Nous sommes tous des fachos
C’est la réponse logique que les manifestants contre l’ordre libéral fasciste apportent à l’agent du mondialisme.
Il ne peut en être autrement, les gardiens du pouvoir sioniste ayant en France criminalisé et fascisé tout ce qui pouvait menacer leur pouvoir.
Ainsi, sans le vouloir, on est tous devenus des « fachos » une fois qu’on a osé réclamer un peu de justice sociale.
Conclusion : la démocratie, c’est l’injustice sociale.
À nous de lancer le hashtag : #Contre la montée du fascisme sioniste, soutien aux Gilets jaunes porteurs d’une étoile brune !
Bernard-Henri Lévy est indigné. Dénonçant une nouvelle fois les Gilets jaunes qu’il accuse d’être « infestés » de « fachos de droite et de gauche », le philosophe a appuyé ses diatribes contre le mouvement et affiché son soutien au président.
Les accusations de Bernard-Henri Lévy visant les Gilets Jaunes se succèdent, à quelques jours d’une nouvelle manifestation à Paris, particulièrement redoutée par l’Élysée. Dans plusieurs tweets le 6 décembre, il a dénoncé ce qu’il considère comme « la porosité entre Gilets Jaunes et Gilets Bruns », dans une référence aux chemises brunes caractérisant les nazis durant l’entre-deux-guerres.
#ChristopheChalençon veut le général « à poigne » de Villiers à Matignon. #EricDrouet appelle à investir l’Elysee. Le négationniste #HervéRyssen à l’Arc de Triomphe samedi dernier. J’avais hélas raison de dire, dés le 1er jour, la porosité entre #GiletsJaunes et #GiletsBruns.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 6 décembre 2018
Le médiatique philosophe, qui n’en est pas à sa première attaque contre le mouvement de contestation, explique :
« Si les Gilets jaunes n’ont pas le courage de virer les fachos de droite et de gauche qui les infestent, s’ils ne trouvent pas le courage de hurler, samedi, un immense "Not In Our Name", c’est tout leur mouvement qui finira aux poubelles de l’Histoire. »
[...]
Celui qui avait estimé que la première manifestation des Gilets jaunes avait été un « échec », a en outre tenu à exprimer son plein soutien au président Emmanuel Macron, en pleine tourmente.
Pour lui, le chef de l’État serait la « seule option digne » face « à la montée en puissance des fachos, des factieux et des ennemis de la République ». Et de conclure par un mot-clé audacieux au vu des circonstances : #SoutienAuPresidentMacron.
[...]
Son appel rencontrera-t-il le même écho que celui des Gilets jaunes ?