La vieille carne pédophile corrompue (le Delaware du sénateur Biden fut et reste l’État le plus pourri des USA) élue sur une fraude massive représente une Amérique à la dérive morale et sécuritaire.
Flanqué de l’idiote Kamala Harris dans un couple woke de cauchemar, le président Joe Biden, dont le fils Hunter cumule toutes les tares possibles, est en permanence sous oreillette et sous perfusion d’un pouvoir profond qui est planqué juste derrière, en régie.
Au bout de sa tournée européenne, dans une Finlande devenue fille de joie de l’OTAN, la momie, de son inimitable locution façon purée dans la bouche, a prononcé des mots qui vont aller droit au cœur des clowns de LCI : « Poutine a déjà perdu la guerre. »
La veille, pendant sa conférence au siège de l’OTAN, la momie pédo a encore dérapé en appelant Zelensky par son prénom, « Vladimir ». Pour une fois, on excusera Biden puisque Volodymyr n’est pas loin de Vladimir.
"Vladimir and I... Mr Zelenskyy and I"
President Biden calls Ukrainian President, Vladimir, during NATO news conference.
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— Sky News (@SkyNews) July 12, 2023
On a tous compris que ce pantin cachait des personnes plus sérieuses, mais aussi plus dangereuses. Depuis que les Américains, toujours par la bouche de tonton Purée, ont autorisé l’envoi d’armes à sous-munitions à l’Ukraine, les vassaux européens ont plongé dans le malaise : en effet, l’Allemagne, l’Espagne et le Royaume-Uni ont signé la convention d’Oslo qui s’oppose à l’utilisation de ces armes qui produisent de l’handicapé à la chaîne.
"Depuis 40 ans, HI travaille aux côtés des victimes et des survivants des armes à sous-munitions. Pour nous, il s'agit avant tout d'un problème humanitaire : outre le fait qu'elles tuent des civils, elles entravent l'accès physique à de nombreux acteurs humanitaires." Anne Héry
— Handicap International France (@HI_france) July 7, 2023
Chez LCU, ça ne dérange pas grand-monde : du moment que c’est le camp du bien qui fait le mal, c’est forcément bien, ou alors pas trop mal. Traduction des conditions d’utilisation : les habitants russophones du Donbass seront arrosés de ces bombes à retardement.
À la fin de l’allocution d’Helsinki, le cas Prigojine arrive sur la table. Biden fait une petite blague avec « il devrait se méfier de ce qu’il mange », rapport à la nature empoisonneuse des tsars du Kremlin. On ne sait pas où est Prigojine, ni s’il est encore vivant. L’ancien commandant des forces américaines en Corée va plus loin en affirmant que le chef du groupe Wagner est déjà mort.
« Je doute que nous reverrons Prigojine publiquement. Je pense qu’il sera soit caché, soit envoyé en prison, soit traité d’une autre manière, mais je doute que nous le reverrons un jour. »
Les Américains insistent toujours – on se croirait dans les années 50 à Hollywood – sur la nature belliqueuse et criminelle du pouvoir russe. Ils oublient que leur pays est à l’origine du plus grand nombre de conflits déclenchés dans le monde depuis un siècle. Et ils ont très bien su le faire oublier au monde entier : c’est ça aussi, le pouvoir d’Hollywood.
Malheureusement, même l’usine à rêve déraille. Hollywood est l’objet d’une grève massive et bien réelle : 160 000 acteurs (et scénaristes) ont arrêté le boulot. Ils réclament une hausse des droits du streaming et, on ne rit pas, le droit de ne pas être remplacés par l’IA ! Si Hollywood commence à faire du social, le soft power US a du souci à se faire.
"Si nous ne résistons pas maintenant, nous serons tous en danger d'être remplacés par la machine, les grosses entreprises se soucient davantage de Wall Street que de vous et de vos familles", continue la patronne de la SAG. pic.twitter.com/r8exmRfSov
— Philippe Berry (@ptiberry) July 13, 2023