"L’asile est un droit, on n’a pas à réfléchir sur pourquoi comment accepter ou pas de quel pays il vient", tonne la cégétiste lors du rassemblement en soutien aux migrants, le 5 septembre 2015 à Paris.
Plusieurs organisations ou associations s’étaient donné rendez-vous place de la République pour demander au gouvernement d’ouvrir les vannes : LICRA, LDH, CGT, Solidaires, Égalité (des féministes)... Le Huffington Post précise l’origine de ce mouvement de solidarité :
"Ce rassemblement, intitulé "Pas en notre nom - #RéfugiésMigrantsDignité", "est né d’une discussion sur Facebook, de gens qui se demandaient comment faire pour exprimer quelque chose spontanément (...) dire non aux politiques migratoires répressives qui conduisent à la mort de milliers de personnes et oui à l’accueil", a expliqué à l’AFP l’un des organisateurs, l’auteur et réalisateur Raphaël Glucksmann, fils du philosophe André Glucksmann."
Un mois plus tard, le dimanche 4 octobre, manifestation du NPA pour la "liberté de circulation", qui ne ne rassemblera que 4 à 5000 personnes, selon les propres termes d’Olivier Besancenot, très remonté contre les frontières.