Rappel E&R sur le Conseil scientifique de Delfraissy
Créé de toutes pièces et en urgence par le « Kouchner boy » Jérôme Salomon, le Conseil scientifique Covid-19 n’a jamais eu que deux objectifs : empêcher l’IHU de Marseille du professeur Raoult de gérer la « pandémie », puis favoriser le pourrissement de la situation pour vendre la « sortie de crise » à la sauce oligarchique (vaccination de masse et pass sanitaire).
Quelques détails :
le fantomatique immunologue qui s’improvise depuis un an spécialiste des coronavirus Jean-François Delfraissy n’est rien d’autre qu’un homme de main d’Yves Lévy via les réseaux de l’INSERM et ceux de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et les hépatites virales (ANRS) ;
l’autre homme fort du fumeux Conseil scientifique Covid-19 est le Franco-Iranien Yazdan Yazdanpanah, un gastro-entérologue et chercheur passé par Harvard, lié à l’INSERM, à Gilead Sciences et à AbbVie, membre du CARE de Barré-Sinoussi (réseaux Pierre Bergé, ANRS, institut Pasteur) et directeur de REACTing (le consortium scientifique qui a piloté l’essai clinique Discovery dans l’unique but de plébisciter les médicaments de Gilead) ;
au sein du Conseil scientifique de l’Élysée, on retrouve encore Simon Cauchemez, directeur de l’unité de modélisation de l’institut Pasteur et ancien bras droit du statisticien britannique Neil Ferguson (grand prêtre de la gestion libérale des hôpitaux, annonciateur de millions de morts en 2020 et promulgateur du confinement généralisé) ;
parmi les autres membres de cet artificiel Conseil scientifique, on retrouve notamment Daniel Benamouzig (sociologue, directeur de recherche au CNRS et à Sciences Po, président du groupe santé de la « progressiste » fondation Terra Nova), Laëtitia Atlani-Duault (anthropologue téléguidée par l’inévitable Michel Wieviorka) et Bruno Lina (virologue associé à l’institut Pasteur et étroitement lié à Sanofi et Seegene)...
Bref, le Conseil scientifique pourrait être renommé le « Conseil scientiFink » tant les intérêts de Larry Fink, le boss de BlackRock (la plus grosse société de gestion d’actifs du monde, qu’on retrouve actionnaire de la plupart des géants pharmaceutiques et des grands médias...), sont favorisés par les avis (ou consignes) rendus par cet organe de lobbying oligarchique.
Le président du Conseil scientifique exhorte à l’injection de la dose de rappel pour les personnes éligibles ainsi qu’à une application plus stricte des gestes barrières.
La cinquième vague épidémique de Covid-19 « est là depuis probablement la mi-octobre », a estimé le professeur Jean-François Delfraissy ce mercredi matin sur France Inter.
« Elle est présente en Europe, elle est présente en Europe de l’Est, mais aussi chez nos voisins, avec des niveaux de vaccination qui sont variables. Ce qui montre bien qu’il faut à la fois la vaccination mais aussi les mesures barrières », a prôné le président du Conseil scientifique.
Les vaccins sont loin d'être un échec, pour Jean-François Delfraissy, mais "il faut savoir les utiliser" car ils "perdent une partie de leur efficacité après 5 à 6 mois, d'où l'intérêt d'une 3e dose" et "protègent assez peu contre l'infection et la transmission" #le79inter pic.twitter.com/6qryjiq8nY
— France Inter (@franceinter) November 17, 2021
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« La très grande différence par rapport à il y a un an, c’est que nous avons le vaccin et nous avons aussi un variant, avec le variant Delta, qui est un variant extrêmement transmissible et je pense qu’on ne l’a pas suffisamment compris encore, y compris dans le milieu médical », s’alarme le médecin.
Pour Jean-François Delfraissy, « on a probablement la capacité de faire face à cette cinquième vague (...) à condition que nous utilisions tous les outils de la boîte à outils. Il y a vacciner les personnes qui ne sont pas vaccinées, la troisième dose mais aussi les gestes barrières au niveau individuel et enfin appliquer le pass sanitaire dans l’ensemble de ce qu’il peut faire ».
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L’immunologue exhorte également à l’injection d’une dose de rappel car si les « vaccins protègent de façon très forte contre la survenue de formes sévères et de formes graves, (...) ils perdent une partie de leur efficacité après cinq à six mois ».
Cette injection deviendra-t-elle habituelle ? À ce stade, Jean-François Delfraissy émet simplement l’hypothèse qu’il « n’est pas exclu qu’on aboutisse à la construction d’un vaccin régulier, tous les ans par exemple », si le virus devenait « endémique ».
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