La presse et la classe politique accusent le Barack Obama de « tourner le dos trop vite à Hosni Moubarak ».
« Jimmy Carter avait laissé tomber le chah d’Iran, Obama est en train de faire pareil avec Moubarak. » Tel est le constat amer dressé, en privé, par des responsables israéliens.
Officiellement rien ne filtre. Mais la déception, voire une certaine colère, est perceptible. « Comment peut-on faire confiance aux États-Unis alors qu’à la moindre épreuve ils lâchent leur allié le plus fidèle, c’est le meilleur moyen pour les Américains de perdre pied au Moyen-Orient », souligne un de ses officiels.
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