François Hollande l’a réaffirmé sans trembler lors de son entrevue du 14 juillet : le coup de grâce sera porté à la France en 2016. Des paroles assassines sorties d’un visage inexpressif à en crever : l’exécuteur testamentaire de 2000 ans d’histoire a une gueule de poisson mort.
Cette année 2016, sera, d’après le président en fonction, « celle des réformes constitutionnelles », et parmi celles-ci, outre une modification du mode de scrutin, « le droit de vote pour les étrangers extra-communautaires ». Traduction : pour le monde entier. Peut-être même les touristes qui sait, on aura bien un ou deux cinglés, un écolo ou un socialo-taubiresque pour nous pondre une ignominie de plus.
Le droit de vote des étrangers, cette monstruosité juridique, figurait déjà au programme du candidat Mitterrand en l’an de grâce 1981. Mais en ce temps-là, la pilule était trop grosse à faire avaler au peuple de France. Déjà qu’on lui avait scandaleusement interdit de s’exprimer sur l’abolition de la peine de mort ! Au royaume de l’Anti-France, chaque coup de poignard en son temps…