La rééducation nationale a encore frappé.
Après la diffusion du film Tomboy devant des dizaines de milliers d’élèves, les interventions du travesti David Dumortier dans des classes de primaire, les livres faisant la propagande de l’idéologie du genre (Papa porte une robe et autres joyeusetés), ou encore l’ABCD de l’égalité ayant pour but assumé de déconstruire la complémentarité entre les sexes, place à Moby Dick. Vous savez ce gentil cachalot, ainsi nommé par l’américain Herman Melville, dans son œuvre éponyme de 1851.
Ben oui, mais Moby Dick version moderne, c’est bien autre chose encore, comme je l’ai découvert à mes dépens, ou plutôt à ceux de ma fille, que j’accompagnais en sortie scolaire au théâtre. Intriguée par un article du Courrier des Yvelines, dans lequel des familles musulmanes estimaient qu’il s’agissait d’une pièce à « connotation sexuelle », j’ai voulu en avoir le cœur net. Mais je n’ai eu que des haut-le-cœur.
Je passe sur l’aspect criard et morbide du spectacle pour me concentrer sur l’essentiel. Dès les premières minutes, le chasseur de baleines Ismaël et le cannibale Queequeg dorment ensemble, fument ensemble, et comme Ismaël fume bien, Queequeg lui propose de l’épouser, ce qu’il fait illico avant de l’embrasser sur la bouche, sous les baaaah ! des enfants. Quelques scènes plus tard, Queequeg propose à son ami-mari de lui faire l’amour pour le remercier de paroles gentilles.
Lire l’intégralité de l’article sur bvoltaire.fr
Pour découvrir et rejoindre l’action des Journées de retrait de l’école :
jre2014.fr
facebook.com/jre2014