Egalité et Réconciliation
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Kissinger et Kahn (Dr Folamour) à l’origine de la fabrication de Klaus Schwab

Ce petit thread nous explique les racines de Klaus Schwab, par qui il a été recruté et fabriqué. Parmi les personnages mondialistes qui nous gouvernent réellement, parce que personne de sérieux ne peut croire qu’un Darmanin ou un Le Maire sont des gouvernants, tout le monde n’est pas MK-Ultra : la plupart ont été recrutés sur leur potentiel, leur plasticité, et leur apport à ce qui deviendra le NWO, le New World Order ou Nouvel Ordre mondial, qui sera mieux accepté sous le sigle WEF, le World Economic Forum, ou forum de Davos.

 

Les grandes entreprises qui veulent effacer leurs traces ou leur passé – pas toujours très glorieux – changent de nom, c’est bien connu, pour quelque chose de plus poétique, ou de plus vague.
On découvre donc, peu à peu, que Schwab n’est pas tombé du ciel, mais qu’il a des pères, ou des mentors. Parmi eux, l’inévitable Kissinger, mais aussi l’inquiétant Herman Kahn, qui a inspiré le Dr Folamour de Kubrick.

 

 

 

Ainsi, au moment où l’on reparle à la fois de guerre froide et de guerre nucléaire (les deux ensemble donnant l’hiver nucléaire), resurgit la théorie de Kahn sur la confrontation finale, que Wikipédia résume ici :

En 1960, alors que les tensions de la guerre froide étaient à leur paroxysme avec la « Crise du Spoutnik » et qu’on s’inquiétait d’un écart croissant (missile gap) entre les arsenaux nucléaires des deux blocs, Kahn publia un essai intitulé On Thermonuclear War, dont le titre est une allusion transparente au traité classique du xixe siècle « De la guerre » du stratège prussien Carl von Clausewitz. La thèse que Kahn y exposait repose sur deux hypothèses, l’une évidente, l’autre très discutable : premièrement, qu’une guerre nucléaire est plausible, puisque les États-Unis et l’Union soviétique disposent désormais d’arsenaux nucléaires massifs pointés l’un vers l’autre ; deuxièmement que, comme toute guerre, elle aura un vainqueur.

Selon Kahn, qu’un tel conflit fasse des centaines de millions de victimes ou que « seules » quelques métropoles soient détruites, cela n’empêchera pas la vie humaine de subsister, de même qu’elle a par exemple résisté à la Peste noire qui avait dépeuplé l’Europe au XIVe siècle, ou de même que le Japon s’est remis de l’attaque nucléaire limitée de 1945, contrairement aux scénarios apocalyptiques inspirés du déroulement des guerres conventionnelles. Les différentes issues pouvaient bien être plus horribles que tout ce qu’on avait pu voir ou imaginer jusque-là : il n’en demeure pas moins que certaines seraient pires que d’autres. Quelle que puisse être l’ampleur des destructions, les survivants n’en viendront jamais, selon l’auteur, « à envier le sort des morts » : croire le contraire reviendrait à conclure que la dissuasion est finalement sans fondement. Si les Américains ne sont pas prêts à accepter les conséquences d’un conflit nucléaire, quel que soit son degré d’horreur, alors leur menace perd toute crédibilité. Sans une détermination implacable et sans faille d’« appuyer sur le bouton », toute la batterie des préparatifs et des déploiements militaires n’est qu’un bluff coûteux.

Cet essai se présente comme une application de la théorie des systèmes et de la théorie des jeux à la stratégie et à l’économie. Kahn estimait que, pour que la dissuasion ait quelque effet, il fallait convaincre les Soviétiques que les États-Unis sont encore capables de frapper après-coup (second strike), afin que les membres du Politburo soient bien conscients que l’attaque la plus minutieuse de leur camp n’empêchera jamais une salve de représailles de laisser leur pays entièrement détruit :

« À tout le moins, une dissuasion américaine adéquate doit fournir un fondement objectif aux calculs que pourraient faire les Soviétiques, qui les persuaderaient que, quelles que soient leurs précautions ou leur ingéniosité, attaquer les États-Unis conduirait à un gros risque, voire à la certitude d’une destruction à grande échelle des infrastructures civiles et militaires de l’Union soviétique. »

Le concept de « destruction mutuelle assurée » (MAD)

 

 

Herman Kahn a appartenu à la Rand Corporation, ce think tank qui conseille ou qui élabore la stratégie de l’armée américaine, et qui persiste à déstabiliser la Russie, selon Xavier Moreau (2019) :

 

 

Les trois mentors de Schwab

Pour le site margueriterothe.com, le Forum économique mondial est né d’un programme de Harvard financé par la CIA :

Les preuves indiquent que Klaus Schwab a été recruté par Kissinger dans son cercle d’impérialistes de la « Table ronde » via un programme financé par la CIA à l’Université de Harvard. De plus, l’année où il a obtenu son diplôme serait également l’année au cours de laquelle il a été révélé qu’il s’agissait d’un programme financé par la CIA. Ce séminaire financé par la CIA présenterait Schwab aux décideurs politiques américains extrêmement bien connectés qui l’aideraient à créer ce qui allait devenir le plus puissant institut européen de politique publique, le Forum économique mondial. (...)

Kahn, Kissinger et Galbraith étaient devenus trois des personnes les plus influentes en Amérique en ce qui concerne respectivement la dissuasion thermonucléaire, la création de la politique étrangère et l’élaboration des politiques publiques. Tout au long de la carrière de ces hommes, l’essentiel de l’attention a été porté sur l’Europe et la guerre froide. Cependant, leurs rôles variables dans d’autres événements importants de la période ont tous le potentiel de détourner facilement les chercheurs d’autres événements plus subversifs et bien cachés.

Voilà, pour ceux qui croient encore que l’Union européenne est une entité démocratique qui a été créée pour la paix, la prospérité, la liberté... La preuve avec les recommandations du dernier forum de Davos, revu et corrigé par Contrepoints. Attention, ça pique !

La réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos est peut-être la conférence la plus impopulaire au monde, et son fondateur et président, Klaus Schwab, l’une des personnalités les plus méprisées au monde. Souvent comparé au Dr. Denfer, le personnage joué par Mike Meyers dans la série Austin Powers, et régulièrement comparé à un super-méchant de James Bond sur Internet, Schwab est considéré comme un mégalomane messianique dirigeant une infâme cabale de dirigeants mondiaux et de chefs d’entreprise vers un avenir dominé par une élite mondialiste. (...)

La réunion annuelle a donné lieu à des tables rondes sur un certain nombre de sujets, notamment la réalité augmentée, les monnaies numériques des banques centrales, la transition climatique dans les économies émergentes, l’empreinte carbone des cryptomonnaies, l’économie numérique, la diversité, l’équité et l’inclusion, les sanctions économiques, l’emploi dans la quatrième révolution industrielle, la transition énergétique en Chine, l’indexation environnementale, sociale et de gouvernance (ESG), la géopolitique, une taxe mondiale, les soins de santé pandémiques, la consommation responsable, le retour de la nature dans les villes, la Russie, ainsi qu’un discours spécial du président de l’Ukraine, Volodymyr Zelenskyy. (...)

L’un des temps forts de la réunion 2022 a été la déclaration de Julie Inman Grant, commissaire australienne chargée de l’eSafety, lors d’un débat intitulé « Ushering in a Safer Digital Future », selon laquelle « la liberté d’expression n’est pas synonyme de liberté pour tous » et « nous allons devoir recalibrer toute une série de droits de l’Homme en ligne, de la liberté d’expression à la protection contre la violence en ligne ». (...)

En particulier, le cadre européen pour les communications numériques réglementera les discours relatifs au « changement climatique », aux problèmes de santé tels que le coronavirus et autres « pandémies », ainsi que les « discours haineux » ou autres « discours illégaux » tels que définis par l’UE. (...)

Comme l’a noté Ludwig von Mises, ces planificateurs centraux sont toujours des autoritaires qui souhaitent écraser les plans des individus. Ils croient qu’ils ont indubitablement raison, en dépit de l’horrible bilan de l’interventionnisme.

Comme prévu, sur E&R :

 






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