Ursula a donc foutu Thierry dehors, qui voulait lui piquer sa place lors des dernières pseudo-élections pour la tête de la Commission européenne. Il se venge en parlant de « gouvernance douteuse », ce que tout le monde sait puisque Leyen est corrompue jusqu’à l’os.

Le commissaire européen français ne défendait de toute façon pas la France, mais les intérêts américains en Europe, l’étranglement de la liberté d’expression, la désindustrialisation (faut voir son passage en France à la tête d’Atos) et autres joyeusetés.

Le clash avec Leyen est survenu après la nomination d’un Allemand au poste-clé des PME. Il faut savoir que la Commission nomme ses propres « ministres » en charge de portefeuilles aussi puissants que rémunérateurs.

Breton sera remplacé par Séjourné, la honte ambulante à l’international. Bref, un pantin que Leyen saura dominer.

Si Séjourné est un âne, Breton n’était pas un ange. C’est lui qui a voulu réduire la liberté d’expression des Européens en censurant X sur leur sol. Elon Musk l’a envoyé paître, mais l’intention est là, et il n’est pas sûr que l’horrible Leyen ne va pas appliquer le diktat.

Barnier avait déjà tout dit

Les 447 millions d’Européens sont entre les mains d’une Commission Attila bourrée de satrapes qui détruisent méthodiquement les nations. Ils ne veulent plus de barrières nationales à leur superpouvoir européiste. Si Leyen bosse en apparence pour l’Allemagne, elle fait le job pour l’Amérique en envoyant l’UE dans le mur sino-russe.

L’Allemagne est en train de dévisser économiquement, et c’est bien la gouvernance douteuse de la Commission qui la pousse à la soumission, ou à la révolte. Car le résultat, c’est la montée du populisme. Vous avez dit années 30 ?

Leyen et Macron traitent la France « comme un petit pays »

Adieu les affaires sociales !