France Inter, vendredi 19 avril 2019, les cendres de la moitié de Notre-Dame sont encore fumantes que le chétif Frédéric Fromet sort sa (mauvaise) chanson christianophobe. Qu’il ne vienne pas se plaindre si des bonnes sœurs ou des soldats du Christ le poursuivent dans la rue pour lui demander réparation. La réparation, c’est le concept à la mode...
Le site breizh-info.com a retranscrit la chanson :
« Il est fini le temps de la cathédrale,
Si ça pouvait signifier, aussi la fin des curés.
Est-ce que ça vaut quasi un deuil national
Sur les radios, les télés, avec Stéphane Bern pour chialer ?Une simple histoire de combustion,
Bordel de Dieu, on sort les violons.
Genre la chute du mur de Berlin,
C’est plus la chute de Christine Boutin.Un fait divers, certes, très très chaud
Qui montre bien que chez les cathos
Il n’y a pas que la pédophilie,
Le feu au cul c’est aussi l’incendie.Elle a cramé la cathédrale
Hélas rien du côté de Saint-Nicolas-du-Chardonnet.Voilà Pinault, Arnault, Total, L’Oréal
Alignant les billets quand les pauvres peuvent toujours crever.
C’est l’abattement, pas que pour les sous-sous
On pleurniche pour un tas de cailloux.Quand un chômeur s’immole par le feu,
On n’est pas aussi malheureux.Dans cette hystérie à grande échelle,
Il y a quand même une bonne nouvelle,
Sur Amazon, Victor Hugo,
Détrône Guillaume Musso.Elle a cramé la cathédrale,
Pourquoi Dieu, s’il est sympa,
A-t-il pu laisser faire ça ?Laisser chanter Arielle Dombasle,
Pourquoi pas pendant l’incendie,
Elle aurait fait tomber la pluie.Je n’en peux plus de la cathédrale. »
L’assurance de la protection du lobby antichrétien
Cracher à la figure des croyants n’est pas une opération innocente. Cette violence subventionnée, avec l’argent extorqué par la redevance obligatoire, se fait avec l’assurance que les « salauds » d’en face, les cathos et les fachos, ont les pieds et les poings liés par la justice française. Sans cela les Fromet et autres haineuses ne tiendraient pas cinq minutes.
Car un gauchiste qui insulte l’Église, c’est autorisé, voire encouragé ; mais un croyant qui insulte un gauchiste, c’est la comparution immédiate pour « fascisme », anti-laïcisme primaire, voire plus.
Frédéric Fromet, qui pensait faire un bon coup, vient de marcher sur une mine. Nous ne sommes pas violents, mais quid des intégristes pour qui toucher à un cheveu du Christ est un blasphème qui demande réparation ? Pourquoi Fromet lance-t-il cet appel à la violence dans une période où les chrétiens de France et du monde entier sont blessés ? Fromet est-il conscient de la gravité de son acte ?
Décidément, les voies du gauchisme nous sont impénétrables.