Il y a littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.
La publication récente du rapport de l’ONU sur le changement climatique a électrisé politiciens et activistes environnementalistes, qui ont émis une nouvelle tournée d’appels à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Certaines des déclarations parmi les plus enflammées dans ce sens sont venues de la sénatrice démocrate californienne Barbara Boxer, qui en a appelé au congrès à « se réveiller et tout faire en son pouvoir pour réduire la dangereuse pollution au carbone », tandis que le ministre des Affaires étrangères John Kerry a exprimé des sentiments similaires dans un communiqué du State Department, affirmant que, « sauf si nous agissons rapidement et fortement, la science nous dit que le climat et nos modes de vies sont littéralement en péril ».
Vraiment ? Le climat de la Terre est-il si fragile que lui-même et notre mode de vie seraient en péril à cause de la montée des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ?
En un mot, non ! L’impact humain sur le climat est petit ; et tout réchauffement qui pourrait se produire du fait des émissions humaines de CO2 aura probablement peu d’effets, que ce soit sur le climat ou la biosphère de la Terre, d’après le rapport récemment publié « Le changement climatique reconsidéré II, les Impacts Biologiques » qui a été produit par le Panel Non-gouvernemental sur le Changement Climatique (NIPCC), et qui contraste avec celui du GIEC.
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