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Le genre de faux scientifiques qui a passé son temps à buller en cours de psycho et qui à la fin de ses études se dit qu’être "neuropsychologue" c’est quand même vachement plus classe.
"Fins éducatives" : comprendre "propagande et conditionnement".
On se demande bien de quelle communauté il fait partie, lui...
Je vous invite à regarder le programme des cours de psychologie avant de parler !
Dans ces cours nous ne passons pas notre temps à répondre à des questionnaires pour savoir si nous sommes des accros du shopping ou si on est un bon coup mais nous étudions de manière très sérieuse des matières comme la neuroanatomie, la neurophysiologie, les pathologies liées à la mémoire, les déficiences post trauma-avc-tumeurs, sans parler de toutes les matières annexes concernant le fonctionnement biologique et physique de l’homme et ce rien qu’en licence donc je ne vous parle même pas des spécialités en master… Je ne me vois pas buller durant ces cours comme vous dites et toutes ces connaissances accumulées sont bel et bien scientifiques que vous le souhaitiez ou non.
Il serait bon de se renseigner avant de dénigrer une filière passionnante et sérieuse qui doit sa mauvaise image principalement aux magazines féminins qui usent de tests ridicules et autres mag dits "psycho", dont vous êtes visiblement victime. Parler d’une chose qu’on n’a pas connu (ou alors uniquement grâce aux "on dit") ce n’est pas très…scientifique.
Puis enfin je vous souhaite de n’avoir jamais à faire à ces neuropsychologues que vous dénigrez tant, ce serait un très mauvais signe et vous risqueriez de ne pas comprendre à quel point cette discipline est importante.
J’ai une question, un spécialiste (et pas quelqu’un qui donne son avis sans savoir étudié le sujet) peut il me répondre : on nous dit que les élites veulent créer un climat de tensions et de guerre civile. Ok. Mais d’un autre coté, ils veulent absolument que l’on s’accepte et que qu’on s’aime tous malgré nos différences. J’aimerais savoir à quoi ils jouent ?
Bonjour Tess ;
Bonne question, ils jouent à garder le contrôle quoi qu’il en soit.
Ils utilisent la stratégie du chaos et de la terre brulée.
Ingérences et interventions extérieures qui aboutissent à ce que tu vois dans le monde et déstructurations identitaires à l’intérieur pour tondre et avilir les peuples.
Venant de ce genre d’institutions, on peut deviner au-moins deux niveaux de raisonnement implicites :
premier niveau, celui des sous-fifres naïfs : "seuls les Blancs sont racistes".
Certes, les racistes n’ont pas de couleur, et ils souillent tous azimuts. Il n’y a qu’à vivre un peu à l’étranger (ou parmi les étrangers) pour le vérifier. C’est encore plus manifeste sur Internet.
Mais en dépit de cette évidente réalité, une propagande massive et bien culpabilisante parvient à convaincre les masses que, décidément, seuls les Blancs sont racistes. Finkelkraut et Bouteldja jouent finalement dans la même pièce de théâtre...
second niveau de lecture, celui des commanditaires : "seuls les Blancs doivent être traités" pour docilement se laisser ensevelir sous des coulées migratoires. Coincés entre un endoctrinement sinistre et une haine stérile, ils n’ont pas le droit de comprendre.
Dans ce scénario, les peuples du Tiers-Monde doivent être humiliés et victimisés. Ils attendent leur départ, assommés de propagande hollywoodienne, d’ignorance, de corruption, de misère, et parfois de bombes.
La mer franchie, ils échouent presque toujours dans des banlieues tristes, prisonniers perpétuels d’emplois médiocres. Leurs enfants vivotent de petite délinquance ou de petits boulots, et s’enlisent dans une acculturation débilitante et aliénante, dans un désespoir aussi toxique qu’inoffensif.
Les Blancs et les non-Blancs, ce sont les rats de Laborit (à partir de 7’25). Désorientés et abrutis, ils se tapent inutilement sur la gueule pour mieux supporter leur condition d’esclave...
Enfin les captifs lucides de tous bords et de toutes origines doivent passer pour des fous, marginaux ou monstres.
Par ce jeu pervers, et sous l’influence de forces qui la dépasse, "l’élite" prédatrice transnationale, insensible, décomplexée et auto-satisfaite, cherche l’épuisement et la résignation du monde pour étendre enfin son pouvoir sur toute chose.
Dans sa folie, elle oublie Dieu. Mais Dieu ne l’oublie pas...
n’importe quoi cette tentative de contrôler le cerveau humain, et qui n’est en dernière instance qu’une volonté de contrôle des émotions...il a bon dos le racisme, crétin d’Anglais ( tiens, du racisme ! ) quand on sait que l’ensemble de l’humanité est d’une part déjà " métissée " largement et ce depuis fort longtemps, que nous venons tous que çà plaise ou pas de cette vallée du Rift où se dressèrent nos ancêtres ( goys ou juifs, et autres ), et que d’autre part ce fameux " racisme " qui sert tant nos élites est autant partagée par les orientaux ou les africains que par des latins ou des européens...tous çà pour éviter de parler du seul clivage réel qui engendre tous les malheurs, ce fossé entre les riche donc les puissants et les gueux qui subissent et qui constituent la majeure partie de ce troupeau humain qui avance à tâtons !
Ce que je comprends la est que le racisme est une pathologie neurologique !!!
Meeeerde, l’etre humain est un malade-né ! C’est pour ca que la race superieure existe ! Elle va tous nous guerrir !!! Ouf !
A quand la pilule antiraciste ?
On est en plein pre-Equilibrium !
Vivement le futur ! Avec une puce RFID sous-cutanee qui envoie des impulsions electriques des qu’on a une pensee politiquement incorrecte, le tour est joue ! Formidable !
Ahhh y a pas a dire, la liberte, sous toutes ses formes, a de beaux jours devant elle...
Eh oui, "ils" nous étudient pour nous manipuler et changer nos comportements.
C’est "eux" de la télé qui le disent. Et aussi Lucien Cerise de E&R.
L’humain n’est pas raciste : le test comparatif avec des animaux serait instructif. Il accroît sa vigilance quand il est confronté à de l’inconnu, le caractère inconnu augmentant la probabilité de danger. La couleur, la taille et tous les signes de reconnaissance sont contingents ; la confiance est le critère. Détruire ou amoindrir des mécanismes et réflexes de survie est criminel.
utiliser le mot "Science" accolé à une telle fumisterie : mensonge télévisuelle classique, usurpation d’autorité intellectuelle.
Ça ne marchera pas, pour la même raison que la théorie de Lyssenko foira aussi sous Staline : les gens et plus particulièrement les enfants de couleur sont aussi voire davantage empreints de réflexes de méfiance et de mépris contre le Noir que les Blancs proprement dits, il semblerait que la programmation à ce sujet soit archétypale dans l’ensemble de l’humanité. Monsanto est déjà en train de vendre aux Africains non seulement des crèmes mais des médicaments modificateurs d’ADN pour blanchir les peaux et dénégrifier les traits (l’ensemble des traits négroïdes dérive en fait d’un seul facteur, l’utilisation de la mélatonine au lieu de la sérotonine par les synapses en tant que neuro-transmetteur privilégié, et ce facteur unique dépend de six paires d’allèles seulement).
Les peuples de couleur mélangée tels que les Indiens et les Mexicains, de façon générale, sont les plus rebelles à toute promotion du type négroïde plus ou moins métissé faite par Benetton et consorts, et n’élisent que des Blanches les plus aryennes possible de traits dans les concours de mode et de beauté. Pire : le fameux canon de beauté grec fut à l’origine mis au point, pour représenter la forme idéale des dieux, par de petits hommes noirauds se percevant eux-mêmes comme laids, les Pélasges de l’Attique, en prenant exemple sur des peuples ennemis comme les Spartiates ou barbares comme les Germains. Les Arabes conquérants, plutôt olivâtres en moyenne, furent plus amateurs de perfection blanche que les peuples blancs qu’ils conquéraient, et s’éclaircirent le plus volontiers leur descendance au besoin par des esclaves sexuels. On découvre maintenant que les Indiens du temps d’avant les conquêtes aryennes, à Harrappa par exemple, étaient déjà métissés comme aujourd’hui, et valorisaient la blancheur de traits comme le plus beau prix à la roulette génétique. De façon générale le métissage produit toujours plus de racisme pro-blanc que la ségrégation, tout comme le socialisme réel rend les gens plus cyniques et âpres au gain.
L’idéologie anti-raciste va bientôt rencontrer un écueil semblable à celui qui eut raison du marxisme. Les juifs eux-mêmes en veulent de moins en moins, même pour leurs subordonnés. Dieudonné est un exemple parmi tant d’autre de ce qui les attend si le métissage continue, sans compter les juifs noirs métis qui affluent sans cesse de divers pays. Les Orientaux admirent les Blancs de type germanique et conspuent les autres comme les Méditerranéens.