Hollywood va toujours plus loin, dans l’application du règlement oligarchique d’altération de la sacro-sainte famille. Désormais, les couples homosexuels et les transsexuels auront droit de cité dans les films pour enfants, car c’est eux, en premier, que vise l’oligarchie mondialiste. Pas la peine d’insister sur la puissance d’évocation du cinéma, qui n’est pas seulement là pour raconter des histoires, mais aussi pour glisser des messages plus ou moins subliminaux.
Dans La Belle et la Bête, qui sortira le 22 mars 2017 chez nous, un petit moment – toujours commencer en douceur pour entuber les peuples – est consacré à l’homosexualité. Le gay en question est le compagnon du méchant, et le réalisateur explique que « c’est un beau moment gay et unique dans un film Disney ». On connaît la musique : ça commence par une image subliminale, et ça finit en partouze de saucisses pour les enfants.
Tous les acteurs du film se sont dits émerveillés par cette courageuse avancée des moeurs. Faut-il le rappeler, il ne s’agit pas de critiquer l’homosexualité, cela n’a pas de sens, mais sa promotion au travers de produits culturels destinés aux enfants. Si certains parmi les enfants vont devenir homosexuels, pour des raisons naturelles ou culturelles, laissons-les le devenir. Mais ne produisons pas des générations d’homosexuels par mode, mimétisme, ou branchitude.
Hollywood a de toute façon lancé sa grande croisade gay, avec l’Oscar du meilleur film remporté par Moonlight. Même chose en France avec une pluie de récompenses à Cannes pour des films montrant des couples gays ces dernières années. Il y a compétition de promotion de l’homosexualité des deux côtés de l’Atlantique. Ce souci de l’élite de partager ses « choix » sexuels se transforme en injonction pour les jeunes.
Citée par Le Monde, la représentante de Glaad, une association LGBT américaine, déclare :
« C’est un pas en avant formidable. C’est incroyablement important pour les jeunes d’aujourd’hui. Ils ont besoin de se voir représentés dans les médias qu’ils consomment. De plus en plus, si les studios veulent attirer un public jeune, ils vont devoir inclure des histoires et des personnages LGBT. »
Un grand pas pour l’humanité, c’est sûr. On ne dit pas si le passage de l’hétérosexualité à l’homosexualité va résoudre le chômage et les dommages collatéraux de la mondialisation, mais il semble qu’il y ait volonté supérieure de remplacer les inquiétudes sociales des peuples par des préoccupations sociétales.
Cependant, rien n’est simple, dans notre monde où règne la loi de l’action-réaction. Déjà, aux USA, les associations anti-gay contre-attaquent. Plus exactement, les chrétiens qui ne veulent pas que leurs enfants soient projetés dans des considérations adultes refusent cette publicité insidieuse, et le font savoir. Le film est déjà pré-boycotté, et même si cela fait parler, c’est mauvais pour l’image de Disney, la multinationale du divertissement coincée entre l’os du public et le chien de l’oligarchie.
La bande-annonce de la version US, à grands renforts d’effets numériques merdiques, fait regretter doublement la version géniale de Jean Cocteau, qui était pédé, mais qui n’emmerdait pas le monde avec :