« Christophe Castaner s’inquiète d’un possible non-respect du confinement. Le ministre de l’Intérieur a demandé aux préfets, lundi 6 avril, "d’examiner au cas par cas" la "nécessité de durcir les mesures" en cas de "relâchement" dans le confinement, selon la place Beauvau.
Les joggeurs pourraient faire les frais par endroits d’un durcissement des mesures. "Là où des signes de laisser-aller se feraient jour et où ces règles viendraient à être contournées", le ministre demande aux préfets de prendre, "en lien avec les maires, les mesures qui s’imposent, notamment de limitation de la pratique sportive individuelle, pour assurer un respect strict du confinement", détaille le ministère de l’Intérieur.
"Depuis trois semaines que le confinement est en place, il faut saluer le civisme et la responsabilité des Français qui s’en sont appropriés les règles et en ont compris les enjeux", souligne-t-on à Beauvau. "Néanmoins, avec le retour des beaux jours, et le confinement étant très probablement appelé à se prolonger, le risque, c’est celui du relâchement", a-t-on ajouté pour expliquer la décision du ministre. » (France Info)
Castaner autorise les préfets à « durcir les mesures » en cas de relâchement, nous apprend France Info. C’est qui Castaner ? Sur la photo, on dirait un mauvais acteur dans une mauvaise série télé. Un type sans autorité, que toute la France appelle Rantanplan, qui n’a pas plus de crédit que Sibeth Ndiaye ou Aurore Bergé, et qui nous donne ses ordres comme s’il avait 5 barrettes sur la veste.
Le déconfinement, aujourd’hui, consiste surtout à s’affranchir des ordres délirants de ces connards. Leur obéir n’a aucun sens, surtout que la France a les moyens de tester les gens qui présentent les symptômes de la grippe chinoise et aussi les moyens de les traiter, si c’est pris à temps. Mais curieusement, l’exécutif ne veut pas. Il préfère « confiner » les Français pendant des semaines, voire des mois, les insulter au quotidien, les infantiliser, les menacer des pires souffrances, qu’elles soient économiques, policières ou physiques, afin de conserver un pouvoir qui était en train de lui échapper complètement.
Ce 7 avril 2020, les Français qui voulaient garder encore un peu la forme et le moral se font donc interdire de courir. La prochaine étape, c’est la criminalisation de la promenade ? Quel meilleur moyen de casser le moral et l’immunité d’un peuple ?
On voit bien que la bande d’escrocs qui nous gouvernent ont découvert là le moyen idéal d’exercer leur pouvoir de malades psychopathes sur tout un pays. Mais les Français ont voté pour eux il y a 35 mois, et le régime présidentiel est ainsi fait qu’un sataniste à la tête du pays ne peut pas être viré d’un claquement de doigts, même s’il fout 66 millions de citoyens dans la merde. Les rédacteurs de notre constitution de 1958 ont verrouillé le truc. Il s’agit, principalement, de Michel Debré, fils du grand pédiatre Robert Debré, petit-fils du rabbin Simon Debré et premier Premier ministre de la Ve République. C’est lui qui a dirigé le groupe de travail sur la consti. Tution, pas pation.
Michel, on te dit pas merci : 60 ans après, une bande de malins a braqué l’État, s’est emparée des postes clés et a mis la France à genoux ! En moins de trois (ans) !
Alors, faut-il obéir au confinement en 2020 comme il fallait obéir aux Allemands en 1940 ?
On préfère, à la parole politique largement démonétisée, écouter la parole médicale. Mais là, le problème ne fait que se déplacer puisque deux politiques médicales se font face : celle du Raoult et celle du Big Pharma, incarnée successivement par les VRP Lévy-Buzyn, Véran et Lacombe. Raoult, lui, peut compter sur Perronne et Douste (ouille), plus la majeure partie de la population qui préfère croire le 1er infectiologue français plutôt que les traîtres néolibéraux aux commandes vendus au Grand Capital, dont le Big Pharma !
Plus le droit de bouger, plus le droit de penser (autrement), il est évident que de plus en plus de Français, comme en 40-41, vont entrer en résistance, malgré les menaces venues de partout. Quelque part, il est nuisible d’obéir à des escrocs, même si ces derniers nous surinent, pardon, nous serinent que c’est la bonne voie, celle de la Raison et de la Responsabilité. Deux mots qui veulent dire la même chose : leurs Intérêts bien sonnants et trébuchants.
Nous, les Français qu’on a croisés lors de nos séances de résistance au confinement, avaient l’air de braver crânement les ordres supérieurs des fascistes de l’Élysée et Matignon, sans oublier leurs soutiens et sponsors du pouvoir profond. Ils bravaient la culpabilité énorme de tomber malade, de saturer les hôpitaux et d’assassiner leurs proches. Malgré les injonctions du Big Pharma Brother national, malgré la répression quotidienne de l’Occupant, ces Français déconfinés savent au fond de leur cœur ou de leur âme qu’ils ne sont ni des irresponsables ni des assassins.
On tient là une belle inversion accusatoire, non ?
Le durcissement du confinement en attendant les masques chinois que nos pseudo-dirigeants n’ont même pas été capables de faire produire en France, produisant à la fois du chômage industriel et un risque sanitaire, et démontrant de la sorte toute leur nationale traîtrise, va provoquer un durcissement de la résistance ; c’est inévitable, mathématique. Ceux qui s’abaissent à obéir aujourd’hui à l’Occupant le paieront cher : on n’a jamais la soumission ET la tranquillité ! Au contraire, on vit dans la peur, cette mauvaise conseillère. Contre ça, il y a l’humour.
#ConfinementJour20 Grâce aux techniques modernes de camouflage, Robert et Monique vont-ils réussir à échapper à une amende de 135 € pour non respect du #confinement ?
- Le Dimanche ... c'est apèro chez les voisins ! pic.twitter.com/Yd1K7V2PcQ— Dolto (@Fils2Psy) April 5, 2020
Cette Française nous rappelle les Parisiennes qui, au lendemain des tueries de novembre 2015, bravaient la peur et réinvestissaient les terrasses, montrant que la vie passait avant la psychose.
Je vais faire les courses aujourd'hui , oui, oui, oui, je suis en joie pic.twitter.com/GuTL2ADrvU
— Nathalie (@LaporteNlair) April 4, 2020
Les filles sont belles, le printemps n’a jamais été aussi beau, et l’Occupant voudrait nous faire croire que ceux qui sortent sont des suicidaires ou des assassins, de mauvais citoyens qui ne méritent que l’opprobre général. Fragiliser la partie non fragile de la population pour soi-disant protéger la partie fragile est un pari risqué. Cela dénote plus une volonté de pouvoir qu’un désir de protection...
« Allons-nous assister à une épidémie d’autoritarisme, dans la foulée de la pandémie de Covid-19 ? La question n’est pas sans pertinence alors que les régimes d’exception et les pratiques de surveillance digitale intrusives se multiplient à travers le monde, au nom de la santé des citoyens. La crainte grandit qu’hommes forts et gouvernements autoritaires ne profitent de la situation exceptionnelle créée par la pandémie pour écraser les contre-pouvoirs et rogner sur les libertés ; bref, que des mesures d’exception s’installent en nouvelles normes de la vie politique et sociale.
“Avec le temps, les décrets d’urgence imprègnent les structures légales et se normalisent, il est facile de construire des pouvoirs d’urgence, il est très difficile de les déconstruire”, confie au New York Times Douglas Rutzen, président d’un centre de droit, qui suit les législations votées pendant la pandémie. » (Le Figaro)
Le néolibéralisme a trouvé avec cette grippe le moyen de reprendre le pouvoir sur des peuples qui ne voulaient plus de cette gouvernance folle, destructrice, assassine. Le néolibéralisme en France c’est quoi ? Un pays riche qui s’appauvrit, une menace terroriste permanente, notre Église qui brûle, les multinationales qui s’enrichissent au détriment des petits entrepreneurs, l’insécurité partout, la porte ouverte aux Soudanais qui poignardent des citoyens, l’effondrement de la justice, et puis, comme si le tableau ne suffisait pas, des pédophiles jamais condamnés qui viennent nous baver leur avis dans l’oreille à travers le haut-parleur de médias complaisants, ou complices :
Sans déconner, une République qui laisse un pédophile donner ses directives sans que personne ne bronche et qui emmerde un chercheur qui propose de soigner les gens contre l’avis du Big Pharma, ça ne sent pas le poisson qui pourrit par la tête ?