Voilà qui va écœurer les Français qui souffrent : un incompétent, apparatchik socialiste qui a vécu sur le dos de la Bête pendant des décennies, ne produisant rien de constructif pour la Nation, bien au contraire, après une veste électorale sans précédent, se rattrape aux branches et touche un confortable salaire dans une institution internationale.
Ces personnalités politiques inutiles et parfois nuisibles savent comment se reconvertir après avoir bien profité de la République. Harlem Désir, c’est l’homme de paille de SOS Racisme, choisi pour sa couleur locale par les vrais ingénieurs sociaux de la France des années Mitterrand. Orateur médiocre, politicien de bas étage, mouillé dans un tas d’affaires, il aura été utilisé dans la fonction symbolique de « chance pour la France ». Lui a bien profité de l’imposture antiraciste, et pour cela, a été récompensé en fin de carrière. Les banlieues, elles, en sont toujours au même point, 30 ans après SOS Racisme. Preuve que l’antiracisme ne leur a rien (r)apporté.
Concrètement, Désir sera « représentant pour la liberté des médias au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe », un truc de hauts parasites à l’image du Conseil économique et social chez nous, qui sert à recaser les incasables. Dernier parachutage doré en date, l’ex-ministre de la Santé défaillante Marisol Touraine bénéficiera des largesses pécuniaires de la République. Le sacrifice pour la Nation et le bien public a ses limites...
Tout cela étant bien évidemment payé avec les impôts des peuples français ou européen. Parions que Harlem SOS Racisme Désir a bien utilisé son avant-dernier poste de secrétaire d’État aux Affaires européennes dans le gouvernement socialiste précédent pour dénicher cette planche de salut. Alors que l’Assemblée LREM est en train de discuter de la « moralisation de la vie politique », un magnifique exemple d’amoralisation jaillit sous nos yeux.
10 182€/mois pour un ex de la génération Mnef, qui a naufragé le socialisme français : le salaire de la honte ! https://t.co/pDOyXi9jOY
— Laurent Mauduit (@LaurentMauduit) 26 juillet 2017
C’est le journal L’Opinion qui a révélé cette affaire, et le quotidien précise le rôle des dirigeants des trois institutions de l’OSCE : il y a le responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme, le représentant pour la liberté des médias et le haut commissaire pour les minorités nationales, tous avec le rang d’officier supérieur, c’est-à-dire sous-secrétaire général de l’ONU. Traduction : ces ronds-de-cuir peuvent encore grimper dans la hiérarchie de l’institution internationale ! On notera l’effort imaginatif de ceux qui nous gouvernent pour trouver des titres ronflants à des pantouflages dorés. Des fonctions bidon pour continuer à profiter tranquillement de la générosité des peuples...
Pourquoi voulez-vous que des parasites se mettent soudain à avoir envie de travailler et de se donner au collectif après 40 ans de bons et loyaux parasitismes ?
On risque donc de retrouver l’homme à qui les Français doivent le fait d’être des salauds de « racistes » à la tête de l’ONU, un jour. Mais d’ici-là, beaucoup de choses peuvent encore se passer. Les peuples peuvent encore se cabrer. Enfin, pour parachever de dégoûter les 6,6 millions de Français au chômage, chiffre officiel tombé le 26 juillet 2017, le revenu indécent d’Harlem Désir sera non imposable. C’est-à-dire qu’il ne participera pas à la solidarité nationale. Que ceux qui ont des oreilles entendent !
Monsieur Racisme touchera donc 10 180 euros par mois, alors qu’il ne touchait « que » 9 440 euros brut mensuels dans le gouvernement Valls. Elle est pas belle, la vie d’agent de l’oligarchie contre le peuple français ?
En prime, et en guise de conclusion, ce petit Mozinor datant de 2011 :
Le 6 mars 2017, le secrétaire d’État Harlem Désir s’exprimait devant les Nations unies à propos des – les ricaneurs vous sortez – « droits de l’homme, priorité de notre démocratie ». Pour animer l’image, cliquez ici.