Petite peuple ; oubliez à jamais TV, téléphone, livres, spectacle comique et fermez là à tout jamais..

Surtout...abandonnez vos droits.. Arrêtez de vous divertir, n’oubliez pas vos chaînes autour de vos pieds qui vous éviterons des divertissements bien mérités.. O.Òmd (oh mon..dieu)

à la limite d’un croyant ; j’aurais encore préféré un "ne mangez plus des animaux respecter leur vie et ménagez votre porte monnaie".. Je CROIS qu’on peut toujours attendre.. lol

Bien dit. Néanmoins, les credits et les bouteilles de champagne c’est fini. Place au Paul Remy et à la voiture d’occase du "bon coin".

Mouaip, c’est en partie juste ce que dit KABYLE. C’est vrai que se faire saisir sa TV, c’est être libéré de l’abrutisseur propagandiste n°1 dans la maison. Dépenser des cent & des mille pour aller s’entasser comme des phoques attendant l’orque farceur sur les plages de la côte d’azur, c’est stupide. Mais perdre son ordinateur relié à internet et ne plus pouvoir aller sur E&R ou ne pas pouvoir se déplacer pour aller voir sa famille éclatée aux 4 coins du pays... Ha ! Non, alors !

Cela s’appelle "Revenir aux fondamentaux" cher ami , mais je pense que vous prenez un risque celui de vous faire conspuer de vous faire traiter de vieux réac... de facho... vieux con n’est pas impossible ... que sais je encore ???
Vous dites : "si 70% 80% des gens changeaient leur mode de vie, on en serait pas là."
Les bonobos néo-crétins formatés dès le plus jeune age par le système ou l’empire c’est selon ... vomissent se genre de remarque !!!
En gros ils sont tellement nombreux que si on mettait tous ces cons sur orbite on ne pourrait plus apercevoir le soleil .
Alors faites comme moi préparez vous à cette effondrement économique inéluctable qui s’annonce et admirez les derniers instants de ces connards se gaver du consumérisme avant de goûter aux joies et aux saveurs amères de la pénurie de la ruine et de la misère. . .

on s’en souviendra au printemps prochain, quand l’hiver n’aura pas été plus rude que d’habitude. Sale temps pour ceux qui attendent l’apocalypse. Vos arrière-petits-enfants, peut-être ?