L’outil vertueux de dépopulation des pauvres ?
Officiellement, le planning familial est « l’ensemble des moyens qui concourent au contrôle des naissances, dans le but de permettre aux familles de choisir d’avoir un enfant » (Wikipédia). Effectivement, cette association d’utilité publique aide les femmes dans leur grossesse et leur maternité, parfois dans leur solitude et leur détresse, et à l’orée des années 60, les familles de 8-10 enfants n’étaient pas rares. Mais un but caché est venu ternir ce programme : il y a une trappe à l’intérieur, à l’image du logiciel espion Pegasus, vendu par Israël à nombre de pays, qui permet de surveiller les « surveilleurs », un sous-programme dans le programme...
Le planning familial, comme son nom ne l’indique pas, sans le vouloir, du moins on l’espère, a pour objet – ou alors pour conséquence – la réduction du nombre d’enfants et la déstructuration de la famille. En France, le PF « a pour objectif l’éducation sexuelle, la lutte pour le droit à la contraception et à l’avortement et le contrôle des naissances en général, à l’origine dans une optique féministe universaliste », toujours selon Wikipédia.
On n’est plus dans l’information à caractère sexuel préventif ou dans l’accompagnement de jeunes femmes qui ne bénéficient pas d’un cadre familial compréhensif, mais dans le projet politique. Le PF est devenu une ingénierie sociale qui avance masquée, un loup sous une peau de mouton, et ça ne surprendra pas les personnes lucides. On se dit, en découvrant l’historique américain de ce projet et son évolution récente, qu’il rejoint étrangement celui de Bill Gates et des mondialistes !
Le PF est revenu dans l’actualité au bénéfice d’une campagne d’image désastreuse. Heureusement, la presse mainstream a volé au secours de cette association reconnue « d’utilité publique », sous prétexte de lutte contre la transphobie, qui est, rappelons-le, le souci numéro un des Français, après la lutte contre l’homophobie, la lutte contre le sexisme, la lutte contre le racisme et la lutte contre l’antisémitisme. Le reste, la peur du chômage, de l’inflation, de l’insécurité, de la guerre, des destructions néolibérales, c’est de la petite bière.
Tout a commencé par ça :
Un exemple de réaction parmi d’autres, celle d’Hélène Laporte, vice-présidente RN de l’Assemblée nationale, qui a tweeté :
Le #PlanningFamilial n’est désormais qu’une simple association militant pour la théorie du Genre. Elle est pourtant toujours subventionnée par nos impôts et agréée par l’Éducation nationale pour intervenir auprès des plus jeunes ! Une réaction @PapNdiaye ?
Du côté de chez Zemmour, on choisit aussi l’angle des impôts :
Voici à quoi servent vos impôts : à financer les nouveaux délires du « planning familial ». pic.twitter.com/ElbSwqMmLy
— RECONQUÊTE ! (@Reconquete_off) August 18, 2022
Le PF a réagi à ces « attaques » (majoritaires sur Twitter, qui n’appartient même pas à Elon Musk le mal-pensant) avec un communiqué féministe en diable :
« Nous, féministes, n’accepterons pas de voir le Planning familial faire l’objet d’une campagne de dénigrement sur le dos des minorités de genre »
La réponse complète du PF transphile (ou transphobiphobe) en écriture inclusive, s’il vous plaît, ce qui ne vas pas améliorer son cas vis-à-vis de la majorité des Français qui sont, on le rappelle, à 99 % (disons 95 %) hétérosexuels et pas forcément homophobes pour autant :
Suite aux attaques de l’extrême droite que subissent @leplanning et ses militant•es notre association prend la parole et lance un appel à soutien ⤵️ pic.twitter.com/ggSCZtHRuE
— Le Planning Familial (@leplanning) August 19, 2022
De la même façon que la triplette préfet-ARS-Conseil de l’Ordre qui déchaîne sa haine pour une affiche antivax, dans le mouvement actuel des minorités agressives défendues par le pouvoir profond, on a droit à l’association qui consulte ses « conseils juridiques pour poursuivre ces instigateurs de haine ». On explique : dès qu’on ne se soumet pas à une injonction – et a fortiori à une injonction débile – lancée par une minorité, en l’occurrence une micro-minorité, on est immédiatement catégorisé dans la « haine ». Cela fait beaucoup de haineux, et peu de haïs, une sorte d’oligarchie des hainés, comme il y a les racisés...
Le PF, au départ, devait informer les femmes sur la possibilité de réguler les naissances issues de grossesses non voulues ou accidentelles, qui plombaient matériellement la vie de nombreuses familles déjà nombreuses. Aujourd’hui, la dérive est totale : le PF est devenu un outil de contrôle social, une arme offensive contre la majorité dormante, à la manière d’Act Up Paris qui agressait physiquement (Alain Soral peut en parler) ceux qui n’étaient pas des homosexualistes radicaux ou qui critiquaient la politique de ponction financière publique pour un sida dont on ne parle plus ou presque, 40 ans après. Sauf pour les faux vaccins de multinationales machiavéliques qui ressemblent étrangement à des injections de chute immunitaire...
Qu’on se le dise : le jour où la pédophilie et la zoophilie seront autorisées, ceux qui s’y opposent seront taxés de nazis.
- Hunter Biden est en avance sur le progressisme
Le nazisme, ça sert à tout, il suffit de savoir s’en servir. Cependant, comme tout outil, il s’use quand on s’en sert trop. Le vieux marteau frappe de moins en moins fort, les clous sont devenus trop durs !
- Thor écrabouille les homophobes
Piqûre de rappel pour les générations futures : le progressisme, c’est ça
Une transgenre accro aux chirurgies dépense plus de 100 000$ en quête du corps parfaithttps://t.co/WYuVFyOQeZ pic.twitter.com/YYcvYFtTla
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) January 6, 2016
« La chirurgie esthétique n’est pas une drogue, mais c’est quelque chose que les gens comme moi désirent. Je ne suis pas contente avec mon visage et certaines parties de mon corps. Je n’arrêterai pas ici, je veux continuer parce que ce n’est pas parfait. Si j’atteins la perfection, alors peut-être que j’arrêterai. »