« Préférant la joie au malheur
L’intelligence à la bêtise
À l’hypocrisie la franchise
Aux gendarmes les gens de cœur »
Nos gouvernants se dépassent, on dirait un concours de délirants au Vinatier, le gros HP de Lyon qui verse ses fous dehors, faute de budget – faut bien rembourser la dette, Madame –, et donc de lits et de soignants. Tiens, comme l’hosto avec le cov. Le jour où le clown Castex nous annonce sa dictature vaccinale, c’est-à-dire le choix entre mort vaccinale ou mort sociale (il reste le maquis), le ministre du Big Pharma, Olivier, nous gratifie d’une bombe sémantique.
Merci Olivia pour le surf, la Californie, les années 60, les Beach Boys, les good vibrations !
Les bonnes vibrations, avec la bande de pisse-froid de Matignon et l’Élysée, il va falloir les faire passer sous les radars, mais on a l’habitude. C’est pas Castex avec sa tête d’enterrement de 3e classe qui va nous gâcher le poker du solstice, la nuit de Noël et le réveillon entre adultes consentants.
Quand les communistes ont glissé du pacte de non-agression germano-soviétique à la résistance en France, c’est passé crème, car ils avaient déjà un appareil clandestin.
Il devenait secrétaire général du PC le 17 décembre 1972 : Georges Marchais et son art de la "punchline" @PCF
— Cohérence (@coherence_e) December 17, 2021
Pour ceux qui n’ont pas cru à la dystopie, plus dure sera la chute. Au moins, avec Staline, on savait à quoi s’en tenir, il n’y avait pas l’ambiguïté actuelle d’un régime autoritaire déguisé en démocratie.
Le plus drôle, dans une Ve République complètement pourrie, mais vraiment à l’état de charogne, c’est l’élection démocratique truquée qui approche, alors que le pouvoir (profond) durcit encore la répression. Étrange, comme s’il était sûr de repasser, avec Macresse ou Pécron.
Parce que oui, si le vote national se déchire au premier tour, entre Marine et Zemmour, c’est Pécresse qui raflera la mise en finale. Et Pécresse, comment dire...
Pécresse, on ne sait même pas ce qu’elle veut, et d’ailleurs, on s’en fout. L’Anne de Paris, au moins, elle, a un programme : simple, clair, net.
Mais les tribus de gauche, qui se font la guerre entre elles au lieu de s’occuper des tuniques bleues et de la pauvreté indienne, sont en train de pousser Taubira à la candidature.
Pourquoi cette comparaison est une abjection ?
- Aucune branche radicale du judaïsme n'a jamais posé de bombe dans des pays occidentaux au nom de son Dieu
- La déportation et l'assassinat systématisé de la population juive n'a aucun équivalent moderne. https://t.co/V5zfUyU3Ia— Noémie Halioua (@NaomiHalll) December 13, 2021
Et là, vlam, la bimbo sioniste, qui n’a pas pardonné à Hidalgo ses propos sur les musulmans, se venge sur Taubira – qui est du même camp, celui de la défaite – avec une balayette et lui pète les dents de devant.
Se pourrait-il que certains restent encore de marbre face à la puissance évocatrice déployée, au génie du verbe, à la petite musique des mots de notre ancienne Garde des Sceaux que certains comparent volontiers à celle d'Apollinaire ?
pic.twitter.com/iTzHpvr1wQ— Noémie Halioua (@NaomiHalll) December 17, 2021
Dans la folie actuelle, plus personne n’est capable, en politique ou ailleurs, de prévoir l’avenir à trois jours. Tout peut se passer, même un gros attentat, nous dit Patrick Calvar, l’homme qui gérait les failles de la DGSI pendant les grands attentats de France...
Manquerait plus que ça ! Nos services et le Mossad pourraient attendre un peu, qu’on digère les dernières agressions du gouvernement, après, on verra. On ne peut pas bouffer deux étouffe-chrétiens en même temps, que diable.
Les rues ne sont plus sûres, elles sont bourrées de paranoïaques, de déprimés, de malades de la peur.
On ne peut rien pour eux, car pour eux, la peur est une protection, alors que c’est l’inverse.
La peur est mauvaise conseillère, rappelle l’adage, mais elle peut guider les passions politiques. Voire nourrir les « passions tristes », selon l’expression empruntée par Emmanuel Macron à Spinoza. En 2016, dans son livre programme Révolution (XO Éditions), le futur candidat à l’élection présidentielle se désolait de voir les Français « recroquevillés sur nos passions tristes, la jalousie, la défiance, la désunion, une certaine forme de mesquinerie, parfois de bassesse, devant les événements ». Terrorisme de masse, chômage, crainte du déclassement… Le pays est alors en plein marasme. Une situation qui s’est aggravée depuis lors. (Le Monde du 4 mai 2021)
Pourtant, il y a des raisons d’espérer. Par exemple, la transidentité est aujourd’hui, grâce à Brigitte, mieux acceptée en France. Il faut voir les choses du bon côté. C’est le Président en personne qui nous a appris à être optimistes, lui se voyant comme un « optimiste de la volonté ».
L’intelligence collective du net, qu’on appelle réseau social (il n’y en a qu’un, immense), dans sa candeur paysanne et sa maladresse orthographique, a déjà accepté ce changement, et c’est bien pour la tolérance, la démocratie, tout ce qu’incarne le très jeune Macron.
On va avoir besoin de beaucoup de patience et d’humour, ces prochains temps. Nous, on a fait des réserves, pour l’hiver nucléaire qui se prépare. Quand on sait qu’on va jouer contre le grand FC Barcelone, on bétonne sa défense (à 15 derrière), on travaille son physique (courir 95 minutes après un ballon sans jamais le toucher), on peaufine sa stratégie (couper Messi en deux).
Le pire, vous l’aurez compris, en politique, c’est la mauvaise surprise, car il y en a rarement de bonne. Alors tout ce qui peut coller à la dystopie actuelle, on garde un œil dessus...
Dans la nuit d’avant hier à 4 h du matin au parlement israélien a été voté une loi qui autorise la police à rentrer à nos domicile sans aucun mandat . Je tenez à vous en faire part . La dictature est en marche .#NonAuPassDeLaHonte #dicturesanitaire #NouvelOrdreMondial
— yael baror (@BarorYael) December 15, 2021
Au fait, la fille du dernier étage, c’est Carla Moreau, la nouvelle venue dans le slip, pardon, l’émission d’Hanouna. C’est une sorte de Noémie Halioua, question formes, mais sans le sionisme. On avait le choix, à la Rédaction, entre elle et elle :
Le vote est tombé, après plusieurs tours de scrutin : on a pris Carla.