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Droits de l’homme et Marché, liberté et libéralisme – Conférence d’Alain Soral à Barcelone

À l’occasion du troisième anniversaire de la fermeture judiciaire de sa librairie, la Dissidence Espagnole organisait une journée de conférences exceptionnelle en soutien à Pedro Varela le samedi 6 juillet 2019 à Barcelone. Alain Soral intervenait sur le thème « Droits humains et marché : liberté et libéralisme ».

 

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60 Commentaires

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  • Brillant ! Extrêmement cohérent.

     

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  • D’emblée la citation de Boileau m’est revenue : "La liberté n’est pas de faire ce que l’on veut, mais de vouloir ce que l’on doit".

     

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  • Une première conférence sous le signe de l’alliance dissidente franco-espagnole organisée par Pedro Varela.
    Une bonne occasion de mieux faire connaitre Alain Soral en Espagne. Force et honneur !

     

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  • Une seule chose à dire : "LA CLASSE INTERNATIONALE" le tron-pa !

     

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  • Tous mes respects envers l’interprète, il a fait ce qu’il a pu, mais je n’ai pas pu aller jusqu’au bout, il y a là un problème qui me rend la vidéo difficile à supporter. C’est qu’elle est trop difficile à suivre de ce fait que les informations sont trop hachées, livrées par Alain par petites phrases beaucoup trop courtes, parfois mal traduites et même, aussi parfois, avec des concepts très importants... pas traduits du tout. C’est comme conduire une voiture de Paris à Marseille, mais par à-coups, en roulant 15 cm sur la route et en s’arrêtant ensuite. In-sup-por-ta-ble. Désolé de le dire.

    Il faut que le conférencier puisse exprimer deux ou trois phrases de suite, c’est-à-dire DES UNITÉS DE SENS, que l’interprète note sur papier en utilisant des mots clés qui lui rappelleront les idées centrales. Ce n’est qu’ensuite, au signal du conférencier, que l’interprète doit prendre la parole, en livrant ladite unité de sens à l’assistance en se référant aussi bien aux mots clés notés sur papier qu’à sa mémoire du passé immédiat.

    En tout cas, pour une prochaine fois, il est vital que le conférencier puisse développer un peu ses concepts en parlant par paquets de 25, 30, ou 35 secondes, par exemple, avec un interprète compétent à ses côtés qui se sert d’un crayon et d’une feuille de papier.

    En juillet dernier les Espagnols non-francophones, désolé de le dire, ont loupé trop de concepts importants ce jour là. Je propose que la vidéo soit remontée en coupant les passages de l’interprète et en la sous-titrant en espagnol. Une fois mise sur internet elle leur serait ainsi réellement profitable.

    Merci de votre compréhension envers le présent commentaire. L’interprète, lui, dont les intentions étaient et sont encore les meilleures, compte aussi sur ma compréhension : je sais que c’est un exercice difficile.

     

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  • Pour répondre à la question : "Pourquoi on se soumet ?".

    Mon témoignage, qui va dans la réponse de Soral :

    Depuis plus de dix ans, je n’arrête pas de m’opposer à tout ce qu’on veut nous imposer, au nom du bien commun et pour les générations suivantes, mais voilà, ça donne à chaque fois un groupe de 20 à 100 personnes qui sont d’accord avec moi, qui se trouve près de moi au moment où je le fais, mais qui ne font rien pour autant.

    Ils approuvent, regardent voire grommellent si j’hausse la voix face à la mauvaise foi de la personne voulant nous imposer quelque chose, puis se rendorment paisiblement.

    J’ai eu plusieurs fois l’impression d’avoir réveillé des groupes entiers, je veux dire, de les avoir reconnectés à eux-mêmes, mais cela a duré le temps d’un éclair, ils se sont ensuite rendormis et ont attendu, passivement, la suite des événements.

    Niveau individuel c’est pareil, j’arrive à réveiller les gens quelques secondes, puis ils repartent dans leurs idées délirantes, que les médias et institutions ont mis dans leur tête et que leur observation du réel (quand ils daignent s’y mettre hein, c’est-à-dire en général entre deux loisirs) vient systématiquement contredire. Alors ils disent : "ah, on nous prend vraiment pour des cons ! c’est pas normal, c’est pas juste, on devrait faire ci, on devrait faire ça". Et puis c’est tout. Rien de plus. Pas d’action, même pas de tentative d’en mener une d’ailleurs, ils reprennent simplement le cours de leur vie, jusqu’au prochain micro réveil.

    Qu’ajouter de plus ?

    Pour ma part, j’en ai déduis trois choses :

    - que tout le monde ne pouvait pas comprendre et qu’il fallait s’adresser aux élites de ce pays et travailler localement

    - que derrière le "on devrait faire ci", "on devrait faire ça", chacun propose ce qui fonctionnerait pour lui, dans son quartier et sur son lieu de travail, les gens de bonne foi sont donc bons pour solutionner les problèmes qu’ils rencontrent dans leur quotidien mais pas pour solutionner les problèmes à un niveau plus abstrait, donc oui pour une démocratie locale, on en a besoin, mais non pour une démocratie à l’échelle nationale, là, il nous faut des gens fiables (qui servent le bien commun) et qui passent leur temps à faire ça (à travailler pour défendre, développer et protéger le pays)

    - que tout ceci ne peut s’articuler que sur une base commune, tant que chacun a sa propre définition du bien et du mal, ça ne pourra pas fonctionner, d’où la nécessité de revenir à la foi de nos ancêtres

     

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  • 35’30 : AS se pose LA bonne question "pourquoi nous qui somme infiniment majoritaires sommes nous si fragiles par rapport aux minorités qui règnent par la pleurniche ?" et l’intuition soralienne tape dans le mille avec des expressions comme "bourgeois chrétiens... bourgeois crétins.... juifs mentaux" mais ensuite AS explique qu’en tant que bourgeois on est soumis au capitalisme -largement tribalisé- et en tant que chrétiens on est soumis à l’ancien testament qui a priorité d’antériorité sur le nouveau.

    Mais tout le monde je pense, sent que cette "fragilité" a une cause beaucoup plus profonde et à mon avis c’est bien pire que ça : c’est le nouveau testament en fait le problème, c’est lui qui nous met en esclavage de la culpabilité permanente d’être des "premiers" -typiquement un mâle blanc de 50 ans hétérosexuel qui fait tourner la société, le "riche" non-paradisable mis en accusation par le messie- pouvant opprimer, même par sa simple existence positive, des "derniers" : femmes, juifs, LGBTx, handicapés, immigrés, migrants, etc.

    Car le Bien enseigné par le messie c’est que les Derniers sont les Premiers, il n’y absolument rien d’autre à comprendre, c’est extraordinairement simple. Pourquoi ? Parce que à la fois les gens ont un besoin fondamental de se soumettre à un Bien supérieur ET il est extraordinairement difficile de le définir, seuls quelques types l’ont fait : Bouddha, Mahomet, Jésus mais au total tout le monde doit se soumettre au système moral messique d’inversion des valeurs (comme en témoigne l’arrestation de Dieudonné à Hong-Kong par ex.)

    Dans ce système moral inversé purement christique les juifs ont la première place parce que ce sont les ultra-derniers, ceux qui se sont faits génocider par les ultra-premiers ariens.

    Par eux-mêmes, c’est à dire par l’ancien testament seul, ils auraient la dernière place morale et aucune puissance car depuis toujours tout le monde méprise l’amour de l’argent et la grotesque mégalomanie tribale.

    PS pour les gens de Civitas : Lucien Cerise m’a expliqué que je me faisais matraquer par la censure catho parce que critiquer le système moral du messie c’est du "paganisme". SVP relisez bien : vous avez vu un appel à porter des runes en pendentif et aller se branler à la pleine lune sur des menhirs ? C’est un appel à la virilité intellectuelle euro-grecque, un refus de l’abjecte sémitisation de l’esprit par leur mentalité d’inversion, on peut pas faire plus soralien les mecs !

     

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    • Je suis chrétien et c’est ma foi qui a mis un terme à ma culpabilité :

      Avant (quand j’étais athé) je gobais le discours mondialiste "oh, regarde ce pauvre petit chou qui a tellement souffert par rapport à nous" et je me sentais mal.

      Maintenant (depuis que je suis croyant) je sais qu’il y a un Ordre et une Justice à respecter. Le pauvre petit chou n’a qu’à se prendre en mains : chacun est responsable de ses choix et doit en assumer les conséquences. Et quand le pauvre petit chou nuit au bien commun (notre peuple, notre pays) il est de mon devoir de le lui dire et de le foutre dehors.

      Ca c’est mon cas particulier, et comme un cas particulier ne fait pas une généralité, je vous invite à lire un livre, un seul, pour découvrir comment le peuple français se comportait quand il était encore et majoritairement chrétien : Lumière du Moyen age de Régine Pernoud.

      A chaque page, vous allez découvrir les excellentes idées que nos ancêtres trouvaient pour améliorer leur vie ensemble et solutionner les problèmes qu’ils rencontraient. Le christianisme de cette époque a agi comme un véritable catalyseur de vertus et de talents. Et, je le précise, il n’a rien à voir avec ce message d’amour sirupeux qu’on nous enseigne souvent aujourd’hui. Non, le christianisme est en réalité une colonne vertébrale, qui développe le courage, l’honneur et la dignité, et nous enjoint à nous battre autant contre le mal qui règne autour de nous que contre nos propres failles.

      On nous a beaucoup menti sur cette époque, vous pensez bien, il n’était pas dans leur intérêt de nous enseigner à quel point ce pays se portait si bien sans eux et leur batterie d’idéologies mortifères. Si vous vous souvenez de vos cours d’Histoire, ça donnait ça :
      - oh l’antiquité, merveilleux ! (alors qu’on y pratiquait les sacrifices humains dans les temples, pour les idoles grecques et romaines, et de manière très régulière : lors des divertissements, lors des combats)
      - le moyen âge, quoi, des gueux, de la boue, la lèpre, des sorcières brûlées et l’affreuse Inquisition (qui s’appliquait aux maranes)
      - la Révolution : ah le peuple enfin libéré, la Raison triomphante ! (du commerce)
      - l’Empire, la restauration, les républiques : bon, ce fut une succession de régimes un peu chaotique, certes, mais regardez où cela nous a menés, à la merveilleuse société du progrès que nous connaissons aujourd’hui ! (quelle chance)

      Si ils ont pourri le Moyen âge et encensé toutes les époques, ce n’est pas pour rien.

       
    • @Misa : merci, bouquin passionnant qui décrit une société médiévale 10x plus humaine centrée sur la famille (dans un sens généralisé) et la relation d’homme à homme. Mais désolé c’est sans rapport avec l’enseignement du Christ ! C’est simplement notre fond germain la colonne vertébrale dont vous parlez, qui a un caractère naturel, organique, qui, au contraire, résiste au laminage messique d’essence universelle et mondialiste (sauf pour l’égalité devant lui, qui matche un peu l’esprit germain).

      C’est d’ailleurs la raison profonde pour laquelle tout le monde est tombé sur les allemands au vingtième siècle : ils ont essayé de secouer les chaines judéochrétienne et OH ça va pas les mecs, ont va pas vous laisser sortir de l’esclavage et vous laisser caracoler en tête, libres et positifs, pendant que nous on restent des sémitisés à mort, des juifs mentaux, des esclaves messiques !!!

      De même vous dites que vous avez été libéré de la culpabilité par la foi. C’est clairement sans rapport avec l’enseignement du messie, ça vient de votre accès à la transcendance c’est à dire l’accès intime à une causalité externe indépendante de votre responsabilité de tout : à mon avis vous l’auriez obtenu avec une conversion à l’islam ou au bouddhisme. (et c’est pas une critique, j’admire, c’est le genre de miracle humain exactement inaccessible à un métaphysicien comme moi, on peut pas tout avoir ;-)

       
    • Socrade

      Nos ancêtres n’étaient pas constitués que de germains.
      De plus, chez les germains, comme chez les gaulois, les romains... on pratiquait les sacrifices humains, sur des enfants y compris. Il s’agissait donc d’un drôle de sens de la famille, vous ne trouvez pas ?
      Lorsque le christianisme est arrivé en Gaule, nos ancêtres l’ont adopté de leur propre gré parce qu’ils y ont trouvé du sens. Cette reconnaissance du Christ les a ensuite fait abandonner les sacrifices, rituels et offrandes rendues aux idoles païennes pour les conduire à développer une civilisation non barbare mais grande, valeureuse et juste, c’est à dire qu’ils n’étaient pas non plus, pour le dire vite, contraints de devenir des fiottes, non, car chacun avait le devoir de protéger sa famille et de se défendre en cas d’attaque, d’où le nombre impressionnant de châteaux et de fortifications dans notre pays, ainsi que l’émergence de la chevalerie et de ses codes.

      L’Histoire de notre pays est passionnante, plongez vous sérieusement dedans, vous allez comprendre pourquoi nos ennemis souhaitent tant arriver à la déchristianisation totale de la France. Malheureusement, pour parvenir à leur fin, ils doivent nous éliminer, la propagande ne suffit pas, car notre esprit, aussi perdu soit il dans cette société inversée, comporte quand même encore des traces de structuration chrétienne, dont la tendance à vouloir comprendre, à rechercher la vérité, l’importance de la justice et du travail qui sert la communauté. Vous pensez bien que tout ceci n’est pas vraiment compatible avec un plan de soumission à une autorité despotique et illégitime.

      Concernant les allemands, ils se sont pris la guerre car ils ont voulu s’extraire de l’emprise de la banque, pour faire court. Or, le Christ ne dit rien d’autre : pas de soumission à Mammon. Et ceux à qui ça n’a pas plus sont les mêmes qui rejettent le Christ, c’est sûr qu’un raisonnement chrétien limite très vite les perspectives d’affaires purement lucratives...

      Pour terminer, non, je n’aurais pas pu trouver cela ailleurs, j’ai essayé d’autres courants avant et ils ne m’ont rien apporté de tel. Le bouddhisme est certes à la mode en occident mais n’apporte que des illusions : un homme qui se croit capable d’accéder tout seul à la Vérité, mais bien sûr... si il y avait une seule personne omnisciente sur cette terre, ça se saurait.

      Très content que le livre de Pernoud vous plaise, refaire connaitre nos ancêtres fait aussi partie de nos devoirs.

       
    • le résultat net de son enseignement c’est la situation terrible d’esclavage dans laquelle il nous a mis en particulier vis-à-vis des ultra-derniers, qui auraient disparu s’il avait réfléchi un peu plus sur sa mentalité d’inversion et choisit de se taire. Le fait qu’il les dénoncent ne change rien à ce qui compte : le résultat effectif terminal, ce qui nous martyrise. Les gens cherchent l’unité logique profonde du réel et c’est sa logique d’inversion qui a pris le pouvoir.

      La couche positive (amour, charité, miséricorde, etc.) c’est la surface, c’est du sucré pour faire passer le poison de l’inversion.

      Le fait que vous démontriez votre incapacité absolue à l’entendre démontre l’incroyable perversité de sa pensée.

       
    • Socrade

      Justement, penser qu’il ne s’agit que d’Amour et de Miséricorde c’est avoir une vision fortement tronquée de ce qu’est le christianisme. Car comme je l’ai dit dans mes messages, c’est aussi l’ordre et la justice, la famille et le travail pour le bien commun, la défense des siens et de son pays, la recherche de la vérité. Qu’est-ce qui vous dérange donc là-dedans ? L’ordre, la justice ou la vérité ?

      Si l’idée que vous vous en faites était vrai, nos ancêtres très chrétiens auront sombré bien avant, seulement voilà, le christianisme les a fait développer et défendre leur pays pendant plus de dix siècles, tout en mettant un terme à l’esclavage et aux sacrifices humains.
      C’est depuis que nous nous en sommes détachés (1789) que nous sombrons petit à petit, que ce que nous produisons ne nous appartient plus, que la famille n’a plus aucune espèce d’importance, que les gamins appartiennent à l’Etat et sont endoctrinés dès l’enfance, que nous n’avons plus le droit de nous défendre, que le peuple se fait régulièrement massacrer en masse lors de grandes guerres, que nous subissons les pires injures et humiliations tous les jours et que nos frontières sont grandes ouvertes à la terre entière.

      Regardez l’Histoire, tout est dedans. Il vaut mieux chercher à comprendre plutôt que de répandre de la désinformation.

      Pour finir : pourquoi voir la foi de nos ancêtres comme une faiblesse et non comme une force ? Vous estimez peut-être que l’on s’en sort mieux qu’eux aujourd’hui ? Allons donc... Nous n’avons jamais subi autant de massacres de population et d’idéologies en tout genre, perverses, stupides et aliénantes (la liste est si longue !) depuis que nous sommes devenus athés ; et tout ce qu’ils ont construit, nous sommes en train de le perdre.

       
  • 300 millions d’euros pour la dilcra et une amende de 5000 euros pour niquemoukconrade.
    le contribuable français paie plus cher que nikemoukconrad.
    la leçon est elle comprise ?

     

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  • Brillante conférence.
    Bravo monsieur Soral.

    Avec vos analyses le réel est rationnel et le rationnel est réel.

    Chapeau bas.

     

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  • Quand le réel devient rationnel et le rationnel réel.

    Brillante conférence monsieur Soral.
    Bravo !

     

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