Les questions posées à Chouard par les juges Robert & Enthoven sur les chambres à gaz en particulier et sur la Shoah en général sont à prendre dans un sens plus politique : « est-ce que tu crois à la souffrance juive, unique et indépassable ? », question qui se transforme en « est-ce que tu crois en la puissance juive, unique et indépassable ? », pour devenir « est-ce que tu te prosternes devant la puissance juive, unique et indépassable ? »
Poser à Chouard qui fait de la politique sociale une question sur la négation de la souffrance juive c’est lui poser la question de la soumission au pouvoir profond. Traduction : on a le droit de s’opposer au pouvoir visible mais pas au pouvoir profond. Normalement, les journalistes Robert & Enthoven auraient dû le recevoir avec politesse et lui poser des questions de journalistes. Or ils lui ont posé des questions de juges, nous sommes à la fois dans les procès de Moscou de 1936-1938 et les procès maccarthystes de 1953-1954.
Aujourd’hui le communisme et le maccarthysme sont remplacés par le sionisme et les procès en sorcellerie vont bon train. La Shoah n’est plus l’histoire de la persécution des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale mais bien le nom des procès politiques qui s’y rattachent et qui s’appuient sur un émoi devenu mondial par la force des choses, et ces choses s’appellent les médias.
Les internautes qui ont regardé cette parodie de procès savent que la question de la Shoah ou des chambres à gaz est piégée puisque nier la souffrance des juifs revient à blasphémer, et le pouvoir profond entend bien que ce blasphème soit exagérément dramatisé et que l’ensemble de la réaction soit bien perçu par la population. La communauté juive organisée est devenue intouchable en France grâce à la loi Gayssot et cela a des conséquences désastreuses sur la vie politique, la vie juridique, la vie médiatique, la vie économique et la vie culturelle : les uns ont tous les droits, les autres tous les devoirs.
Cette France à deux vitesses, où d’un côté les plus hautes fonctions politiques s’insurgent contre un croche-patte administré à un enfant coiffé d’une kippa et où de l’autre ordre est donné de réprimer dans le sang les Français qui souffrent – et qui souffrent de la politique bancaire ! – ne pourra pas durer longtemps. Toutes les injustices flagrantes finissent par s’effondrer. Le lobby sioniste qui a obtenu ce pouvoir incommensurable fait prendre un risque non seulement à sa communauté, mais à tous ceux qui se sont soumis à ce pouvoir inique, raciste, fasciste.
Il ne faut pas se tromper, la Shoah est devenue le levier d’un nouveau fascisme bien réel qui passe son temps à dénoncer des fascismes imaginaires. Un par un, les récalcitrants à ce Nouvel Ordre français sont dénoncés, isolés, questionnés (au sens de torture) et mis au pas ou au rebut. Or il suffit de résister avec courage, avec Raison, avec humour et avec information, et ce régime s’effondrera, car il ne tient que sur la peur qu’il inspire aux peureux. Il ne tient donc que sur la corruption des âmes.
La parenthèse noire du sionisme, les véritables heures sombres, celles de l’injustice absolue, passera comme sont passées les périodes sombres du communisme et du maccarthysme. Le temps est avec nous, et Dieu aussi.
Bonus : la haine des juges sionistes et de leurs larbins médiatiques
qui vivent sous la Terreur
Tranquillement. Ceux qui, au Media ou ailleurs, traitent encore Étienne Chouard comme un penseur progressiste, adoubent un négationniste ou un crétin, qui n’est pas sûr de l’existence des chambres à gaz, faute d’avoir étudié la question... Con ou sale con, au choix. https://t.co/sZohEhx5BV
— claude askolovitch (@askolovitchC) 11 juin 2019
> @Francois_Ruffin : le négationnisme n'est pas une "pure connerie". C'est un délit, inscrit dans la loi par les élus du peuple en 1990. https://t.co/dAAZelRerg
— LICRA (@_LICRA_) 12 juin 2019
Et Denis Robert, nouveau patron du @LeMediaTV, découvre enfin toutes les ambiguïtés nauséabondes d’Etienne Chouard... https://t.co/h7km5hcQAT
— Raphaelle Bacqué (@RaphaelleBacque) 11 juin 2019
J'ai supprimé mes tweets défendant Chouard car, après visionnage de la deuxième vidéo, je trouve son entêtement à douter de tous les discours dominants très gênant.
Mettre l'Holocauste au même niveau que d'autres discussions est, au mieux, extraordinairement maladroit.
— Nicolas Grégoire (@nicolasgregoire) 11 juin 2019
Qu’est-ce qui est le plus grave ? Chouard qui tient des propos négationnistes sur les chambres à gaz ou @Denis_Robert et @LeMediaTV qui lui donnent une plate-forme pour développer son négationnisme ? https://t.co/DFn9UE5PbH
— Philippe Marlière (@PhMarliere) 11 juin 2019
Pendant que les Français sont confrontés à une situation sociale de plus en plus dure par la responsabilité d’un gouvernement aux ordres du pouvoir profond qui veut punir les Français pour ce qu’ils sont, pour ce qu’ils pensent, les médias entièrement aux ordres font du procès Chouard un exemple montré en place publique. Place publique, c’est aussi le nom du mouvement de Raphaël Glucksmann. Nous vivons bien sous un régime de Terreur, et la guillotine médiatique a remplacé la guillotine en bois. Chaque jour, des têtes tombent qui ont l’heur de déplaire au pouvoir sioniste. Mais quand on place sa tête sur le billot, il ne faut pas s’étonner qu’on se la fasse couper !
Ne courbons pas l’échine, les deux juges qui ont condamné Chouard finiront eux-mêmes par être jugés, c’est l’Histoire qui nous l’apprend et s’il y a une seule leçon à retenir de l’Histoire, c’est bien celle-là.