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Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

Une traduction E&R

 

Une traduction E&R
(s’agissant d’une interview, et de Donald Trump, la forme reste très... orale – nous espérons que nos lecteurs nous excuseront d’avance)

 

Nous sommes en direct de la majestueuse propriété de Mar-a-Lago avec le 45ème président en personne, le président Donald Trump, et je vais vous faire entrer, monsieur, car je sais que notre public aime vous entendre. Buck et moi avons fait le tour de cette propriété. Nous n’étions jamais venus ici auparavant. C’est absolument incroyable et phénoménal. Comment vous portez-vous alors que nous entrons dans ce qui sera certainement une saison 2022 très intéressante ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, nous nous en sortons très bien. Et politiquement, je suppose que vous voyez les sondages, et les sondages pour moi n’ont jamais été aussi élevés. Et je suppose que contre Biden, mais qui ne gagnerait pas ? Si vous regardez ce qui se passe, n’importe qui gagnerait.

CLAY : (rires) C’est vrai.

PRÉSIDENT TRUMP : Vous prenez le pire politicien d’Amérique, j’imagine que cette personne gagnerait. Mais les sondages sont extraordinaires : 96 % de taux d’approbation – j’en ai vu un ce matin, 98 %, mais 96 % de taux d’approbation – au sein du parti républicain, et j’obtiens de bons résultats auprès des indépendants, auprès des femmes, auprès de tout le monde. Et je pense que cela a beaucoup à voir avec le fait que ce que j’ai dit était vrai. Ce qui se passe est un désastre, qu’il s’agisse de l’Ukraine ou du retrait de l’Afghanistan, qui est à mon avis le moment le plus embarrassant de l’histoire de notre pays.

Je pense que cela a beaucoup à voir avec ce qui se passe en Ukraine. Regardez l’inflation. Vous regardez toutes les différentes choses qui se passent si mal pour notre pays. La frontière. Qui pourrait oublier la frontière ? Des millions de personnes, pas deux millions ou un million, comme ils disent. Je dis 10 millions. Des millions de personnes se bousculent dans notre pays.

Et beaucoup de ces gens viennent des prisons. Ils sont libérés. De pays - ils viennent de 127 pays maintenant. Mais beaucoup de ces pays vident leurs prisons comme si nous étions un dépotoir, directement dans notre pays. Je n’ai jamais rien vu de tel. Je ne pense pas que notre pays ait jamais été aussi bas. Vous pouvez prendre les cinq pires présidents de l’histoire de notre pays et les mettre ensemble, je ne pense pas qu’ils aient fait les dégâts que cette administration a fait.

BUCK : M. le Président, dans les dernières 24 heures, nous savons que la Russie a dit qu’elle reconnaissait deux régions séparatistes de l’Ukraine, et maintenant la Maison Blanche déclare que c’est une « invasion ». C’est un mot fort. Qu’est-ce qui a mal tourné ici ? Qu’a fait l’actuel occupant du Bureau ovale qu’il aurait pu faire différemment ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, ce qui a mal tourné, c’est une élection truquée et ce qui a mal tourné, c’est un candidat qui ne devrait pas être là et un homme qui n’a aucune idée de ce qu’il fait. Je suis entré hier et il y avait un écran de télévision, et j’ai dit, « C’est du génie ». Poutine déclare une grande partie de l’Ukraine – de l’Ukraine. Poutine la déclare indépendante. Oh, c’est merveilleux.

Donc, Poutine dit maintenant, « C’est indépendant », une grande partie de l’Ukraine. J’ai dit, « C’est pas malin ça ? ». Et il va y aller et être un gardien de la paix. C’est la plus puissante force de paix... On pourrait utiliser ça à notre frontière sud. C’est la plus grande force de paix que j’ai jamais vue. Il y avait plus de tanks de l’armée que je n’en ai jamais vu. Ils vont maintenir la paix, c’est sûr. Non, mais pensez-y. Voilà un type qui est très avisé... Je le connais très bien. Très, très bien.

D’ailleurs, cela ne serait jamais arrivé avec nous. Si j’avais été en poste, ce n’était même pas envisageable. Cela ne serait jamais arrivé. Mais voilà un type qui dit, vous savez, « Je vais déclarer une grande partie de l’Ukraine indépendante » il a utilisé le mot « indépendante », « et nous allons sortir et entrer et nous allons aider à maintenir la paix ». Tu dois dire que c’est plutôt malin. Et tu sais quelle a été la réponse de Biden ? Il n’y a pas eu de réponse. Ils n’en avaient pas pour ça. Non, c’est très triste. Très triste.

BUCK : Pensez-vous que la frontière sud va continuer à se détériorer ?

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

BUCK : L’année dernière, sous l’administration Biden... Donc, sous votre administration, vous avez mis en place le programme « Rester au Mexique ». Vous avez commencé...

PRÉSIDENT TRUMP : La frontière la plus solide que nous ayons jamais eue.

BUCK : Et l’année dernière a été la pire – par les chiffres, pas une analyse subjective, la pire – pour les arrestations illégales à la frontière que nous ayons jamais vues depuis que nous comptons. Il est probable que cette année sera pire aussi. Pensez-vous que le peuple américain en a finalement vu assez et en sait assez sur ce qui se passe à la frontière pour prendre des mesures cet automne et cet hiver ?

PRÉSIDENT TRUMP : Absolument. Oui, absolument, Buck. Je pense qu’ils savent, et je pense qu’ils voient, et vous savez qu’ils disent souvent, « Comment peut marcher un Sénat à 50/50 (républicains/démocrates) quand vous regardez l’absence d’identification des électeurs, le dé-financement de la police, les villes sanctuaires, les frontières ouvertes où les criminels sont autorisés à se déverser ? ». Quand vous regardez les gens qui ne peuvent même pas sortir de... Vous savez, je l’ai eu. Je voulais sortir de... Après 21 ans, je voulais sortir d’Afghanistan.

On allait en sortir. Je l’ai ramené à 2 000 hommes, nous étions prêts à les retirer, mais nous les retirions avec une très grande force. On allait garder Bagram, pas à cause de l’Afghanistan. Nous avons dépensé des milliards pour construire cette base, elle a les plus grandes et les plus longues pistes du monde, et elle est à une heure de l’endroit où la Chine fabrique ses armes nucléaires. Donc je gardais ça et je le gardais à fond.

Mais je voulais sortir de l’Afghanistan, et nous en serions sortis avec une force, une dignité, une puissance et un respect énormes. Au lieu de cela, nous avons l’air d’avoir capitulé – et vous savez que nous n’avons pas perdu un seul soldat américain en Afghanistan pendant 18 mois. J’ai parlé avec Abdul, qui est le leader – le leader actuel aussi. Il était le leader et maintenant il est le leader actuel.

Et nous avons eu une discussion très forte. Et à partir du moment où j’ai eu cette discussion, pas un seul soldat américain n’a été tué. Et c’était une chose étonnante. C’est Biden qui l’a dit. Il a dit que pas un seul soldat américain n’avait été tué en 18 mois, et son entourage lui criait : « Continuez ! Trouvez ce qui ne va pas », et il ne l’a pas fait. Non, j’étais...

Nous allions nous retirer avec beaucoup de force, nous allions garder Bagram, et nous nous retirions d’autres endroits, aussi, où il n’y a aucune raison pour nous d’être là. Ils nous détestent. Nous ne les aimons pas particulièrement. Et vous regardez l’OTAN, je l’ai appelé un tigre de papier. J’ai dit : « Dès qu’il y a un problème, il y a des gens qui se retirent », et je leur ai fait payer 400 milliards de dollars. Vous savez qu’ils étaient tous en retard de paiement.

Pas tous. Huit pays sur 28 ont payé, dont nous. On a payé. On avait plus que payé. Nous avons comblé la différence. Mais nous avons 28 pays, et huit étaient à jour de leur cotisation, et vous aviez 20 pays qui ne l’étaient pas. Et l’un des présidents de l’un des pays m’a posé une question lors d’une réunion à huis clos : « Est-ce que ça veut dire... ? ».

Et la presse se déchaîne : « Est-ce que ça veut dire que quelque chose est arrivé et que la Russie... ? ». Parce que c’était l’Union soviétique, mais la Russie... C’est assez proche en termes militaires (rires), comme vous l’avez probablement remarqué ce week-end, mais, « Voulez-vous dire que vous ne nous protégeriez pas ? ». Et j’ai dit, « Vous voulez dire que vous ne payez pas et que vous voulez qu’on vous protège ? ». J’ai dit : « C’est exact. On ne vous protégera pas si vous n’avez pas payé ». Vous savez ce qui s’est passé ? Le jour suivant, des milliards de dollars ont afflué.

BUCK : Dans quelle mesure craignez-vous que l’administration Biden soit entraînée dans le conflit militaire actuel en Ukraine s’il s’aggrave ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, je préférerais les voir envoyer des soldats à notre frontière sud. Je préférerais les voir... En trois semaines, on pourrait en finir. Ils ne laissent même pas le Texas utiliser nos militaires, qui sont tous payés, assis là, attendant d’être mis en place. Ça aurait pu être érigé en moins de trois semaines. Ça aurait pu prendre deux ans et demi pour commencer, car on a dû gagner 11 procès. Je préférerais que notre frontière sud soit protégée. Mais je n’aime pas l’idée qu’il envoie un petit nombre de troupes.

C’est une blague comparé à ce que l’autre côté fait. Vous savez, il envoie 3 000 soldats, j’ai entendu ce matin, 3 000 soldats. Qu’est-ce que ça va faire à part s’attirer des ennuis ? Non, j’aimerais que notre frontière sud soit protégée, et ils gèrent si mal l’Ukraine. Rappelez-vous – j’ai publié quelque chose ce matin – la Russie devient très riche parce que le prix du pétrole a tellement augmenté et c’est leur principale source de revenus.

C’est tellement vrai que ces chars de l’armée que vous voyez aller et venir partout, ce sont des cacahuètes par rapport à la quantité d’argent qu’ils gagnent : 40 dollars le baril quand j’étais là-bas, 1,86 dollar le gallon d’essence et maintenant, à certains endroits, le prix dépasse 7 dollars, et il va augmenter beaucoup plus.

BUCK : Et une mauvaise inflation aussi.

CLAY : Sans aucun doute, 7,5%. M. le Président, je vais vous lire un tweet de Joe Biden. C’était il y a presque exactement deux ans. « Vladimir Poutine ne veut pas que je sois président. Il ne veut pas que je sois notre candidat. Si vous vous demandez pourquoi, c’est parce que je suis la seule personne dans ce domaine qui ait jamais été au coude à coude avec lui ».

PRÉSIDENT TRUMP : Ouais.

CLAY : Presque deux ans jour pour jour. Aujourd’hui, Poutine a envahi l’Ukraine. Sous Obama, Poutine a également envahi le pays. Tout le monde parle de votre relation avec Vladimir Poutine, et il n’a certainement pas essayé avec vous. Pourquoi le fait-il avec Biden ? Que pensez-vous de la fanfaronnade de Biden, de ce tweet qui ne s’est pas reflété dans la réalité sur le terrain ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, même « Sleepy Eyes » Chuck Todd a dit ce week-end pendant son émission – je l’ai regardé pour changer et il a dit – (résumé), « Comment se fait-il qu’il n’y ait pas eu d’invasion pendant la période où l’administration Trump était là, alors qu’ils ont envahi – très sévèrement – avec Obama, puis ils ont attendu et ensuite ils ont envahi ? ».

Cela ne serait jamais arrivé si nous étions là. Mais il l’a fait. Chuck Todd a posé cette question. Comment se fait-il que rien de tout cela ne soit arrivé pendant l’administration Trump ? Je connaissais très bien Poutine. Je m’entendais très bien avec lui. Il m’aimait bien. Je l’aimais bien. Je veux dire, vous savez, c’est un dur à cuire, il a beaucoup de charme et beaucoup de fierté. Mais la façon dont il – et il aime son pays, vous savez ? Il aime son pays. Je pense qu’il agit un peu différemment maintenant.

Je pense qu’il voit cette opportunité. Je savais qu’il a toujours voulu l’Ukraine. J’avais l’habitude d’en parler avec lui. Je disais, « Tu ne peux pas le faire. Tu ne vas pas le faire » Mais je voyais bien qu’il le voulait. Je lui demandais. Nous en parlions longuement. Je pense que personne ne le connaît probablement mieux pour ce qui est des discussions que nous avons ou que nous sommes en train d’avoir ce matin. Donc, je le connaissais très bien. J’ai appris à le connaître. J’ai appris à connaître le président Xi. D’ailleurs, la Chine sera la prochaine. Vous savez, la Chine va...

CLAY : Vous pensez qu’ils vont s’en prendre à Taiwan ?

PRÉSIDENT TRUMP : Oh, absolument. Pas avec moi, ils ne l’auraient pas fait.

CLAY : Mais vous pensez qu’avec Biden, ils vont le tester ?

PRÉSIDENT TRUMP : Oh, oui. Ils attendent la fin des Jeux Olympiques. Les Jeux Olympiques sont terminés, et regardez votre chronomètre, d’accord ? Non, il veut ça tout comme... C’est presque comme des sœurs jumelles ici parce que vous en avez une qui veut Taïwan, je pense, tout autant. Quelqu’un a dit : « Qui le veut le plus ? ». Je pense que c’est probablement tout autant. Mais, non, Poutine ne l’aurait jamais fait, et Xi ne l’aurait jamais fait. Et aussi, la Corée du Nord n’a pas bougé pendant quatre ans.

BUCK : M. le Président, nous voulons revenir dans un instant ici avec vous pour vous parler de la situation du Covid.

PRÉSIDENT TRUMP : D’accord.

BUCK : Je dirais les échecs à propos du Covid de l’administration Biden.

PRÉSIDENT TRUMP : C’est vrai.

BUCK : Regardez la comparaison des chiffres, peut-être aussi l’énorme pic de criminalité qui s’est produit l’année dernière. Nous parlons avec l’ancien président Donald J. Trump.

BUCK : M. le Président, merci de rester avec nous. Nous l’apprécions vraiment. Vous avez été le premier président qui a dû faire face au Covid, à la pandémie, aux confinements, tout cela. Pendant que vous faisiez face à cela et pendant le processus électoral, Joe Biden a dit que toute personne ayant eu le nombre de décès qui s’était produit ne devrait plus être président. Lorsque nous faisons une comparaison sur 10 mois – pas seulement d’une année sur l’autre, mais de 10 mois en 10 mois – de la pandémie, les chiffres de Joe Biden avec le vaccin qui a été précédé par l’opération Warp Speed sont nettement plus mauvais. Que s’est-il passé ? Comment en est-on arrivé là ?

PRÉSIDENT TRUMP : Lorsque nous en avons entendu parler, personne n’en savait rien. Personne n’avait la moindre idée – à part le fait que j’ai dit très tôt que cela provenait, de toute évidence, du laboratoire de Wuhan, et j’ai été très critiqué. Ils ont dit, « Oh, comment avez-vous pu faire ça, comment avez-vous pu faire ça, comment avez-vous pu dire ça ? ». Vous savez, quand vous voyez des sacs mortuaires gisant un peu partout autour du laboratoire de Wuhan, ce n’est pas si difficile à deviner, à estimer.

Mais personne ne savait rien de tout ça. Mais on savait que ça causait d’énormes perturbations en Chine et des morts. On a vu beaucoup de morts. Vous savez, les gens ne parlent pas des morts en Chine parce qu’ils ne vous donnent pas de chiffres exacts. Si vous les écoutez, ils allaient bien. Ils ne l’ont pas vécu. Mais ils ont traversé beaucoup de choses aussi et ils traversent beaucoup de choses en ce moment.

Donc, j’en ai entendu parler, et nous nous sommes vraiment mobilisés rapidement, et nous avons pris beaucoup de bonnes décisions. Et, vous savez, nous discutions justement pendant la pause de Fauci. Fauci n’était pas un acteur important de mon administration parce que c’est moi qui prenais les décisions, et j’ai pris la décision de fermer notre pays à la Chine parce que, vous savez, des gens mouraient...

CLAY : Et ça a été qualifié de raciste, d’ailleurs.

PRÉSIDENT TRUMP : Oh, oui. J’ai été très critiqué. Et très tôt, c’était en janvier, d’accord, donc presque immédiatement, ce qui – et il y avait 21 personnes dans la pièce, et chacune d’entre elles a dit, « Ne le faites pas », et j’ai dit, « Nous allons le faire », et Fauci a dit ne le faites pas, d’ailleurs. Ils ont tous dit de ne pas le faire. Et puis j’ai également fermé le pays peu de temps après parce que j’ai regardé ce qui se passait en Europe et en Italie, en France et en Espagne en particulier.

Mais l’Italie c’était tout simplement incroyable, et donc j’ai fermé le pays à l’Europe. Et nous avons sauvé des centaines de milliers de vies. Mais, très important, j’ai aussi... Nous avons activé et nous avons obtenu d’énormes quantités d’équipement et tout le reste, les respirateurs. Nous sommes devenus le roi des respirateurs du monde, de notre pays, et nous avons effectivement résolu ce problème.

C’est une machine très compliquée – plus compliquée, croyez-le ou non, que de construire une voiture. C’est compliqué et coûteux, et nous nous sommes mobilisés, et nous en avons construit des milliers en peu de temps. L’équipe a fait un excellent travail. Et nous les envoyions à d’autres pays qui n’étaient pas en mesure de les obtenir. Donc, c’était incroyable.

Mais nous avons aussi les blouses et les masques. Nous avons ouvert des usines de fabrication de masques. Maintenant, nous avons tellement de masques que nous ne savons pas quoi en faire et maintenant vous découvrez que les masques ne fonctionnent pas si bien que ça. Vous savez, c’est l’une de ces choses, n’est-ce pas, certainement avec le nouveau variant. Mais il y a tellement de choses que nous avons faites qui étaient si bien.

Et puis, je pense que nous avons beaucoup de mérite pour l’opération Warp Speed – de l’autre côté, ils ont dit qu’on ne pouvait pas réussir cela. Et pas seulement le fait que les vaccins ont été développés en neuf mois au lieu de cinq à douze ans. Ils ont dit que cela allait prendre de cinq à douze ans, et je pense que sans cela, vous auriez eu une catastrophe comme en 1917, de cent millions de personnes.

Mais aussi la thérapeutique parce que la thérapeutique, si vous regardez, vous savez, ce qui s’est passé avec Regeneron et le produit d’Eli Lilly et donc nous avons été impliqués dans tout cela. Et c’était vraiment bien. Vous savez, nous n’avons pas utilisé le mot « obligatoire ». Tout le monde voulait le vaccin quand j’étais là, et nous faisions un million de piqûres par jour, et, vous savez, nous avons fait des efforts.

Et les militaires se sont vraiment bien débrouillés, bien mieux que ce que leurs dirigeants leur ont fait faire, je vous le dis, lors du retrait d’Afghanistan. Ça, je peux vous le dire. Et ils ont fait vraiment bien. Ils les livraient. Et tout le monde voulait le vaccin. Et une fois que j’étais dehors, tout d’un coup les gens n’en voulaient plus. Et c’est comme ça que vous avez commencé avec cette histoire de l’obligation, qui est terrible, parce que vous forcez les gens.

Vous savez, vous parlez de liberté, vous parlez de liberté. On n’a pas besoin de trop s’étendre là-dessus, mais c’était une mauvaise chose. Mais nous n’avions pas ce problème. Tout le monde les voulait, et puis tout d’un coup, c’est devenu un tel désastre. Mais si vous m’aviez dit qu’avec tout le travail que nous avons fait – et j’ai reconstruit l’économie. Je l’ai reconstruite deux fois. La première fois au-delà de l’imaginable, la deuxième fois elle est devenue vraiment, vraiment forte. Et j’ai passé le relais. Mais si vous m’aviez dit qu’il y aurait beaucoup plus de décès alors que nous avons les vaccins, la thérapeutique, avec toutes les blouses et les lunettes et tout ce que nous avons obtenu et en aidant les hôpitaux [plus de décès] que lorsque nous ignorions tout, j’aurais dit : « C’est impossible ».

CLAY : Pensez-vous que les enfants devraient être obligés de porter des masques à l’école ?

PRÉSIDENT TRUMP : Non. Non.

CLAY : Cela s’est transformé en une grande bataille et Biden a essentiellement évité de répondre à cette question ou de s’en remettre aux villes et aux États locaux. Pensez-vous qu’à ce stade, les enfants devraient pouvoir vivre sans masque ?

PRÉSIDENT TRUMP : Oui, je le pense. Je pense que oui. Je pense qu’ils devraient pouvoir vivre sans masque. Je pense que cela aurait dû prendre fin il y a longtemps – et même avec les variants les plus graves, ils n’étaient même pas affectés. Et celui-ci est plus contagieux, mais beaucoup moins grave. Mais avec le plus grave, certains États ont perdu beaucoup de personnes. Mais, parmi ces nombreuses personnes, des milliers de personnes, mais parmi ces milliers de personnes, personne, pas une seule personne n’avait moins de 16 ou 17 ans.

J’ai regardé cette statistique, j’ai dit que c’était une statistique étonnante. Vous pouvez regarder. New Jersey. Des milliers de personnes sont mortes et pratiquement personne n’avait moins de 16 ou 17 ans. Je pense qu’il y avait une personne qui avait un diabète grave qui était très... je veux dire, quasiment personne. C’est une statistique incroyable. Non, ils ne devraient pas. Et nous devons retourner à nos vies. Nous devons retourner à la gestion du pays.

La Chine a fait une chose terrible en permettant que cela se produise. Parce que la Chine, si vous regardez vraiment, la Chine l’a empêché d’aller dans le reste de la Chine, mais ils ne l’ont pas empêché d’aller dans le monde. Mais nous avons fait un travail incroyable. Je n’étais pas... On ne m’en donnera probablement jamais le crédit, mais nous avons fait beaucoup... Vous savez, j’avais l’habitude d’utiliser l’expression « les armoires étaient vides ».

Personne n’avait d’équipement, il n’y avait pas de blouses, il n’y avait pas de lunettes de protection. il n’y avait rien. il n’y avait pas de masques. Et il n’y avait pas de respirateurs. Et nous n’avions rien. On n’avait pas de vaccins. On ne savait même pas ce qu’était cette chose, n’oubliez pas. Personne n’avait la moindre idée de ce que c’était. On se demandait ce que c’était. Donc, je pense que nous avons fait un excellent travail.

BUCK : M. le Président, si nous pouvons vous garder à l’antenne...

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

BUCK : Nous aimerions entendre ce que vous avez à dire sur la situation des camionneurs et sur la répression du mouvement de protestation au Canada, et nous aimerions également savoir ce que vous pensez de Justin Trudeau, que vous pourrez partager avec nous dans quelques minutes, ainsi que vos projets pour l’avenir, sur le plan politique, et TRUTH Social, qui, comme nous le savons, vient d’être lancé cette semaine.

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

BUCK : Donc, nous sommes ici en ce moment avec le Président Donald Trump, à Mar-a-Lago, le Clay and Buck show. Nous serons de retour avec Donald J. Trump dans quelques instants.

CLAY : L’histoire des camionneurs canadiens, M. le Président, a fait l’objet d’une discussion monstre dans tout le pays et dans le monde entier, vraiment. Vous connaissez Justin Trudeau. Vous avez eu une relation avec lui. Que pensez-vous de sa réponse aux camionneurs canadiens ? Que pensez-vous qu’il aurait dû faire ? Et soutenez-vous la protestation de ces camionneurs canadiens ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, je la soutiens, et j’ai beaucoup de respect pour eux, et fondamentalement, leurs libertés ont été supprimées avec les obligations vaccinales et d’autres choses dont ils parlaient très légitimement. Et j’ai trouvé qu’ils étaient très courageux. J’ai trouvé que c’était surprenant d’une certaine manière. Je connais très bien Trudeau. Il n’a jamais été heureux avec moi à cause du commerce, parce qu’ils nous ont vraiment escroqués, ce pays. Les gens n’en ont aucune idée.

Le Canada était l’un des pires, l’un des pires. Vous savez, vous mettez la Chine là-haut. L’Union européenne était horrible, d’accord, et ça m’ennuyait avec l’OTAN. Je disais : « Vous savez, on vous protège. On dépense tout cet argent pour vous protéger, et puis vous nous tuez sur le plan commercial ». Le Canada était l’un des pires. Et j’ai fait annuler cet horrible accord connu sous le nom de ALENA, l’un des pires accords commerciaux, probablement le pire accord commercial jamais conclu.

Je l’ai dénoncé. Tout le monde disait que ce serait impossible, qu’il faudrait passer par le Congrès. Je l’ai résilié et nous avons obtenu l’USMCA et l’USMCA, l’accord commercial Mexique-Canada, qui est si bon pour notre pays, en fait il est si bon que le Canada veut le renégocier, et ils ne devraient pas le faire. Ils ne devraient pas le faire parce que nous aurions dû renégocier l’ALENA depuis 30 ans, et ils ne l’ont pas fait.

Nous devions le faire. Nous l’avons fait, nous l’avons approuvé, ils l’ont approuvé. Mais le Canada est très mécontent, et le Mexique est très mécontent. Vous savez, dans un sens, ça me fait du bien. D’un autre côté, j’aimerais qu’ils soient heureux. Mais je les connais très bien. Mais l’USMCA a été un énorme succès pour nous et pour le pays.

BUCK : Monsieur le Président, avant de vous parler de vos éventuelles aspirations politiques pour l’avenir et de ce que vous prévoyez pour le pays, je voudrais vous demander de regarder un instant les démocrates de l’autre côté de la table. Clay et moi avons une discussion permanente dans l’émission sur qui sera vraiment leur candidat la prochaine fois ? On dirait que Joe Biden...

Vous regardez les sondages, vous le voyez à la télé, on se dit que c’est un gars qui a perdu la boule, pour le dire gentiment. Clay et moi avons parlé d’autres candidats possibles pour le remplacer, peut-être le vice-président, peut-être quelqu’un d’autre, même. Qu’est-ce que vous en pensez... ? Qui sera le candidat démocrate ou le porte-parole des démocrates la prochaine fois ? Joe Biden va-t-il se représenter ou non ?

PRÉSIDENT TRUMP : Alors, je ne pense pas. Je regarde aussi ce que vous regardez, et je ne le pense pas. J’espère qu’il fera beaucoup pour le pays. Je pense que c’est trop tard parce que je ne pense pas qu’il puisse faire quelque chose de bien pour le pays. Il y a eu tellement de dégâts que même s’il se transformait en George Washington et Abraham Lincoln réunis, le résultat est si mauvais qu’il ne pourrait rien faire.

C’est tellement lamentable ce qu’ils ont fait sur l’énergie, ce qu’ils ont fait à la frontière, ce qu’ils ont fait... La destruction de ce pays a été tellement massive. Je ne pense pas qu’il va se présenter, ou je ne pense pas qu’il – vous savez, il pourrait se présenter et peut-être que quelqu’un se présenterait contre lui, et c’est très rare que quelque chose comme ça arrive. Il ne semble pas être très populaire dans les sondages. Vous savez, il y a eu les sondages de moi contre lui, et je mène de beaucoup.

CLAY : Oui.

PRÉSIDENT TRUMP : Mais je menais. Je pensais que, vous savez, je menais de beaucoup le jour de l’élection, aussi, d’accord. C’était le cas. Mais il faut être très prudent avec l’élection. On doit s’assurer que le décompte des voix est honnête. Donc, je ne le vois pas se présenter. Je la vois se présenter.

CLAY : Vous voulez dire Kamala.

PRÉSIDENT TRUMP : Ouais.

BUCK : Parce que Hillary est...

CLAY : C’est l’autre.

PRÉSIDENT TRUMP : Je suppose qu’on peut. On peut l’inclure dans la catégorie « elle », non ? C’est possible. Je ne vois pas Kamala gagner. Elle a commencé à 10 ou 11% et elle était en vogue, et au bout de quatre ou cinq semaines, elle n’était plus rien. C’est pourquoi c’était un choix si inhabituel, et il n’y avait personne de plus méchant qu’elle envers Joe Biden. Elle le traitait de tous les noms.

CLAY : C’est sûr.

PRÉSIDENT TRUMP : Elle le traitait de tous les noms. Alors, j’ai dit que personne ne pouvait la choisir, et ils l’ont choisie. Mais, vous savez, elle allait faire marche arrière. Habituellement, vous choisissez quelqu’un qui commence à 1 et qui finit à 15 ou 20%, vous savez, qui monte comme une fusée. Donc ils n’ont pas... Donc je pense qu’elle va certainement entrer en scène. C’est possible, mais j’ai regardé Hillary l’autre jour. Je ne sais pas si elle a l’énergie. Je ne sais pas si elle a l’énergie. Je l’ai regardée. Ecoutez, on s’est posé des questions quand elle est tombée en montant dans la voiture.

CLAY : Oui.

PRÉSIDENT TRUMP : Quand ses chaussures se sont déchaussées, quand elle ne pouvait pas lever le pied, elle ne pouvait pas marcher, elle n’arrêtait pas de tomber en montant dans les avions. Vous vous souvenez de beaucoup de photos célèbres – et ensuite les gens ont mis une balle de golf ou une balle de baseball et tous ces trucs dans ces photos. Tu te souviens, ils m’ont blâmé pour ça. Ce n’était pas moi.

CLAY : Oh, oui, c’est vrai.

PRÉSIDENT TRUMP : Ils me l’ont reproché. Je ne comprends pas. Mais c’est une personne très sournoise. Il suffit de jeter un coup d’œil au rapport Durham ; vous voyez à quel point elle est horrible et vicieuse – et même les choses que je traverse, vous savez, ce sont les avocats d’Hillary Clinton. Cela ne s’arrête jamais.

BUCK : Avez-vous foi en Durham pour obtenir les réponses finales ici sur le... ? C’était un canular. Vous aviez raison.

CLAY : Et l’espionnage de votre campagne, dont vous avez parlé dans le clip de 60 Minutes...

PRÉSIDENT TRUMP : L’espionnage – Vous vous souvenez quand j’ai fait ça...

CLAY : Le clip et ils ont dit, « Oh, il n’y a aucune preuve de cela, Monsieur le Président ».

PRÉSIDENT TRUMP : Oui. 60 Minutes. Elle devrait s’excuser, parce qu’elle m’a dit : « Oh, vous êtes... ? Il n’y a pas eu d’espionnage ». Eh bien, maintenant tout le monde est d’accord, même les démocrates ; ils ne veulent juste pas en parler. Et les médias n’aiment pas en parler.

CLAY : CNN, MSNBC, le New York Times et le Washington Post ont presque tous refusé de couvrir cette histoire lorsque les détails de Durham sont sortis.

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

BUCK : Faites-vous confiance à Durham ?

PRÉSIDENT TRUMP : Je dirai cependant que le Washington Post s’est en quelque sorte excusé pour sa couverture. Le Times ne l’a pas fait.

CLAY : Oui, c’est vrai ?

PRÉSIDENT TRUMP : Mais le Washington Post s’est en quelque sorte excusé.

CLAY : Peut-être que Jeff Bezos essaie de rentrer dans vos bonnes grâces.

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, le Washington Post, toute cette histoire à Atlanta, où j’ai eu un coup de fil parfait et tout d’un coup, ils pensent que j’essaie de...

CLAY : Oh, oui.

PRÉSIDENT TRUMP : Toute cette histoire, et ils ont donné de fausses informations au Washington Post. Et le Washington Post a fait une rétractation majeure au sujet de cette histoire. Je veux dire, le Washington Post, en toute équité... Je ne dis pas « génial » parce que certainement pas « génial » du tout. Mais le Washington Post s’est excusé pour beaucoup d’erreurs qui ont été faites. Mais le Times ne l’a pas fait. Je ne dirais pas non plus qu’ils ont persisté.

Ils ne veulent pas en parler, parce qu’ils ne veulent pas renchérir. Donc, Durham a été... Il travaille lentement. Et beaucoup de gens étaient vraiment en colère. Mais il a porté des coups dévastateurs. Et si vous regardez vraiment, si vous savez de quoi il s’agit, c’est juste une base. C’est une base pour de très, très gros trucs. Donc, oui, je suis de plus en plus impressionné par Durham.

BUCK : Nous devons vous demander, sinon notre public va se déchaîner contre nous. Quelle est votre certitude à l’heure actuelle – nous savons que c’est encore loin, mais quelle est votre certitude – que vous vous présenterez à nouveau à la présidence des États-Unis ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, Buck, j’aime ce pays. Je n’ai jamais rien vu de tel que ce qui se passe en ce moment, et tout ce que j’ai dit est correct. J’ai parlé de l’énergie, il a tué l’énergie le premier jour. Je veux dire, le premier jour ! La première chose qu’il a faite a été de bloquer le pipeline Keystone, le pipeline Keystone XL, et il n’a jamais dit qu’il allait le faire. Il a dit « Nous allons y réfléchir. On va... ». Il l’a regardé pendant, quoi, deux heures ?

Ce qu’il a fait est si dévastateur. Vous savez, les gens ne réalisent pas que j’ai arrêté le pipeline russe. Il était mort. Il est arrivé et a immédiatement laissé faire, et c’est l’une des raisons – l’argent est si énorme ! Je veux dire, c’était incroyable. La plus grosse chose qu’ils aient jamais faite, le pipeline russe, plus d’argent, des milliards et des milliards de dollars par jour, des milliards de dollars par semaine qui affluent. Je l’ai arrêté, totalement arrêté.

Poutine a même dit : « Vous me tuez avec le pipeline ». J’ai dit, « Désolé, je n’ai pas le choix, c’est mal ». Ok. Il l’approuve. Mais ensuite ils disent, « Oh, Trump était gentil avec la Russie ! ». Je n’étais pas gentil avec la Russie. Et, d’ailleurs, je souhaite vraiment m’entendre. Je pense que s’entendre avec la Russie est une excellente chose. Nous aurions pu faire d’énormes...

Ils ont d’immenses terres, ils ont d’énormes ressources, et ils ont besoin de notre aide aussi. Maintenant, bien sûr, ils gagnent beaucoup d’argent à cause de ce qui s’est passé avec le coût du... Je veux dire, ces barils vont se vendre à 200 $. Ils étaient à 39 $, 40 $, 30 $.

CLAY : Il est devenu négatif dans les années 2020, vous vous en souvenez ?

BUCK : Oh, nous avons eu une période où, ce n’était pas bon pour Wall Street car ils ne transportent pas de pétrole. Mais si vous enlevez un baril de pétrole, nous avions tellement de pétrole, à cause de certaines choses que nous avons faites, qui étaient grandes. Mais si vous prenez un baril de pétrole, ils vous donnent 37 $. En d’autres termes, vous partez avec 37 $ plus le baril.

Maintenant, cela n’a duré que deux heures et demie, mais pendant cette période, pas tout à fait aussi bonne que cela, pendant cette période j’ai rempli les réserves stratégiques. Personne ne parle jamais de ça : 75 millions de barils de pétrole que j’ai achetés pendant cette période. J’ai dit : « Parlez-moi des réserves stratégiques ». J’en ai entendu parler toute ma vie, elles n’ont pas été remplies depuis 50 ans.

En fait, elles sont vides depuis de nombreuses années. Et c’est destiné à la guerre. C’est 75 millions de barils que j’ai achetés, et on a fait une bonne affaire. Et maintenant, voici la mauvaise partie. Biden utilise ça pour essayer d’obtenir de l’énergie. Mais, premièrement, ce n’est pas assez, et deuxièmement, c’est très artificiel. Et ce n’est pas censé être comme ça. C’est fait pour la guerre. Mais j’ai rempli les Réserves Stratégiques à ce moment-là.

CLAY : Une dernière question pour vous, si vous vous présentez de nouveau. Nous voulons savoir si vous envisagez des candidats à la vice-présidence ?

PRÉSIDENT TRUMP : (rires)

CLAY : Je vous laisse y réfléchir.

PRÉSIDENT TRUMP : Je vais devoir y réfléchir sérieusement.

BUCK : Nous sommes ici à Mar-a-Lago avec le président Trump qui a eu la gentillesse de nous accorder un peu de son temps aujourd’hui.

CLAY : Et aussi de nous accueillir dans ce lieu majestueux.

BUCK : Oui. Cet endroit est incroyable. M. le Président, c’est vraiment un double enjeu ici. Vous présentez-vous, et qui se présente avec vous ? On doit vous demander votre avis. Qui pensez-vous présenter avec vous, et vous devez aussi dire à tout le monde, que dans votre esprit, à 100%, vous vous présentez ? C’est là que vous en êtes ?

PRÉSIDENT TRUMP : Alors, je pense que vous serez heureux. Laissez-moi mettre... Les lois sur le financement des campagnes électorales, donc vous ne pouvez pas parler de ces choses-là, donc je ne le ferai pas. Mais je pense que vous serez heureux. Je crois vraiment que vous serez heureux. Je vous connais très bien. Je vous connais depuis longtemps – et votre émission, je dois dire, félicitations. Vous êtes en train de tout casser. Et c’est bien. Rush serait fier de vous, si vous voulez savoir la vérité -

CLAY : Merci.

BUCK : Merci.

PRÉSIDENT TRUMP : Parce que c’était une personne extraordinaire.

BUCK : A qui penseriez-vous, cependant, en tant que vice-président, peut-être qu’une partie plus large de la question est de savoir qui fait bien les choses, en ce moment, pour le parti républicain ? Qui sont les gens que vous voyez et dont vous vous dites, vous savez quoi ? Parce que nous allons vers les élections de mi-mandat. C’est important.

PRÉSIDENT TRUMP : Je pense que beaucoup de gens s’en sortent très bien. Je pense que les Républicains s’en sortent très bien. Vous avez, je crois vraiment... Tout d’abord, je ne pense pas que quiconque... Voyez-vous quelqu’un voter pour un vice-président, d’accord ? C’est... Vous savez, c’est une grosse affaire et pourtant les gens ne votent pas pour le vice-président. Mais nous avons beaucoup de gens bien. J’ai beaucoup de gens qui m’appelaient tout le temps. Ils veulent être retenus parce que nous sommes très bien placés dans les sondages, et les sondages étaient... Ils disent, « S’il ne se présente pas, qui pensez-vous ? » et puis ils pensent à se présenter. Mais s’il se présente, c’est comme un écart de 70 points.

CLAY : Oui.

PRÉSIDENT TRUMP : Soixante-dix. C’est beaucoup. Mais je dirai qu’il y a beaucoup de gens formidables. Nous avons beaucoup de gens formidables au sein du parti républicain. Je pense que nous allons avoir un formidable mi-mandat et ensuite je pense qu’en 2024, nous allons faire... Ça va être un grand succès et nous allons ramener notre pays.

CLAY : Je pense que vous avez maintenant, ou du moins nous l’avions lorsque vous êtes arrivé, l’application numéro un en Amérique, TRUTH Social, qui est une grande partie de votre bataille dans l’espace des médias sociaux. Qu’attendez-vous et qu’espérez-vous faire avec cette entreprise ?

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, c’est devenu une grosse affaire. Tout le monde a été viré des réseaux sociaux et donc c’est devenu très ennuyeux. Twitter est très ennuyeux maintenant.

CLAY : Vous leur manquez.

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, vraiment. Ils ont dit... Il a dit que la pire décision qu’il ait prise a été de virer Trump. Il n’y a plus personne avec qui se battre, et...

CLAY : Jack Dorsey ?

PRÉSIDENT TRUMP : Dorsey, oui. Il a fait cette déclaration à, j’ai entendu, de nombreuses personnes. Et c’est la même chose avec Facebook. Ils sont en train de mourir. Vous regardez Facebook, la toute première fois qu’ils sont tombés et...

CLAY : L’action a chuté.

PRÉSIDENT TRUMP : Leurs actions ont chuté. Et vous voyez ce qui s’est passé avec ce qui se passe avec TRUTH Social. Vous savez, c’est très intéressant. J’ai dit, « Vous pensez que nous pouvons obtenir le nom TRUTH ? ». Ils veulent avoir un nom, non ? Vous savez, ils veulent un nom, comme « Tweet ». Ok, tweet. Ils aimeraient qu’il y ait cinq lettres. Donc ils ont toujours un X. Vous savez, mettre un X devant parce que... donc ils sont passés par tous ces noms incroyables que personne...

J’ai dit, pensez-vous que vous pourriez avoir le nom « VÉRITÉ » ? Ils ont dit, « Absolument pas ! ». J’ai dit « Essayez ». Le nom « TRUTH » était disponible, et nous l’avons obtenu pour un tout petit prix, et c’est une chose tellement géniale. Et ils sont dégoûtés parce que Trump a le nom « TRUTH ». Donc il y a cinq lettres, et qu’est-ce qui est mieux que « VÉRITÉ » ?

BUCK : En parlant de contre-vérité une seconde ici, M. le Président, avez-vous fait tomber CNN ? Parce qu’on dirait qu’ils connaissent un moment très difficile. (rires) On dirait que c’est un média qui est en chute libre. Manifestement, comme vous le savez, Zucker est sorti et il a vraiment été utilisé comme arme contre vous en tant que réseau, entre autres, pendant quatre ans.

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

BUCK : Mais est-ce qu’ils... On a l’impression que cet endroit ne se remettra jamais de son attaque en règle contre Trump.

PRÉSIDENT TRUMP : Eh bien, ils sont brisés. J’ai regardé leur taux d’audience l’autre jour, et ils sont en très, très mauvais état. Je connais très bien Zucker. Il m’a fait signer pour The Apprentice, la dernière bonne chose qu’il ait faite, je pense. Nous avons eu une grande série, 14 saisons, qui était une série incroyable. Et je l’ai recommandé pour ce travail. Pouvez-vous le croire ?

Je recommande ce type pour le poste. Et puis, environ un mois après, il n’a pas pensé à... Il n’a jamais pensé. Il était numéro cinq sur cinq. Il y avait cinq candidats. J’étais assis à côté du patron de Time Warner. Sur quoi travaillez-vous ? C’était une réunion ennuyeuse à l’hôtel Plaza. J’ai dit : « Sur quoi travaillez-vous ? Qui êtes-vous ? C’est quoi votre nom ? ».

Il m’a dit. J’ai dit : « Oh ! ». Alors je me suis dit que j’allais essayer d’aider Jeff Zucker. Je l’ai appelé. J’ai dit « Vous avez eu le poste ». Il a dit « c’est pas possible ? ». J’ai dit « Je vous le dis, vous avez le poste ». Le lendemain, ils l’ont appelé et lui ont dit : « Tu as le poste ». Il m’appelle et me dit, « Merci beaucoup ».

Un mois plus tard, il prend le poste, ils commencent à me faire du tort. Et c’était leur modèle économique de me faire tomber – et je vais vous dire, c’était une honte. Jeff Zucker est une honte. Donc juste une de ces petites choses. J’ai eu d’autres personnes. Et puis il y’a aussi eu des gens qui sont formidables et loyaux. Il faut le mentionner aussi. Ce n’est pas aussi excitant, mais nous devons aussi le mentionner.

Mais CNN a vraiment mal tourné, et MSDNC, comme je l’appelle – comme certains l’appellent, parce que c’est ce que c’est, MSDNC – va très mal. Vous savez, j’ai toujours pensé que NBC me traiterait bien parce que j’ai si bien travaillé pour eux dans The Apprentice. Nous avons souvent eu l’émission numéro un à la télévision. On a fait du bon boulot. Notre finale a eu 42 millions de téléspectateurs, je crois. C’est comme...

CLAY : C’est du jamais vu aujourd’hui.

PRÉSIDENT TRUMP : Oh, du jamais vu. Et NBC a été terrible, vous savez, fake news, totales fake news. Et NBC a été mauvaise et ABC est... Une chose que je dirais et c’est pourquoi votre émission est si importante : si nous ne redressons pas l’honnêteté des médias, ce pays aura du mal à revenir un jour. Ils avaient l’habitude d’être des chiens de garde. Maintenant ils sont juste des chiens de poche.

Vous avez des gens qui vous écoutent dans tout le pays, M. le Président. Vous avez environ une minute. Que voulez-vous qu’ils sachent, parce qu’en ce moment, beaucoup d’entre eux nous écrivent ; ils sont inquiets. Ils sont inquiets de ce qui se passe dans ce pays.

PRÉSIDENT TRUMP : Notre pays n’a jamais été dans une situation comme celle-ci. Nos médias sont brisés et corrompus, comme vous le voyez sur CNN par exemple. Mais vous regardez le Times et vous regardez ce qu’ils écrivent, c’est tellement faux, c’est tellement faux, et ça a été tellement faux, la Russie, la Russie, la Russie, tout. Nous allons revenir, nous allons revenir forts, nous serons plus grands, meilleurs et plus forts que jamais. Quelque chose va se passer.

CLAY : Dernière question pour vous, et c’est une question amusante car je sais que vous êtes un grand fan de sport. Tom Brady a pris sa retraite.

PRÉSIDENT TRUMP : Oui.

CLAY : Pensez-vous qu’il a pris sa retraite, ou pensez-vous qu’il va revenir et jouer ? Je sais que vous avez eu des bonnes relations avec lui au fil des ans. Il a manifestement eu une très bonne dernière année avec les Bucs. Il a soudainement pris sa retraite. Pensez-vous que c’est fini ou qu’il va revenir ?

PRÉSIDENT TRUMP : Je pense qu’il va revenir parce que j’ai vu la façon dont il... Vous savez, tout le monde disait qu’il prenait sa retraite mais il ne l’a pas dit. Je pense qu’il pourrait revenir et, si vous regardez les statistiques, il était en tête de pratiquement toutes les catégories.

CLAY : Il était incroyable.

PRÉSIDENT TRUMP : Alors, j’espère qu’il reviendra. C’est un type formidable.

BUCK : M. le Président, nous apprécions vraiment de passer du temps avec nous aujourd’hui. Nous savons que le public aussi, alors merci beaucoup – et nous apprécions également de pouvoir passer du temps avec vous à Mar-a-Lago. Alors, faites-nous savoir où aura lieu la prochaine émission de Clay et Buck.

CLAY : Et on sera là.

BUCK : Oui, dites-nous et nous y serons. Et nous avons aussi des invités fantastiques, qui se joignent à nous, des gens que vous soutenez dans leur campagne, donc nous aurons Herschel Walker. Nous avons tout un tas de grands invités prévus merci beaucoup pour l’hospitalité et aussi pour les quatre années où vous avez servi votre pays. C’était un grand moment, monsieur. C’était un grand moment. Nous vous en remercions.

PRÉSIDENT TRUMP : Merci beaucoup à vous deux.

CLAY : Merci beaucoup d’être ici, et nous allons passer encore ensemble les deux heures à venir. Mais merci au Président Trump. Si vous en avez manqué une partie, allez l’écouter en entier parce que je pense que votre public va être ravi d’avoir entendu tout ce que vous avez dit aujourd’hui avec nous. Merci, Monsieur.

PRÉSIDENT TRUMP : Merci beaucoup.

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12 Commentaires

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  • #2914122
    Le 26 février 2022 à 07:03 par anonyme
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    L’anglais américain est horrible par rapport à la précision et la clarté du français. Ca schlingue le juridique, l’interaction humaine ramenée à du formalisme judiciaire d’avocats et c’est bombardé d’adjectifs emphatiques émotionnels complètement... inadéquats :D

     

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    • #2914490
      Le Février 2022 à 15:28 par gardener
      Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

      Quand je compare cette entrevue avec le résumé magistral de géo-politique donné par POUTINE à son peuple (et au reste du monde), j’ai plutôt l’impression que la clarté est du côté Russe.

       
    • #2914679
      Le Février 2022 à 19:46 par ProtégeonslaPalestine
      Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

      @gardener : Alors que Obama était le renégat qui s’exprimait comme un juriste convié à un concours d’éloquence, Trump est le milliardaire qui parle au coeur du ranger du Texas et au corps des poulettes de Vegas. Trump est loin du peuple par la fortune mais si proche de lui de par ce génie communicationnel de la simplification étudiée, de la syntaxe et du lexique. Le parler trumpien est en résonance profonde avec la psychè pragmatique et manichéenne de l’Amérique. Pendant que les véreux de la politique employaient la langue de bois, lui choisissait de bannir le Politiquement Correct par ce souci d’exactitude observable dans l’appellation Truth Social.

      Les praticiens chevronnés de l’anglais savent que l’insolence tonitruante et décontractée de la courbe mélodique, intonative et rythmique de l’idiome américain, est une projection de l’ethos dominateur et conquérant de cette population.

      L’accent américain standard est un héritage du sud de l’Irlande ; il est de toute beauté pour celui qui maîtrise les subtilités de la langue ; le non spécialiste n’en percevra effectivement qu’un insupportable caquettement d’oie propice au saignement des tympans. @gardener : Alors que Obama était le renégat qui s’exprimait comme un juriste convié à un concours d’éloquence, Trump est le milliardaire qui parle au coeur du ranger du Texas et au corps des poulettes de Vegas. Trump est loin du peuple par la fortune mais si proche de lui de par ce génie communicationnel de la simplification étudiée, de la syntaxe et du lexique. Le parler trumpien est en résonance profonde avec la psychè pragmatique et manichéenne de l’Amérique. Pendant que les véreux de la politique employaient la langue de bois, lui choisissait de bannir le Politiquement Correct par ce souci d’exactitude observable dans l’appellation Truth Social.

      Les praticiens chevronnés de l’anglais savent que l’insolence tonitruante et décontractée de la courbe mélodique, intonative et rythmique de l’idiome américain, est une projection de l’ethos dominateur et conquérant de cette population.

      L’accent américain standard est un héritage du sud de l’Irlande ; il est de toute beauté pour celui qui maîtrise les subtilités de la langue ; le non spécialiste n’en percevra effectivement qu’un insupportable caquettement d’oie, tout juste propice au saignement des tympans.

       
    • #2914804
      Le Février 2022 à 00:00 par Karl
      Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

      @gardener

      Trump avec ses menus moyens a du affronter la maison mère dans la maison mère (on se souvient ce qu’il en a couté à Kennedy).
      Poutine est acculé tel une proie et se défend comme il peut

       
    • #2915329
      Le Février 2022 à 17:44 par Tetar 1er
      Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

      @Garderner, soyons honnête, vous trouvez que le français actuel, bourré de jargon, constitue un quelconque rempart contre ce que vous dénoncez ? on n’est plus au XVIIème siècle, hélas..

      @Protégeons
      Je ne pense pas que Trump s’adapte, il parle au naturel, comme il a envie de parler. Est-ce à dire que les autres présidents avant lui, Kennedy par exemple, ne parlaient pas au peuple américain profond sous prétexte qu’ils cherchaient un peu plus l’élégance oratoire ? Les gens « simples » n’ont aucun problème avec les gens qui parlent juste et bien. C’est l’élite méprisante qui pense généralement qu’il faille parler aux gueux avec un langage de gueux. Tout comme certains parents pensent que les enfants ne sont capables de comprendre une information que si elle leur est transmise avec une voix niaise et une syntaxe de robot.

      Sinon, jamais rien vu de tonitruant dans le parler américain, et encore moins dans celui de la pouf de vegas ou au ranger du texas. Du caquètement nasillard oui, mais pour le reste, on voit mal quel « ethos dominateur » a pu passer dans un idiome transmis d’après vous par les irlandais (peuple sûr de lui-même et dominateur s’il en est..). Bref, des belles phrases, mais le fond n’est pas très solide. Je n’ai pas d’antipathie particulière pour cet accent, ni pour ce peuple auquel il serait stupide de ne pas reconnaître une certaine énergie et une certaine franchise, mais je ne crois pas que ce qui fait l’ethos dominateur de l’Amérique ait quoique ce soit à voir avec son peuple profond ou sa façon de parler dans les fermes du Texas.. faut-il vous redire qui a gagné la CIVIL WAR ?

       
    • #2915538
      Le Février 2022 à 22:00 par ProtégeonslaPalestine
      Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

      @Tétar 1er : Il m’est difficile de vous répondre car votre réponse trahit une méconnaissance évidente du sujet (les origines et les idiosyncrasies de l’anglais américain). D’autre part, avant de briguer la présidence, Trump était un mondain et a même présenté une émission télé : le tout Hollywood qui s’est jeté dans sa piscine à Mar a Largo, s’accordait à dire qu’il est subtil et raffiné. Je maintiens donc qu’il cultive sciemment certains tics de langage : simplicité et absence de filtre.

       
  • #2914134
    Le 26 février 2022 à 07:48 par Courtial
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Trump est un milliardaire US . Mais parlons un peu des milliardaires russes : la télé nous annonce : " Les listes d’oligarques russes sont en train d’arriver dans les banques françaises ", cela pour "geler" leurs avoirs ; mais "gèlera-t-on" les avoirs des milliardaires juifs de Russie : Fridman, Vekselberg, Michelson, Khan, Prokkorov, Abramovitch, tous multimilliardaires selon JFORUM, qui ajoute que le quart des 200 "russes" les plus riches sont juifs . On voit mal nos banques juives geler les fortunes de leurs coreligionnaires de Russie . Affaire à suivre .

     

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  • #2914152
    Le 26 février 2022 à 08:40 par Aristide
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Très bonne initiative de retranscrire ces interviews dans leur intégralité ! Sans l’intermédiaire des éternels manipulateurs de la meute médiatique (dirigée par QUI vous savez…).

     

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  • #2914197
    Le 26 février 2022 à 09:48 par antimite
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Les mêmes constats sur tout l’Occident : tout est corrompu et mité... les fondations sont mitées, à deux doigts de voir les maisons qu’elles soutiennent s’écrouler.

    Purges et vidanges de nos belles contrées deviennent urgentes !

    Thank you mister President. Que Dieu nous vienne en aide.

     

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  • #2914217
    Le 26 février 2022 à 10:13 par rectificateur
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Nous on a micron qui fait des concours d’anecdotes avec McFly et Carlito... chacun son niveau.

     

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  • #2914975
    Le 27 février 2022 à 11:14 par anonyme
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Covidiste et vacciniste convaincu ! Le reste n’est que parlottes !

     

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  • #2915079
    Le 27 février 2022 à 12:59 par Ouf !
    Donald Trump : interview complète du 22 février 2022

    Si c’est vrai que Macron a dissimulé la faillite de Total et tout pompé nos réserves stratégiques, ça va être chaud demain en bourse !

    https://realrawnews.com/2022/02/special-forces-seize-strategic-petroleum-reserves-after-biden-gives-away-35000000-barrels/

     

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