Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Israël, Palestine et politique française – Kentra reçoit Youssef Hindi

Kentra reçoit Youssef Hindi pour parler de l’influence du sionisme, en Palestine occupée, bien sûr, mais aussi sur la politique française.

 

 

Ne manquez pas la conférence de Youssef Hindi à Paris !

De l’importance (ou pas) des événements du Proche-Orient en France

 






Alerter

5 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #3382766

    Bravo et merci mr Youssef Hindi, une nouvelle fois, vous êtes précis et juste.
    Que Dieu vous bénisse et soit miséricordieux pour les martyrs Palestiniens.

     

    Répondre à ce message

  • #3382845
    Le 23 juin à 08:28 par ProtégeonslaPalestine
    Israël, Palestine et politique française – Kentra reçoit Youssef (...)

    Si nous ne glosons pas, c’est parce que l’excellence de Youssef Hindi se suffit à elle-même.

    Une voix de sagesse et de rigueur factuelle, en mission de restauration du vrai.

    C’est Youssef Hindi qui m’apprend que Folke Bernadotte, cousin par ma branche patrilinéaire, s’était battu jusqu’au sacrifice pour protéger la Palestine.

     

    Répondre à ce message

  • #3382931

    Nous ne sommes pas juges ni arbitres du conflit palestino israelien, d’autant qu’il prend ses racines dans la rivalité de Sarah et Agar dans l’A.T.

    Mais nous pourrions l’exploiter dans l’intérêt de la France.

    Par exemple, nous pourrions envoyer un ultimatum au Hamas de nous restituer sains et saufs nos ressortissants binationaux pris en otage le 7 octobre.

    Et constatant la fin de non recevoir du Hamas, leur déclarer la guerre aux côtés d’Israël.

    Maintenant, listez les conséquences internes de cette décision sur notre politique migratoire, notre préférence "antinationale", nos déficits, nos équilibres des comptes sociaux, la karsherisation de LFI et de l’extrême gauche.

    Faites en l’addition et vous verrez qu’en six mois nos comptes publics seront à l’équilibre et que la France ne comptera plus que 55 000 000 d’habitants.

    Tous blancs franco français.

    C’est bien ce que nous voulons, n’est-ce pas ?

    NB : sans un mort en Palestine !

    Eh bien, je pense que c’est ce qui finira par se faire et décider pour l’excellente raison que la dette de la France ne nous laissera aucune alternative.

    C’est tout l’héritage mondialo kalergiste et communiste de 1945 que nous allons devoir passer par le compte pertes et profits : liquider la CAF, la Sécu, l’ordonnance de 1945 sur l’enfance, la retraite par répartition, le statut de la fonction publique, le Conseil d’Etat, le Conseil constitutionnel, la D.U.D.H. : tabula rasa.

    Le grand enseignement de la constituante de 1791 c’est qu’on ne peut pas faire ce reset par l’urne.

    Et donc que la guerre fera echo à la dette.

    En effet, dès lors que la dette est actuelle et sonne à notre porte, vous ne pouvez pas la résorber par les moyens qui l’ont créée et l’aggrave encore chaque jour. ( I milliard €/jour !)

    Vous devez fermer les robinets contre la volonté de tous les pensionnés qui s’y abreuvent.

    Or, seule la guerre peut vous donner les moyens juridiques de faire taire les oppositions interessées (et parasitaires).

    La guerre est donc la solution dialectique à l’apurement de la dette et le seul moyen de son apurement, "l’abrogation radicale de toutes les pensions".

    Ce n’est pas l’Ukraine le danger : nous n’irons jamais.
    C’est Gaza : la dette va nous obliger à y aller.

     

    Répondre à ce message

    • #3383319
      Le 24 juin à 11:05 par Un homme averti en veau d’or
      Israël, Palestine et politique française – Kentra reçoit Youssef (...)

      Pardon mais votre commentaire, pour cohérent qu’il soit dans les limites qu’il se donne, n’en est pas moins un de soumission fataliste à la logique de la dette, ce racket mafieux que nous pourrions rayer d’un trait par référendum. Certes cela supposerait la convergence de nombreux paramètres disons "révolutionnaires" mais il importe de ne pas oublier les racines structurelles du merdier afin de ne pas s’égarer en vaines prospectives qui de fait valident le susdit merdier. Et je ne parle même pas du vecteur symbolique délétère qu’induirait votre solution