C’est bon ? Vous avez assez regardé Lola, l’ex-femme à Bigard ? On peut commencer ?
"Vous avez craché à la figure des Français en retournant en Espagne" : le tacle très appuyé de Marie-Anne Soubré à Manuel Vallshttps://t.co/oZQW3RlvPD
— RMC (@RMCinfo) March 31, 2021
Ils n’ont visiblement pas fait assez de mal à la France, alors ils reviennent. Ils, ce sont Manuel Valls et Najat Belkacem, très proches du temps de la splendeur hollandiste, quand le pays était dirigé par le pote de Théo & Leonarda, les deux mamelles de l’antiracisme sauce PS faisandé.
Comme d’hab, Match fait le boulot de voiture-balai des tocards cramés et déroule le tapis rouge sous les pieds des deux nabots de la politique. On apprend que Najat a perdu 10 kilos, voilà qui fait un programme pour la région lyonnaise, qu’elle guigne en 2022. Du côté de son ex Premier ministre, c’est pire : rejeté par une majorité des Français, Manu-la-tremblote tente de revenir par le vide-ordure en se faisant passer pour une victime.
« Je me sentais rejeté par les français (…) J’incarnais les échecs, à un moment, du quinquennat de François Hollande »@ManuelValls dans #CàVous pic.twitter.com/wfOSnN5aF5
— C à vous / 6 à la maison (@cavousf5) March 29, 2021
Mais d’où vient cette maladie de la pleurniche ? Il a pas vécu la Shoah, à ce qu’on sache, et sa proximité avec le CRIF ne fait pas de lui un juif. En psychologie, on appelle ça le syndrome du millionnaire, la bonniche des riches qui se croit riche elle-même. Le poète russe Limonov avait décrit dans un livre son expérience de majordome chez un riche Américain. Mais lui ne s’est jamais cru riche.
Valls revient dans le jeu, et ça sent très fort l’attentat djihadiste, on ne sait pas pourquoi. Déjà qu’on se tape l’axe du Mal VMC (Véran-Macron-Castex), si en plus on doit supporter une opposition du niveau de Valls, où va-t-on ? Eh bien on choisit l’exil.
Comme Yseult, cette grande chanteuse qui crache sur la France raciste qui l’a décorée. Du coup, la grosse pleurnicheuse est allée se réfugier en Belgique, qu’elle semble ne pas bien connaître, selon Voici :
Emmanuelle Ducros, journaliste de L’Opinion, a elle aussi taclé Yseult : « Et fiscalement, c’est assez avantageux, ce qui ne gâche rien. Dis donc, jeune fille, tu ne nous prends pas pour des lapins de six semaines, des fois ? Quand Yseult va découvrir que Bruxelles abrite quatre statues de Léopold II, souverain du Congo de triste mémoire, elle sera obligée de fuir vers la Suisse qui assume très bien son passé colonial ». Sur Twitter, des dizaines de tweets fustigent Yseult : « Mais quelle BLAGUE ! La meuf part s’exiler FISCALEMENT mais a le culot de mettre ça sur le dos du racisme ? Les discriminations s’arrêtent à la frontière ? », s’est notamment agacé un internaute.
On a retrouvé, grâce à 7sur7.be, une déclaration du pachyderme datant de juin 2020 sur C à vous. Elle réagissait à la mort du criminel George Floyd :
« Nous éliminer est un crime, nous étouffer est un crime et nier notre existence, c’est de l’ignorance. (...) Ma communauté a toujours été prise pour cible, l’injustice est insupportable pour mon cœur, ma tristesse est vaste, ma haine est profonde. RIP aux victimes. Que justice soit faite. »
Nous éliminer... RIP aux victimes... Quelle justesse dans le propos, quelle envolée lyrique, quelle profondeur d’âme ! Rimbaud peut aller se recoucher (avec Verlaine). D’ailleurs, Léa Salamé-Glucksmann est allée s’inspirer très fort d’une série de cinq documentaires de France Culture sur le plus célèbre des poètes, pour sortir un numéro de son Stupéfiant !... où on ne voit qu’elle. C’est bien simple, on dirait que c’est à chaque fois un Stupéfiant ! consacré à la Gluxi-Salamé. L’ego, voyez-vous, c’est ce qui différencie les vrais des faux talents. En tout cas Léa a un beau pull jaune.
Faut savoir que Rimbaud donne lieu à une véritable guerre culturelle entre rimbaldiens de toutes les tendances. Ça se chicore, se dénonce, se déteste, se snobe, et dès qu’un doc ou un book sort sur le sujet, ça boycotte toujours d’un côté.
Pendant qu’on est dans la chicore, on va aborder les Grosses Têtes de Laurent Ruquier, qui fait malheureusement régner la pluie et le beau temps sur l’humour radio-télé mainstream. Et alors que tous les humoristes qui cachetonnent chez Ruquier ferment leur gueule en public pour croûter, il y en a un qui a eu le courage de l’envoyer paître, c’est JJ Peroni.
« Je n’ai pas peur de quitter les Grosses Têtes. Je suis bien parti du Théâtre de Bouvard au bout de trois ans. Quand je m’emmerde, je me tire... Ce n’est pas une question d’époque. Je n’ai plus personne avec qui boire un verre après l’émission. Ce sont les gens qui ne m’intéressent pas. Comme on est sous la botte à la kommandantur bien pensante, je m’emmerde. J’en ai marre de cette époque. Ce sont les gens, l’époque, leur façon de penser... Je dis qu’on ne peut pas faire rire avec des bonnes pensées. »
Ruquier fait bouffer beaucoup de gens, c’est vrai, mais à la longue, son humour bêta peut gaver. Un pacte faustien, ça va, deux pactes... On comprend Peroni, le complice de Laurent Gerra, qui doit avaler les couleuvres de la censure ruquiériste, l’homme capable de mettre en avant le dessin de Charlie Hebdo représentant Marine Le Pen en étron... Les médias mainstream, qu’on le veuille ou pas, y a du fric, mais c’est un pacte avec le Diable, avec Satan, et parfois, avec des satanistes.
On a l’air de ne pas aimer Valls, mais en France, la suite est toujours pire. Maintenant, on se tape Gabriel Attal, et on n’est pas sûrs d’avoir gagné au change :
Gaby, c’est le fayot en costard qui dénonce tout le monde au prof quand ce dernier est absent, et qui se retrouve seul à la récré, sans copains, au milieu de regards croisés comme des lasers. Un autre qui va se retrouver un jour en délicatesse avec la population, pour avoir fait entrer des clandos en France, et parmi eux, statistiquement, un agresseur, un violeur ou un poignardeur, même si le gros des migrants n’est pas délinquant, c’est Cédric Herrou, l’homme décoré par la LICRA pour son action dans la destruction de la France.
Cédric, honoré à Cannes en mai 2018, vient d’être relaxé définitivement, et pourtant il a violé la loi française. Mais ce que LICRA veut, Dieu le veut apparemment. RT écrit :
« Cette décision met fin à l’acharnement du parquet à l’encontre de Cédric Herrou et permet de reconnaître enfin de manière définitive que celui-ci n’a fait qu’aider autrui, et que dans notre République la fraternité ne peut pas être un délit », a réagi son avocate, Sabrina Goldman. Devenu symbole de l’aide aux migrants en France, le paysan de la vallée de la Roya avait été condamné à une amende en première instance, puis à quatre mois de prison en appel en 2017. À l’occasion d’un premier passage devant la Cour de cassation, il avait saisi avec un autre militant le Conseil constitutionnel sur le « délit de solidarité » dont ils s’estimaient victimes.
C’est vrai que c’est bien d’aider les gens en détresse, mais quand l’équipe à Soros nous en déverse 300 000 par an dans les godasses, parce que justement ils savent que derrière des Gentils croiront sauver la misère, l’amour de son prochain commence à être dangereusement exploité...
Et comme on arrive au bicentenaire de la mort de Napoléon, on a trouvé deux images qui illustrent deux époques, la sienne, et la nôtre, avec deux siècles au milieu. La nôtre est incarnée par Bilal Hassani, le chanteuse.
Parce que nous sommes chrétiens, mais pas manipulables comme Cédric, nous avons une pensée en ce 1er avril pour ceux qui souffrent. Patrick a eu le Covid et en plus il a été victime d’une campagne de presse pour ses agissements antimites, pardon, anti-metoo.
Richard, lui, a « souffert beaucoup », selon son producteur Dumontet.
.@RichardBerry accusé d'inceste : "J'espère qu'il pourra reprendre son spectacle, je l’y encouragerai", soutient son producteur @Jmdumontet qui assure qu"'il a évidemment souffert de cette situation" #RTLSoir avec @ThomasSotto pic.twitter.com/YnFcPOx7qZ
— RTL France (@RTLFrance) March 29, 2021
Il ne faut jamais partir un 1er avril, et pourtant Patrick l’a fait, Juvet, pas Bruel. C’était le premier « pédé » officiel de la chanson populaire, tout le monde le chuchotait, mais lui s’en foutait : il a carburé à 100 à l’heure.
« Parce que j’avais l’avion à 7h du matin pour aller dans un autre pays, j’étais obligé de carburer. Et puis, les maisons de disques vous mettaient un cachet dans votre whisky juste avant une télé pour être plus efficace. C’était des décontractants, ça plus l’alcool, vous faisiez l’amour à un tronc d’arbre." » Pure people)
Le mot de la fin
La meilleure preuve qu'on vit dans un monde de clowns, c'est qu'il est désormais impossible de faire un poisson d'Avril sans que tout le monde le prenne pour une info.
— Philippulus le Prophète (@philippulus2000) April 1, 2021