L’ancien président du département du Rhône devant la justice. Michel Mercier, qui a également été ministre de la Justice de novembre 2010 à mai 2012, comparaît à partir de ce lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour des soupçons d’emplois fictifs mais aussi de détournement de fonds. Ces dernières accusations remonteraient à son mandat de président du Rhône (MoDem) de 1990 à 2013.
Pour ce qui est des emplois fictifs, le travail de deux personnes de son proche entourage pose question, notamment l’emploi d’assistante parlementaire, de 2012 à 2014, qu’occupait sa fille, Delphine Mercier, qui habitait pourtant à Londres au moment des faits.
Les enquêteurs n’auraient retrouvé aucune trace de son travail qui portait notamment sur le musée des Confluences. Cette dernière aurait perçu un salaire de 38 000 euros.
L’épouse de Michel Mercier n’est pas en reste dans cette affaire.
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