et il faut descendre au-dessous de 1. Les Allemands l’ont compris et commencent à descendre au-dessous de 1. Mais pour descendre au-dessous de 1, il faudra aller beaucoup plus loin que là où on va. Il faudra, dans tous les pays, isoler celui qui est contaminé de sa propre famille. Donc il faut trouver des lieux pour mettre soit la famille qui n’est pas contaminée, soit celui qui est contaminé, ailleurs. C’est la seule chose qui va permettre de réduire considérablement le taux de contamination. »
Briser les familles pour une grippe un peu vilaine, quelle idée humaniste ! On a vu le résultat dans les Ehpad, où les familles n’ont pas pu voir leurs aînés... Euthanasiste un jour, euthanasiste toujours !
Pour finir, une question drôlatique de la journaliste inconsciente, ou sous-cultivée, on hésite, parce que Jacquadit est l’un des conseillers à l’origine de cette stratégie de désindustrialisation ou de désouverainisation de la France en matière économique : il a milité pour l’Union européenne, c’est-à-dire pour l’Allemagne et contre la France. Voilà pourquoi il botte aussitôt en touche !
France 24 :« Est-ce que la France paye sa désindustrialisation, la délocalisation de son industrie ? »
Jacquadit :« De toute façon ce problème est mondial, la solution peut être mondiale, elle doit être d’abord européenne... »
La phrase de fin, à retenir :
« L’autosurveillance technologique est aussi un moyen de liberté, si je me surveille moi-même et que j’en tire des conclusions pour moi, la technologie me permet d’être plus libre. »
C’est ça, ouais !