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"il n’y a pas de gens méchants" ça c’est son avis. le monde actuel nous montre de plus en plus le fond du cœur humain, et toute la méchanceté gratuite.
moi je crois que le cœur humain est foncièrement mauvais et qu’il penche vers le mal. mais on a aussi une volonté propre (et c’est tout ce qu’on a à mon avis) et on peut choisir le chemin qu’on prend, donc chacun est responsable de ses actes, contrairement à ce que dit M. Jacques Brel (enfin à ce qu’il disait).
Je ne suis pas sure que la mechancete soit l’origine de l’horreure sur cette terre. Par example un Bush est a mon avis plus bete que mechant mais c’est vrai que souvent ces 2 sont lies....ne dit-on pas bete et mechant ?
Ne dit-on pas aussi que l’enfer est pave de bonnes intentions. Typiquement un Hitler et son peuple (on ne me fera pas croire que les allemands etaient "mechants" voulant redresser son pays et faire plein de choses dynamiques et positives et se retrouve a faire subir les pires atrocites a son peuple et autres nations et ethnies.
J’ai quelques doutes aussi quant à la méchanceté, par contre il existe de par le monde parmi les élites dirigeantes des personnes qui n’ont aucune compassion ni empathie, des personnes qui ne ressentent que de l’indifférence à l’égard des autres, des personnes qui ont de la glace dans les veines et méprisent le commun des mortels, ces personnes sont des psychopathes.
J’ai profondément modifié mon jugement quant à certains dirigeant après avoir lu :« La ponérologie politique : Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques. » du psychiatre Andrew M. Lobaczeswski
Tous les hommes cherchent la même chose : le bonheur.
recherche du bonheur = recherche du bien
En fait, c’est le chemin de cette recherche qui diffère entre les gens, 7 milliards de chemins...
Conclusion : Il arrive que sur le chemin, de nombreuses âmes s’égarent et commettent des atrocités, non par méchanceté, mais bien par IGNORANCE !
"Pardonne leur seigneur, car il ne savent ce qu’ils font" disait le Christ.
Tout le mal commis n’est que le fruit de l’inconscience qui est issue de l’ignorance des choses de ce monde. A partir du moment où vous êtes conscient, faire du mal devient impossible, CQFD.
@Melchissedech
sans compter les sous-fifres des méchants qui les imitent et leur obéissent voulant attirer leur bonnes grâces.
il a raison,tout comme il disait que l’homme par essence,et un nomade puis après il devient sédentaire quand il rencontre une femme,puis un enfant, un toit pour sa famille,Jacques Brel et un grand bonhomme comme Brassens.
Il y a une vidéo devenue introuvable sur internet, dans laquelle on assiste à un entretien entre Henri Guillemin, Jacques Brel et Françoise Mallet-Joris, en 1968. C’est bouleversant d’intelligence, d’humanité et de profondeur. On décèle une lueur de tristesse dans les yeux de Guillemin lorsque Brel révèle son athéisme et la vacuité de l’existence. C’est dommage.
Étrange athéisme que celui de Brel, quand on sait qu’il a commencé avec des chansons de messes comme :
* quand on a que l’amour...
Toujours est-il qu’on sent un espèce de désespoir comme dans la chanson :
les carreaux / il pleut, une si ce n’est la plus belle.
On comprend qu’il a abandonné l’usine de cartons familiale.
C’est un entretien bien connu.
Mais je ne suis pas d’accord avec lui sur cette partie.
Par contre, il me semble qu’il disait des choses sur les femmes pas mal non plus.
Mais c’était peut être un autre, plus tardif, car il me semble me souvenir qu’il avait les longs cheveux.
En tout cas, ce qui est sure, c’est qu’en voilà un qui serait HALLUCINE de voir ce que le féminisme à fait des femmes d’aujourd’hui.
Lui qui avait une idée si haute de La Femme, serait catastrophé de les voir tomber si aussi bas que les hommes, que les pires hommes.
Ce n’est pas comme Renaud qui disait qu’on ne verra jamais une femme avec un revolver...
Tout faux mon gars.
Les revolvers font bel et bien frétiller aussi les ovaires.
Le monde des femmes sera bien plus cruel que celui des hommes car elles repousseront les limites toujours plus loin, c’est dans leur nature.
Pour finir en restant dans la philosophie, je citerais le grand Philosophe P. Juvet.
Qui, en 1977, alors qu’il n’est qu’un chanteur à midinette, sous couvert d’un tube disco mettait en évidence la direction prise par l’évolution du féminisme.
Elles portent un blouson noir
Elles fument le cigare
Font parfois un enfant
Par hasard !
Et dès que vient le soir
Elles courent dans le néant
Vers des plaisirs provisoires
Où sont les femmes ?
Avec leurs gestes pleins de charme
Dites-moi où sont les femmes ?
Femmes, femmes, femmes, femmes
Où sont les femmes ?
Qui ont des rires pleins de larmes
Auraient-elles perdu leur flamme
Où sont les femmes ?
Elles ne parlent plus d’amour
Elles portent les cheveux courts
Et préfèrent les motos aux oiseaux
Elles ont dans le regard
Quelque chose d’un robot
Qui étonne même les miroirs
Où sont les femmes ?
Qu’on embrasse et puis qui se pâment
Dites-moi, où sont les femmes ?
Femmes, femmes, femmes, femmes
Où sont les femmes ?
Qui ont ces drôles de vague à l’âme
Qu’on caresse et puis qui planent
Où sont les femmes ?
Où sont les femmes ?
Qui vivent au bout des télégrammes
Dites-moi, où sont les femmes ?
Femmes, femmes, femmes, femmes
Où sont les femmes ?
A la fois si belles et si pâles
Aux yeux qui traînent et qui flânent
Où sont les femmes ?
Avec leurs gestes pleins de charme
Dites-moi où sont les femmes ?
Femmes, femmes, femmes, femmes
Où sont les femmes ?
Qui ont des rires pleins de larmes
Auraient-elles perdu leur flamme
Où sont les femmes ?
pour ma part je considère les femmes comme étant inférieurs aux hommes car elles cèdent bien plus facilement à leur pulsion, elles manquent de maitrise.
Lorsqu’elles cèdent à une pulsion, elles cherchent à postériori à justifier leur réaction avec des arguments rationnels. Même si les hommes cèdent aussi à leurs pulsions, c’est plus rare et en principe un vrai mec assume (quoiqu’il y a tellement de tafiottes maintenant qu’ils n’assument même plus leur choix irrationnels
@Frederic !!!
ben dis donc mon petit frederic, ça va pas ? T’es pas bien ? Tu nous fait une petite dépression là, Non ? Les femmes inférieures aux hommes !!!! Tu as tout compris de la vie, toi !!! Te prendrais-tu pour un fin connaisseur de la gente féminine ? Il faut peut-être que tu sortes un peu de ton cercle d’ami(e)-(s ?), je ne sais pas qui tu fréquentes couramment mais bon, faut changer d’air mon petit bonhomme !!! Il faut de tout pour faire un monde, mais là franchement, plus niais et lapidaire que toi, je ne sais pas si ça existe. Moi, je dirais plutôt que tu fais partie des pauvres types qui hélas, existent.
Bon....
Un peu de philosophie.....(avec une touche orientale)
Le bien et le mal sont des concepts issus du mental donc profondément enracinés dans la dualité.
Ce qui est bien pour l’un est mal pour l’autre et vice versa, le débat peu aller à l’infini.
Pendant la guerre, tuer un ennemi est bien, en temps de paix, tuer la même personne est mal etc.....
En fait, le bien et le mal sont les deux deux faces d’une seule et même pièce, la pièce de la conception psycho-corporelle de l’existence.
Le vrai Bien se situe au delà du bien/mal. C’est quelque chose de transcendantal qui élève la conscience profondément matérialiste, donc enracinée dans une conception psycho-corporelle de l’existence, vers une plateforme spirituelle au delà de la dualité, que l’on peu appeler Dieu pour les religieux.
Tout ce qui nous rapproche de notre nature profonde d’âme spirituelle est Bien, tout ce qui nous en éloigne et nous maintien dans une conception corporelle de l’existence est Mal.
La dualité horizontale du bien/mal se résout verticalement.
Même raisonnement avec bonheur/malheur, amour/haine etc....
Je pense que n’importe quel bobo serait d’accord avec ce discours élitiste de Brel.
Brel dit que c’est à un philosophe de répondre à cette question et pas à lui, pourtant il répond de manière catégorique. Je suppose que son statut de personnalité du show-business faisait qu’il ne se croyait pas bête. Pourtant il est devant une caméra en train d’asséner une puissante analyse telle que "la bêtise, c’est de la paresse". Avec une pensée aussi puissante, on peut oublier tous les grands philosophes de l’histoire de l’humanité.
De quoi il parle ? De qui il parle ? Dans quel contexte dit-il cela ?
En général, les gens ne sont ni paresseux, ni bêtes. Ils sont juste pour la plupart profondément ignorants. Mais cette ignorance est voulue par le système diabolique inventé par des gens plus « intelligents » que les autres. Les plus « intelligents » ont fait des écoles d’où sortent des gens ignorants ; ils ont créé des universités qui asservissent en posant des œillères. Ils ont fait cela pour contrôler les autres, pour ne pas travailler, pour faire travailler les autres à leur place ; et ces « intelligents » deviennent de ce fait le fléau de la société.
Les vrais paresseux sont les riches qui en sont réduits par leur oisiveté à conspirer contre les pauvres pour les asservir.
Peut-être que Jacques Brel trouve les gens normaux paresseux parce qu’ils ne se révoltent pas et ne coupent pas la tête des exploiteurs ? Si c’est le cas, il a raison.
Pretus, je trouve avec toi que Brel voit juste en partie. La bêtise perdure grâce à la paresse. Ca n’empêche pas de souffrir, mais il apparait qu’il y a plus de gain à subir du "normal", en râlant pour faire plus propre sur soi. La preuve en est que nos contemporains, en France, râlent beaucoup et se laissent étrangler, continuent à perdre leur pouvoir d’achat, qui est quand même la rétribution de leur labeur !!
D’autres individus se donnent du mal, s’investissent dans la réflexion, en plus de leurs activités professionnelles, pour analyser où tout cela nous mène, pour imaginer des routes de sorties -d’urgence-, et prennent enfin sur leur temps perso pour communiquer avec leur concitoyens. Pour la majeure partie des entregens, écouter quelqu’un qui a un discours à contre-courant leur parait "débile" !!! Avouons-le, nous nous sommes tous fait traiter d’imbéciles pour des opinions autres que celles allant dans le consensus.
Ils existe ensuite d’autres ingrédients pour devenir bêtes, par exemple la peur : de perdre plus, d’être tué en sortant du rang, de se tromper (les indécis).
au final, ce sont quand même ces paresseux qui se lèveront comme un seul homme pour aller fracasser la cible qu’on leur aura désignée : son voisin (femme, homme, homo, hétéro, ma mère car elle a un chien chez elle, mon père car il est policier, ma soeur car elle m’a fait ça quand j’étais petite ...) car le NOM nous prépare de belles guerres intestines !
J’ai lu un livre qui s’appelle la 25 ème heure, de Virgil Georghiu, qui a mis au jour certains éléments déclencheurs dans le comportement humain, qui fait que pour certains, une guerre est une aubaine pour supprimer un rival ...
Bref ...
Bonne journée à vous, amies et ami d’E&R.
"Mes circuits sont niqués
Puis y a un truc qui fait masse
L’courant peut plus passer
Non mais t’as vu c’qui passe
..."
Vertige de l’amour de Bashung
Franchement je me souviens d’une interview d’un CRS.
Il disait en gros que ça le gênait pas d’aller taper des manifestants, limite il aimait ça.
De ces manifestants, il en avait l’image de fils à papa, ingrats, sans difficultés qui geignaient pour un rien, bref des 68ards.
Méchant ? revenchard ... lui qui a eu la vie dure et qui a trouvé ce genre de boulot ?
finalement on le comprenais, limite on était d’accord.
Quel est le nom de la chanson au tout début s’il vous plaît avant que Brel commence l’interview ? Merci bien.