Une femme de 55 ans d’origine ukrainienne a été violée à Piacenza. Le viol a eu lieu à l’aube et l’agresseur était un homme de 27 ans, qui a été arrêté le matin même par la police locale. La victime, vers 6 heures du matin, marchait seule dans le centre historique de la ville lorsqu’elle a été attaquée et jetée sur le trottoir par le jeune homme qui a commencé à la violer.
Un résident a entendu les appels à l’aide et a appelé la police. L’homme de 27 ans, originaire de Guinée et bénéficiant du statut de demandeur d’asile, a été arrêté pour agression sexuelle et se trouve actuellement en prison. La femme se trouve à l’hôpital de Piacenza en état de choc.
GRAPHIC : 55-year-old #Ukrainian woman assaulted & raped on a pavement in the city of Piacenza by an African migrant from #Guinea.
Instead of being appalled & outraged by this event, Italian liberals were quick to condemn & attack Giorgia Meloni for posting about this. pic.twitter.com/PlSUGmc8NQ
— Klaus Arminius (@Klaus_Arminius) August 22, 2022
Le leader de Fratelli d’Italia (parti nationaliste italien – NDT) a vivement dénoncé l’affaire, en relayant sur les réseaux sociaux une vidéo – largement floutée – démontrant les violences : « On ne peut pas rester silencieux devant cet épisode atroce de violence sexuelle contre une femme ukrainienne, commis dans la journée à Piacenza par un demandeur d’asile. Hommage à cette femme. Je ferai tout ce que je peux pour rétablir la sécurité dans nos villes. »
« La vidéo postée par Meloni d’un viol est indécente et inconvenante. J’invite tout le monde à faire une campagne électorale dans laquelle nous nous confrontons sur les idées, nous ne pouvons pas être irrespectueux des droits des personnes. » C’est ce qu’a déclaré aujourd’hui Enrico Letta (membre du Parti démocrate, centre gauche – NDT) sur Radio 24 : « Ce n’est qu’en votant pour nous, a-t-il ajouté, que nous pourrons avoir une alternative à la droite, voter pour les autres signifie faciliter la progression de la droite dans cette campagne électorale. »
— BONUS —
La gauche a été prompte, comme à son habitude, à se scandaliser que de telles images aient pu être mises en ligne, affirmant même parfois que cela était aussi grave que le viol lui-même. Pourtant n’était-ce pas cette même gauche – et ses sponsors (BHL, Soros, etc.) – qui instrumentalisait d’autres photos guère plus glamour ?