quand les gens comprendront que l’écologie puise aux mêmes sources philosophiques que le nazisme, on aura fait un grand pas en avant dans la prise de conscience... et je ne fais pas là un "point godwin"... l’écologie politique, d’ailleurs issue largement des pays anglo-germano-scandinaves puise réellement au même fond idéologique que le nazisme. Ca ne veut pas dire que ces deux idéologies soient identiques. Mais ça peut expliquer les réminiscences troublantes entre "l’écolo-progresso-technicisme de Davos" et les "heures les plus sombres"... Wagner et Hitler étaient écologistes et végétariens, tout comme de nombreux dignitaires et intellectuels nazis...
néo-pagananisme, techno-messianisme, futurisme révolutionnaire, millénarisme, biologisme, eugénisme, racialisme, culte de la terre-mère et des femmes-guerrières, Europe des 100 drapeaux, nihilisme, "purification", "nouvelle société", surhomme et homme augmenté, etc. On se trompe en croyant que le nazisme était une vieille droite réac’ nostalgique des casques-à-pointes et du christianisme-à-papa ; c’était un mouvement socialiste national révolutionnaire et capital-futuriste. Et les accointances avant et après guerre avec l’oligarchie anglo-américaine ne sont pas un hasard (Edouard VIII, Ford, Rockfeller, Disney, etc.). Comme par hasard, c’est Rockfeller qui a financé Cousteau, rescapé de la Collaboration, eugéniste et écologiste. Le président d’Ikéa était nazi, tout comme le président de la Commission Européenne. Julian Huxley (le frère d’Aldous Huxley) fut le premier directeur de l’UNESCO et du WWF ! Il était biologiste de formation, eugéniste, transhumaniste, pour la sélection génétique, le contrôle et la sélection des naissances, l’amélioration génétique de la race, etc.
Les SS se faisaient tatouer leur groupe sanguin sur le bras... c’est très symbolique de cette pensée de réduction de l’homme à sa matière et à sa fonctionnalité. Double profanation aux yeux du vieux catholicisme, du tatouage (marquage comme une bête) et d’une mention techniciste, hygiéniste, froide. Et dans le même temps, ils tatouaient un numéro aux déportés. Quel besoin de les numéroter, alors qu’il aurait suffit de les marquer comme prisonniers sans numéro ? C’était déjà le QR-code ou les puces RFID. On voit bien que cette idéologie allait bien plus loin qu’un simple coup de "réaction" après une crise économique.
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