On pensait que les punitions corporelles étaient interdites, ou passées de mode, eh bien non. Écoutez ce qui suit, ça dépasse l’entendement.
Des élèves du lycée Notre-Dame-La-Riche à Tours (Indre-et-Loire) partent ce samedi dans le Nord de la France. Destination, le camp de migrants installé à Grande-Synthe près de Dunkerque (Nord). Pendant une semaine, ils vont venir en aide à quelques uns des 1300 réfugiés du camp.
C’est France Bleu, la radio qui coûte cher aux Français et qui rapporte que dalle, qui annonce la bonne nouvelle. Les jeunes apprenants vont prendre une grosse leçon d’humiliation physique et morale.
Visiblement, les élèves du lycée Notre-Dame-La-Riche sont maudits : déjà manipulés par des adeptes de la secte des ABCIO (Abrutis Bienpensants Complices Involontaires de l’Oligarchie), voilà qu’il doivent retourner à la décharge migratoire pour faire le sale boulot de nettoyage, deux ans après un premier voyage.
Des élèves du lycée [...] étaient partis à Lampedusa en Sicile à la rencontre des migrants en octobre 2015. Seize lycéens prennent désormais leur suite à partir de ce samedi.
Que vont-ils faire là-bas, loin de leur magnifique paysage tourangeau ? L’article de La Nouvelle République du 3 novembre 2016 (eh oui, les malheureux y sont retournés en 2016) nous l’explique avec ferveur :
Ils ont la niaque, et ça se sent. Les jeunes du lycée Notre-Dame-la-Riche s’apprêtent de nouveau à embarquer pour une aventure citoyenne dans le camp de réfugiés de Grande-Synthe entre le 2 et le 6 novembre. A l’initiative de Robin Durieux, codirecteur de l’animation socio-culturelle pour la Pastorale, ce voyage préliminaire a vocation à préparer une semaine de bénévolat en février. Sept élèves déblaieront le terrain la semaine prochaine, mais ils sont déjà vingt-quatre à vouloir participer au travail en février.
Certains étudiants profitent de voyages à l’étranger dans le cadre d’échanges culturels ou professionnalisants (Erasmus, le programme popularisé par le film L’Auberge espagnole, ou les MBA des grandes écoles, plus durs), ces lycéens se tapent les déchetteries laissées par les migrants, qui n’y touchent apparemment pas. Garçons et filles se partagent les tâches, en respectant la différenciation des sexes, malgré ce qu’avancent les adeptes de la théorie du genre :
Les filles vont donc notamment mettre en place un atelier bien être et relaxation pour les migrantes. Une idée qui a germé après un premier repérage sur place en novembre dernier.
On ne va pas perdre de temps à rechercher les raisons pour lesquelles Robin Durieux transforme les lycéens en éboueurs et les lycéennes en masseuses, mais on atteint là des niveaux de dinguerie post-comiques. Et si les jeunes migrants pleins de sève réclament leur massage ? Et si un groupe de migrants force une lycéenne à les masser ?
Que font les parents ? Pourquoi n’ont-ils par réagi ? Comment peut-on descendre aussi bas ? Vous le saurez en suivant le prochain épisode de Comment humilier les jeunes Français et les mettre au services des petits soldats de Soros.
Le mot de la fin à l’immense Robin Durieux, qui aura peut-être sa statue un jour en Érythrée ou en Afghanistan :
« En tant que citoyen, on a une place à prendre. Il faut que nous aussi, on s’y mette »
Sacré Robin, qui tombe dans le piège et ne voit pas la manipulation oligarchique. On comprend désormais pourquoi la gauche antiraciste, depuis 30 ans, a formé ces complices bénévoles sur le terrain. Prochaine étape : l’atelier « coucherie » pour les filles, avec abattage de 150 clients quotidiens ?