C’est là que l’on constate que les banksters ne possèdent vraiment pas le même référentiel que nous. Une parfaite illustration de cet état de fait est apportée par l’interview de Soros réalisée en 1999. Il sait que ce qu’il fait est amoral (souffrance des peuples, chutes des états souverains...) mais on ne peut pas dire qu’il s’en fiche. Ce n’est tout simplement pas dans son logiciel.
C’est pour cette raison qu’entre-autres nous ne sommes plus que des variables d’ajustement dans des graphiques élaborés afin d’établir les stratégies de profits optimaux sur le court, moyen et long terme. C’est d’ailleurs ce que montre le courrier de la Banque J.P. (John Pierpont et non pas Jean-Pierre lol !!) Morgan dont il est question dans la troisième vidéo (Europe Economic Research - 28 May 2013) dont on peut télécharger le PDF à cette adresse (16 pages) : https://www.europe-solidarity.eu/do....
La "partie sensible" se trouve page 12 au chapitre "The journey of national political reform". Elle montre effectivement que le "marché" cherche à affaiblir et détricoter chez les nations : "leur constitution (Portugal), la puissance de leurs régions (Espagne) et la montée des partis populistes (Italie et Grèce)".
Ite missa est !
Répondre à ce message