"Il y a maintenant urgence. Les personnels en ont assez d’attendre. (...) Ils en ont assez du déni de reconnaissance et de l’entrave à l’activité syndicale." Les mots sont cinglants, à la hauteur de la gravité des reproches énoncés. Mais s’ils émanent de syndiqués de la CGT, ils ne s’adressent pas à une entreprise du CAC 40 ou à une quelconque PME accusées de maltraiter un syndicat.
Ils figurent dans une "adresse à la direction confédérale" de la CGT, en date du 17 novembre, signée par le syndicat CGT des personnels de la confédération, des associations et organismes, qui compte une soixantaine de salariés. Du jamais-vu au siège de la CGT à Montreuil !
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