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France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la douleur

 

 

 

La chance est passée, les Bleus ont frôlé l’exploit, éliminer les tenants du titre mondial, chez eux. À 28/29, il aurait suffi d’un drop, d’une décision d’arbitrage, de... Avec des si, on serait champions du monde tous les quatre ans.

 

L’équipe de France 2023 rentre chez elle, c’est-à-dire à côté, et laisse les Springboks filer en demies, où ils retrouveront l’Argentine, l’Angleterre et les incroyables All Blacks, qui ont livré un match de folie contre les puissants Irlandais.

On se consolera en se disant que ces rencontres sont de très haut niveau, du grand rugby.

 

 

Galthié après le match :

 

 

Passons maintenant aux critiques des pros.

 

 

Sentant venir la fin du règne de Galthié, Laporte se rapproche...

 

 

Et comme on est dans la controverse, Saint-André, lui, revient sur la défaite du XV de France en 1995 face aux mêmes Sud-Africains...

 

 

Les Sud-Africains n’étaient pas rassurés avant la rencontre : depuis 2020, rappelle L’Équipe, les Français ont remporté 24 rencontre sur les 25 disputées à domicile. Autant dire que nous étions l’équipe à battre de la compétition. Le tournoi est aujourd’hui ouvert entre les quatre « challengers », dont l’Argentine, qui risque de souffrir.

Sur le Net, les supporters se déchaînent, à la mesure de leur déception. En sport, comme on dit souvent, la défaite a plusieurs mères. Malgré son parcours quasi sans faute, le sélectionneur en prend pour son grade :


- L’arbitrage d’O’Keeffe a été honteux : en-avant volontaire, coude dans la tête, les Sud-Afs en permanence hors jeu dans les rucks, le contre de Kolbe…
- Les cadres bleus pas au niveau : Ramos, Fickou, Danty, Penaud…
- Le coaching foireux de Galthié (Jack)

La couverture du Parisien, qui s’attaque à Galthié, fait réagir :

 

 

Le 11 octobre, Bernard Laporte donnait une longue interview à La Provence où il s’attribuait tranquillement les succès du XV sous Galthié et celui de la Coupe du monde...

« Si, les soirs de match, les bars sont pleins, si les audiences sont très élevées et si la compétition est un vrai succès, j’y suis pour quelque chose. J’ai pu assister aux deux premiers matches disputés à Marseille, quand je montais les marches du Vélodrome, les gens me disaient « merci ». Le patron d’un café m’a remercié, en me disant : « Si on travaille comme des fous, c’est grâce à vous ! »

Galthié, qui a redressé l’équipe (mal menée par Laporte) et qui lui a donné une personnalité, une énergie, une créativité, restera-t-il en place, malgré un contrat qui court jusqu’en 2028 ?
C’est un gagneur, comme Deschamps, qui sait encaisser la défaite, aussi dure soit-elle. Deschamps a fait 2 finales de Coupe du monde, la première gagnée, la deuxième perdue. Et il a remis le couvert.

La double peine

Encore une fois, le Président s’est introduit dans les vestiaires des Bleus, pour débriefer la défaite, selon le spécialiste du rugby Murray Kinsella :

« Post-match press conference delayed here at Stade de France as president Macron is currently in the changing room with the French team. »

« La conférence de presse d’après-match a été retardée ici au Stade de France car le président Macron est actuellement dans le vestiaire avec l’équipe de France. »

Les réactions françaises sont vigoureuses. Par respect pour le premier des Français, nous n’avons pas mis les plus embarrassantes.

« Le plus terrible arrive. Macron va leur faire des câlins ds les vestiaires.... Le calices jusqu’à à la lis. » (Be Green)

« Macron il a du venir dans les vestiaires leur casser les couilles alors que dans les moments de défaites t’as juste envie de cacher ta tête sous ta serviette. C’est dur de te dire que tu fais 130 kg, mais que tu peux pas lui dire “mais ferme ta gueule le naz” » (MDS)

« Macron a pris le temps de consoler les rugbymen du XV de France bouffés par les "ogres" Sud-Africains. Le speech du président dans les vestiaires s’éternisant, la conf de presse des joueurs a été décalée. Le chef de l’Etat a eu un mot pour Antoine Dupont, dont il est fan » (Nils Wilcke)

 

1 – La chute du rugby français (juillet 2019)

 

2 – La révolution Galthié (novembre 2022, à partir de 1h28)

La Coupe du monde en France, sur E&R

 






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66 Commentaires

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  • #3263642
    Le 16 octobre 2023 à 19:39 par Dominique
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    Avec ce résumé, j’ai vu une belle équipe de France et d’Afrique du Sud. Belle performance.

     

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  • #3263654

    Cette equipe de France aura son heure, elle est encore un poil jeune, il faut savoir patienter. On sent un groupe soudé avec des amitiés fortes comme Jelonch-Dupont.
    Sur ce quart, on peut surtout s’en vouloir de ne pas avoir su scorer à 15 vs 14 en début de 2ème mi-temps. Les sud Af étaient perdus, le coach sort 2 fois 3 mecs en réaction.
    Certe, y’a des manchettes non sifflées, une touche pas droite, des défenseurs qui restent à gêner Dupont.... y’avait la place et on a pas su la saisir !
    Les sud Af sont très physiques mais n’ont pas de bon buteur. Ça me paraît compliqué pour eux d’aller au bout.

     

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  • #3263668

    Pour ceux qui connaissent les règles et le rugby. L arbitre à été malhonnête. Mais ce n’ est pas étonnant c’est un sport d’anglo saxon. La France ne gagnera jamais ce trophée ( faut vraiment être neuf pour le croire). Le fair-play n a pas sa place dans des compétitions avec autant d enjeux. Il fallait mettre la pression sur l arbitre d entrée de jeu. Quand un arbitre ferme les yeux sur autant de faute voir même pire ne respect pas le règlement c est fini la crédibilité de ce sport. J ai du compter au moinss une erreur toutes les 5 mn et comme par hasard contre les français. Pour info tous les dirigeants de ce noble sport ( rire ) sont anglais et ils controlent aussi la diffusion des images.

     

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  • #3263693
    Le 16 octobre 2023 à 21:25 par Bonaventure
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    N’empêche il reste 6 minutes à jouer... on choisit la pénalité au lieu d’une penaltouche qui nous permettrait
    de nous rapprocher et mettre un essai qui nous permettrait de passer devant. On choisit la pénalité... OK c’est 3 points mais on reste toujours derrière...et les adversaires ne nous laisseront plus l’occasion de nous rapprocher de leur camp
    Les sud africains avaient choisi la penaltouche pour ce genre de situation et avaient conclu pour passer devant.
    Ce calcul d’apothicaire m’a paru sidérant sur le coup...

    Quel manque de panache malheureusement..

     

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    • #3263826

      Ce genre de choix n’est pas bon ou mauvais, il traduit juste l’état d’esprit et de confiance de l’équipe qui le fait.
      En premièr période, Dupont joue vite une pénalité car proche de la ligne d’en-but et ça fait essai ; Il sent bien le coup.
      Là, il sent qu’ils n’arriveront pas à faire mieux, ça fait toute la seconde période qu’ils essaient mais n’y arrivent pas, y compris à 15 contre 14, et le match commence à leur échapper.
      Ils ne comptent plus que sur les fautes sudaf (qui hélas n’arrivent pas) et le pied de Ramos, qui a souvent bien servi dans cette CDM, donc ambition logique et cohérente. Si on arrive à en obtenir une de plus sur 20 minutes (à priori rien d’impossible) on est devant à la fin, donc ça n’est pas entièrement stupide. La suite lui aura en tout cas donné raison : on n’a pas été foutu de s’approcher ne serait-ce qu’à 10 mètre de leurs buts, on n’a jamais semblé en situation de pouvoir mettre un essai dans cette 2nde période. on perdait systématiquement la possession.

      Tu parles d’un manque de panache, mais c’est justement le fétichisme du "panache" qui nous a coulé ce soir ; Le côté "c’est aux autres de s’adapter à notre jeu, nous on est trop beau et trop fort pour s’abaisser à ce genre de calcul, on joue notre jeu et pis c’est tout", c’est grosso modo la devise de Galtier.
      Et au final t’as les Sudaf, une équipe peut-être moins forte (sous entendu : avec moins de rugby, moins de variations, d’options, ou de génie) qui pourrait elle aussi se montrer arrogante (ils ont de quoi), en se contentant de jouer sur leurs forces, l’intensité, le concassage, mais qui choisit de s’adapter à nous (signe qu’elle nous considère comme "plus fort"), joue sur nos faiblesses, tentent des trucs, a certes bcp de réussite, mais ils la provoquent et l’obtiennent

      Il y a une vraie préparation et lecture de l’adversaire. Le mérite de cette victoire leur revient, nous avons été trop légers dans l’approche du match.Ils ont démontré que cette demi, ils la voulaient plus, et c’est ce qui est douloureux et presque impardonnable côté français.

      Ici le pragmatisme anglosaxon, qui est aussi une forme d’humilité, a eu raison du panache arrogant français. Car le panache, ça se commande pas, et si t’es dans un jour peu inspiré, fébrile, ben il te reste qu’un plan de jeu inexistant, et tu manges ton arrogance.

      on pensait que notre philosophie s’adapterait bien à n’importe quelle équipe ; Mais ça marche contre les petits ou les moyens, pas contre les très gros.

       
    • #3264013

      D’accord avec Talon. Mais essayer aussi de passer un drop, c’est si difficile ? Pareil en 2011 en finale, ils n’essayent même pas !

       
    • #3265003
      Le Octobre 2023 à 21:28 par BONAVENTURE
      France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

      OK je respecte votre opinion mais pour moi avec la penaltouche on se rapproche tellement de leur en-but...et avec le soutien des supporters....Eux n’ont pas fait le choix de taper une pénalité mais ont préféré la penaltouche et ont mis un essai derrière..

      Ils restaient que 5 minutes. Les sudaf n’avaient plus qu’à nous contenir dans notre camp. Vous pensez qu’ils nous auraient offert une pénalité alors qu’il restait 5 minutes pour aller en demi ???

      Ce n’est sûrement pas un manque de panache mais un très mauvais calcul du banc (servat).

       
  • #3263697
    Le 16 octobre 2023 à 21:34 par Fréderic
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    Somme de petits détails qui font qu’une partie gagnable avec 15 points d’avance termine dans l’atroce douleur.
    1-Côté prépa physique trop de blessés.
    2-Marchand blessé depuis 4 semaines maintenu dans le groupe (il aurait pu revenir en demi suite aux blessures des 1/4) alors que Willemse était de nouveau opérationnel, et sa puissance physique a fait grandement défaut.
    3-Le fantôme de l’ère Saint André est réapparru en l’absence d’un 3ème ligne qui décroche dans le second rideau voire en couverture sur l’aile quand l’équipe attaque. Aldritt n’a pas ce registre et c’est Dupont qui fait le boulot des deux mais ça ne pouvait pas durer ad vitam éternam.
    4- Le pilier droit remplaçant n’a pas le niveau, sur la première mêlé chahutée il fallait refaire rentrer de toute urgence Atonio reposé de puis 5 minutes (GROSSE erreur de coaching).
    5-Bielle Barey trop tendre et jeune (trés prévisible) pour ce match , et Villères le "Pitbull" est taillé pour ce genre de rencontre.
    6- Déficit arbirtal sur les rucks, les percussions coudes en avant, contre de Kolbé parti avant le coup de pied. Les Wasp se foutent de nos gueules seuls pays organisateur rugby du monde à ne pas savoir "manager" un arbitre.
    7- Erreurs de dégagements par deux fois dans les 10 dernières minutes. Niveau 4 éme série.

     

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  • #3263753
    Le 17 octobre 2023 à 04:17 par James mason
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    Le système et son rou-age est cruel.Il faut bien anyway un gagnant et un perdant.
    Padangsidmpuan soit dit en passant.

     

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  • #3263800
    Le 17 octobre 2023 à 07:09 par Uber Vive le rugby
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    Fallait pas les vacciner... les sportifs...

     

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  • #3263808
    Le 17 octobre 2023 à 07:34 par Lames d’acier
    France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

    Le jeu de la France fait rêver. C’est l’attaque, le mouvement virevoltant , l’inspiration qui trouve sa source dans les profondeurs de l’âme du sud-ouest de la France. Le rugby de la sudAf , c’est la contre-attaque, la mise en calcul du jeu , la rationalisation de chaque geste à l’image de l’automatisation des tâches qui caractérise l’économie capitaliste globalisée. Ces parcelles, ces particules de qualités divines que sont la créativité, la spontanéité, le génie humain , sont étrangères à la conformation mentale des joueurs sud-africains. Deux chandelles , un rebond favorable, contre une EDF à l’assaut de la forteresse sudAf, ont permis de prendre en défaut les arrières tournés vers l’attaque. Une IA greffée dans le cerveau des sudAf par Neuralink permettrait de répliquer les facettes du jeu des Springboks, à cette différence , toutefois, qu’une IA est programmée pour respecter les règles. Ce qui n’a pas été le cas , lors de la transformation de Ramos qui a été contrée tout simplement parce que le joueur adverse a commencé à courir depuis sa ligne d’en-but avant même que notre buteur ne s’élance. L’arbitre O’keefe est soit incompétent, soit pro-Anglo-Saxons en raison de l’appartenance de son pays au Commonwealth et de l’allégeance de chaque citoyen à la couronne britannique. Aussi loin que l’on se souvienne, la France a toujours perdu des matchs du tournoi et de coupe du monde dans des conditions douteuses, surtout lorsque le score était serré. Souvenons-nous de la Demi-finale volée contre ces mêmes Springboks lors de la coupe du monde 1995 en sudAf. Il faut financer des centres de formation dignes de ceux du football pour qu’un jour nos équipes soient en mesure de vaincre les équipes anglo-saxonnes de l’hémisphère sud avec un score sans bavures. Le rugby français, c’est le romantisme absolu ! de défaites en défaites jusqu’à la victoire comme dirait le patron !

     

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  • #3264147

    Il y a 12 ans, nous perdions la coupe du monde d’un malheureux point avec un arbitrage défavorable.
    Si je peux me permettre le comparatif, ça sonne dans ma tête comme le France-Bulgarie de 1993 en football. Pas question de parler arbitrage dans ce cas, mais 11 ans après le show Schumacher, les bleus avaient manqué de vice.

    Ma comparaison s’arrête là, mais la conclusion est identique : nous sommes des perdants magnifiques, et ne retenons pas les leçons de l’histoire. Sachons avoir un tant soit peu de vice, afin de cesser de voir les autres gagner. Au foot, nous avons fini par gagner.

     

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    • #3264450

      Heureusement que votre comparaison s’arrête là parce que faire un parallèle entre ce match de rugby, le match de Séville et le France-Bulgarie 93 est assez inapproprié. En novembre 93, il a manqué un peu de vice aux Français durant les 20 dernières secondes du match mais tout le reste du temps, il leur a simplement manqué du talent. L’équipe et le groupe étaient minables, des tensions pas possibles entre les Parisiens et les Marseillais, des clans, des joueurs qui ne pensaient qu’à leur pomme comme Ginola, un milieu de terrain obscur avec des tâcherons comme Deschamps, le Guen voire Guérin.......Ils ne méritaient pas d’aller aux USA et d’ailleurs ceux qui y sont allés à leur place (Suède et Bulgarie) ont brillé et terminé 3ème et 4éme de la CM. D’ailleurs c’est contre Israël au Parc que les Bleus ont laissé passer leur chance.

       
  • #3264274

    Il y a dans ce grand coup de massue que vient de prendre le rugby français un point positif c’est que Laporte et Galthié vont redescendre de leur piédestal. En cas de victoire finale, nous les aurions entendu pavoiser à l’infini. Ils me font penser à Noah au tennis : « avant moi il n’y avait rien et après moi non plus ».
    L’un comme l’autre ont eut des moyens énormes pour que la France soit championne du Monde en 2007 et en 2023, pour au final deux désillusions.
    Laporte a bien évidement oublié de remercier les clubs qui ont fait des concessions colossales ces quatre dernières années pour amener l’équipe de France sur le toit du monde. Pour quels résultats ?
    D’autre part si la France a retrouvé son standing, ce n’est ni le fait de Laporte qui profite du système des Jiffs mis en place bien avant lui, ni celui de Galthié qui bénéficie d’une génération dorée et de l’excellent travail des clubs. Pour ce dernier on ne peut pas se reposer à l’infini sur le talent de certains cadres pour gagner aux forceps. Il s’est d’ailleurs fait manger tactiquement pendant le match par son homologue Erasmus et il n’a jamais été capable - pourtant conscient de certaines lacunes (comme les ballons haut) - d’innover pour renverser la vapeur.
    Pour aller plus loin Laporte comme Galthié (le premier étant le mentor du second) se sont l’un et l’autre saborder. Pour l’un en 2007 avec la lettre de Guy Moquet qui amena une sur émotion en match d’ouverture et l’avalanche de jeu au pied contre l’Angleterre qui n’en demandait pas tant en demis.
    Pour l’autre une préparation physique extrême en pleine chaleur au mois d’août qui au final à cassé 4/5 joueurs importants. Pour quelle finalité ? Celle d’être prêt pour la Nouvelle Zélande en ouverture alors que depuis 2 ans le rugby français savait que le quart de final serait le match le plus important. D’ailleurs qui est en demis et qui ne l’est pas ?

    Bref toujours les mêmes maux dans le rugby français, de l’ego, de la suffisance et de l’incompétence.

     

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    • #3265405
      Le Octobre 2023 à 16:10 par Tahiti Doosh
      France/Afrique du Sud : un seul point sépare le bonheur de la (...)

      Après la perte de Ntamack, Galthié avait eu raison de faire jouer l’équipe B face à l’Uruguay, seulement il a cédé à la pression des médias, et la France a ainsi perdu Dupont contre la Namibie. Et à quoi ça servait de marquer un score fleuve contre la Namibie si c’était pour perdre Dupont avant même le quart de finale ? La politique de réserver les meilleurs joueurs était la bonne mais Galthié n’a pas eu le courage de la suivre jusqu’au bout.

      Sinon, l’élimination de la France et de l’Irlande, alors passent l’Angleterre et l’Argentine, c’est vraiment étrange.

       
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