Avant – avant la dystopie dans laquelle on nous a plongés depuis deux ans –, ça, c’était une vanne :

Aujourd’hui, on n’est plus sûrs de rien. Les vannes se mélangent à la réalité, et cette dernière est devenue une énorme vanne, mais qui n’est pas toujours drôle. Parfois, c’est involontairement (?) drôle : regardez ce discours de Macron à Pithiviers. Sérieux, si on était à la tête d’une association communautaire juive, on se poserait des questions.

« Regardons ces rails, visitons cette gare... »

Dans le genre dystopie, on peut aller plus loin, avec Sam Brinton et sa sexualité de chiots, ou de chiottes, c’est selon.

Wawa, le doggy bag de Sam

On rappelle que Sam est « secrétaire adjoint du combustible usé et de l’élimination des déchets au Bureau de l’énergie nucléaire ». C’est quand même un ingénieur nucléaire. Rassurant, surtout s’il voit les autres comme des chiens en puissance. Finalement, très Pentagone-compatible, ce Sam.

Mais c’est vrai qu’il fout le malaise. Les trans ont toujours existé, c’est pas le problème, mais lui viole l’espace public avec sa sexualité déviante, alors que personne ne lui a rien demandé. Si l’on accepte Brinton dans l’espace public, cette publicité vivante en faveur de l’animalisation, de la bestialité, de la soumission, on aura les pédophiles au 20 Heures, c’est mécanique. On allait dire, c’est déjà le cas. Mais on préfère passer aux bonnes nouvelles.
Non, attendez, on nous apporte une vidéo made in USA !

C’est quoi ce délire ? De quoi il se mêle l’oncle Tom ? Et qu’est-ce qu’il fout habillé comme son maître blanc ?

On rappelle à cet olibrius que l’assaut sur le Capitole par les forces vives du peuple américain en janvier 2021 n’est que la récupération d’un lieu symbolique qui devait servir les intérêts du peuple, pas ceux du pouvoir profond. Donc rien de grave, seulement un juste retour des choses.
Chez nous, l’assaut de l’Assemblée n’aura pas lieu, parce que 161 (89 RN et 72 LFI) vrais députés du peuple y sont entrés le 19 juin 2022. C’est pas la majorité, mais ça complique le jeu du pouvoir, qui avait l’habitude de s’essuyer les pieds (et le reste) sur une bande de traîtres à la nation qui ont voté toutes les lois liberticides et autres états d’urgence depuis 2020.

Mais rien n’est gagné, quand on voit le pedigree (relire F&D) des Attal, Braun, Braun-Pivet, Runnacher... on manque de s’étouffer devant tant de réseaux entrecroisés, devant un tel mépris des gens ! Paris-Match, cette semaine, nous sort un brosse-à-reluire de toute beauté sur le petit Attal, l’homme, enfin, le politique qui monte.

On a retenu une phrase : « Il polit ses formules, jongle entre expertise, sincérité et subtile malice. » C’est censé décrire son passage sur France 2 lorsque ce petit porte-parole pistonné a déroulé les mesures liberticides du confinement à la con. Dont voici l’aberrante illustration :

Faut oser écrire ça. Les journalistes de cour seraient capables d’écrire la même chose sur Eichmann à son bureau, dans le genre :

« Il polit ses horaires, jongle entre expertise, sincérité et subtile malice. Avec lui, les trains ne partent jamais vides, et quand ils reviennent, c’est les wagons bourrés de denrées rares venues de l’Est. »

On vous a promis une bonne nouvelle, la vraie bonne nouvelle de la semaine, c’est le taf que Ghislaine Maxwell va faire en taule, si elle y va vraiment. Parce que depuis le « suicide » de son compagnon, le pédocriminel juif américain Jeffrey Epstein, lié au Mossad, on ne sait plus vraiment s’il est bien mort, s’il n’a pas été exfiltré, et si la Maxwell est bien présente à son propre procès, vu qu’on n’a que des comptes rendus sans photo.

Donc si cette pourriture va vraiment en taule, elle récurera les chiottes (pendant 30 jours). Selon le Daily Mail, pour ce job utile elle touchera entre 15 et 27 centimes de l’heure. Ça va la changer de l’île aux Enfants (violés) où cette salope régnait comme une princesse sur le cheptel humain, chair fraîche pour tordus de l’oligarchie décadente, les fameux monstres gentils !

« Dans l’île aux enfants,
C’est tous les jours le printemps
C’est le pays joyeux
Des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c’est un paradis »

Ainsi va le monde, chers amis. Il faut sacrément nettoyer l’actu pour trouver quelque chose de pur, de vrai, de beau. Non pas que tout soit pourri, mais à un certain niveau, on dirait que c’est inévitable. Peut-être que, à E&R, si on prend un jour le pouvoir, on ne fera pas mieux... Mais au moins, avant de pourrir, on passera deux ou trois mesures radicales qui changeront les choses.
Après, les Américains bombarderont la France, parce que ce vassal à l’importance symbolique ne doit pas leur échapper. Les journalistes de BFM TV sont en première ligne pour nous américaniser, c’est-à-dire nous dérussifier.

Eh merde, on voulait détendre l’atmosphère, et on retombe dans la dysto. C’est le moment de passer une page de pub, avec ces traders qui ont le rythme dans la peau.

Le premier, on dit bien le premier, qui critique cette pub, il sort. De sa chambre, de son appart, de sa maison, de son bureau, de sa cellule, du couloir de la mort, peu importe, mais il sort.
C’est marrant, y a un truc qui nous revient, c’est ce gamin blanc perdu qui se croit populaire au Cameroun, alors que Biya a envoyé une foule de chômeurs locaux pour chanter les louanges du poudré.
La vraie popularité, même si c’est exagéré – le peuple aime qui il veut –, c’est celle de Paulo Dybala (étrange, dans Dybala y a Biya) à la Roma :

Franchement, vous imaginez les Français chanter « Macron » comme ça ? Le poudré, dès qu’il sort le nez de l’Elyseum, c’est au milieu de centaines de boucliers humains. Pour éviter les débordements d’amour lors des scènes de liesse ?

Tournons la page, venons-en à la rubrique people, avec une pensée à simillon pour Dany Boonus, déjà riche, qui voulait être encore plus riche au pays des exilés fiscaux.

Dans le cadre du soutien d’E&R aux jeunes artistes pauvres, voici Les Cadavres, qui chantent les problèmes immobiliers et la précarité. Nul doute que la NUPES va s’emparer de cette chanson sociale. Non ?