Ben oui Mr Sapir y’a rien à moudre mais les "acteurs sociaux", c’est à dire les intermittents de la parlotte, les interminables du petit jeu, faut bien qu’ils justifient leurs rôles. Ca nous donne le même tour de piste dont l’issue est aussi certaine que le trajet parcouru par les petits personnages qui sortent des horloges régulièrement pour se dandiner jusqu’à la petite porte qui se referme sur eux. MESDAMES MESSIEURS VOYEZ ÇA FONCTIONNE. Les ahuris que nous sommes, à force d’assister au miracle de l’horloge, commencent à trouver justement qu’il est tard.

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Il ne s’est pas encore fait viré de l’EHESS ?
Guettons le dérapage fatal !

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Euh...
En tant que groupie de Monsieur Moscovichy, ma star de mes économies, je dois bien constater que Monsieur Sapir n’est pas d’extrêêême-drooaaate !
En effet, il a une conception purement de gauche du dialogue social qui suppose que c’est pour moudre du grain... En Allemagne, les baisses consensuelles de salaires relèvent cependant bien du dialogue social, mais il est vrai que l’Allemagne n’est pas la France et il y a moult raisons de le regretter !
Ne serait-ce qu’en balle au pieds...

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Jacques Sapir est un "docteur sirop" du libéralisme .

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Socialisme : Doctrine d’organisation sociale qui entend faire prévaloir l’intérêt général, le bien général, sur les intérêts particuliers, au moyen d’une organisation concentrée (opposé à libéralisme) ; organisation sociale qui tend aux mêmes buts, dans un souci de progrès social (progressisme).

Socialisme : Culte sectaire occulte d’organisation mafieuse qui entend faire prévaloir l’intérêt communautaire juif, le bien économique juif, sur les intérêts de l’immense majorité de non-juifs, c’est à dire de goys, au moyen d’une organisation financière farouchement libéraliste ; organisation népotique qui tend à imposer son hégémonie cruelle sur toute la Terre, dans un souci permanent de destruction des non-juifs, donc, des goys (progressisme juif).

Il est à noter que depuis 50 ans, ni la droite, ni la gauche, n’ont mis en application la définition du Petit Robert de la doctrine socialiste.
Notons aussi que depuis 225 ans, Israël applique sa vision du socialisme en France, c’est la version qui ne figure pas dans le dictionnaire sous le nom commun de socialisme mais dans le mot haine, dans la haine des non-juifs.

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Aucun intérêt d’ergoter sur les conséquences ou les détails sans avoir posé clairement quelques vérités sur les causes et vérités cardinales :

 pas de croissance sans croissance démographique : croissance = bébés.
 pas de croissance sans travail : croissance = rémunérer et encourager le travail
 pas de croissance sans innovation : croissance = recherche
 pas de croissance sans libertés publiques : croissance = liberté de la dissidence

Sur ces quatre points, l’Europe, la France en particulier appliquent des politiques inverses :

 l’avortement empêche la croissance démographique
 l’assistanat et la spéculation ont remplacé le travail comme cause d’enrichissement (et/ou de secours)
 Il n’ y a pas de politique de la recherche ni d’encouragement à l’innovation en France , seulement à la rente
 La démocratie directe et/ou référendaire , condition des libertés publiques, n’existe plus en France.

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Mais il n’y a pas de dialogue social ! Toute action du gouvernement est commanditée en plus haut lieu et le reste n’est qu’un théâtre d’apparence pour endormir "monsieur et madame tout le monde".

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Il faut aussi commenter l’image, la photo : la physionomie de Hollande est en fait très étrange. Il paraît qu’on l’appellait : "le yéti" au bureau, un animal solitaire, méchant, qui sait faire parler de lui mais qui a du mal à exister. Les lignes de ses paupières et de son visage dénotent un effondrement lent, ancien et irréversible des lobes gauche et droit de l’encéphale, ce qui traduit un affaiblissement corrolaire de ses capacités critiques. Reste le lobe central exondé, qui donne à sa physionomie cette forme "en obus", ce crâne yétioïdal. Il est celui du comportement social, du "normal", (de la "normalitude", si j’ose écrire) ce qui peut faire diagnostiquer (c’est plutôt un diagnostic qu’un jugement qu’il nous faut) un esprit conformiste, à l’excès, pour ne pas dire, fayot. Le profil (voir d’autres photos) est aussi catastrophique. La ligne de son appendice nasal "en patate" inspire antipathie et répulsion.. Bref, on finira par disserter davantage sur les lunettes derrière lesquelles il semble se cacher, que sur lui.

La suite au prochain numéro ..

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Qu’est ce que vous voulez que nos syndicats jaunes dialoguent ? De + en + de monde se rend compte qu’ils sont jaunes, payés par l’UE et par le MEDEF pour nous la mettre profond et sur ce coup la on leur demande de nous vendre la fin du SMIC... ils ne peuvent pas, tout le monde se rendrait brutalement compte que les syndicats sont jaunes et ils se feraient lyncher.
C’est bien de la fin du SMIC qu’on discute, comme ce pervers de Milton Friedman disait qu’il faudrait y arriver pour que l’Euro, appelé aussi le piège américain, perdure : "dans une zone économique unifié où on ne peut plus faire d’ajustement monétaire pour maintenir la stabilité de la devise, ce qu’il faut pour faire face à des chocs économiques (orchestré par Wall Street), c’est plus de flexibilité (fin du CDI) et de plus de compétitivité (fin du SMIC, dévaluation salarial)."
Les Espagnols y sont depuis 3 ans, le vice-président du MEDEF a dit que c’est ce qu’il voulait pour la France en 1998 (en finir avec l’héritage du CNR) et Pascal Lamy a eu la générosité de revenir nous montrer la voie en quittant l’OMC, merci à lui.
On voit, aux interventions régulière de Joseph et autres, que le site d’ER est bien fréquenté par des fachos même si ils sont minoritaires heureusement. On vous a dit et répété, et Sapir ce sale gauchiste est de ceux la, que notre économie est basé sur le modèle de la société de consommation, c’est à dire que la source de recette la plus importante pour l’état est la TVA. Si les salaires baissent, la consommation baisse d’autant, l’activité des entreprises pareil, les recettes de l’état à coté et la société entre en récession, c’est un cycle mortifère ! Ensuite soit l’état et les citoyens acceptent des coupes drastiques dans le budget, une austérité jamais vu en France, soit ils écrasent la classe moyenne sous les impôts pour maintenir son train de vie. A la fin, tout le monde est pauvre et l’état fait banqueroute après vendu tous ses bijoux de famille. Les routines des ultra-libéraux ont été appliqué des années en Amérique Latine avant d’être généralisé, c’est un cataclysme social et c’est voulu car ces gens sont des pervers, ils aiment prendre leur pognon en faisant souffrir les masses.
J’espère vraiment que la population Française est moins con que les Chiliens, qu’en se basant sur les précédents provoqué par cette politique économique, ils auront le bon sens de comprendre qu’il faut égorgé les dirigeants tout de suite et sans attendre. Vous avez vu une reprise en Espagne ?

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